02 Mars 2014, 23:47 Reprise du dernier message
Aaaah! Content de te voir en live! (Je ne t'imaginais pas comme ça) 
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La Tête en friche 😈
Désherber le jardin de mes pensées
02 Mars 2014, 23:47 
03 Mars 2014, 16:43 Citation (Babouche, 03 Mars 2014, 0:54)
Faut laisser le fil de Carabus maintenant.
Pas le mettre en colère!
Pas le mettre en colère!
Citation (azama, 03 Mars 2014, 1:01)
T'inquiètes, il dort réfléchit...
Mais regardez plutôt le commentaire lamentable de "l'inquisiteur" en bas de cet article :
mais certainement pas vos posts que j'apprécie et qui contribuent à faire avancer les choses
03 Mars 2014, 17:58 C'est vrai qu'ils sont pathétiques! Merci du lien Carabus 
03 Mars 2014, 19:13 A propos de liens Azama, j'ai modifié mon post d'Hier, 22:19 pour que les liens soient plus visibles :
Citation (Carabus, 02 Mars 2014, 23:19)
Et puis ça commence enfin à bouger et s'énerver concernant la RTU du Baclofène 
Il y a aussi les décisions stupides du gouvernement sur le Nalmefène
Il y a aussi les décisions stupides du gouvernement sur le Nalmefène
03 Mars 2014, 19:28 Pour ne pas parler la langue de bois, c'est simple:
D'un côté le baclo, "vieille" molécule détournée de son usage premier avec des résultats positifs, mais qui ne rapporte rien en tant que générique, de l'autre un pléonasme (pardon, un "puissant labo"), qui a investi dans une autre "vieille" molécule, le nalméfène, rebaptisé Selincro ou Revex aux USA, et qu'il faut amortir même si son efficacité est contestable et contestée. Voilà , j'ai enfoncé une porte grande ouverte...
Il y a tout de même une chose mystérieuse: Comment le nalméfène qui a l'âge du baclo, peut-il être doté d'une AMM sous l'appellation Selincro? Est-ce à dire que personne pendant ces décennies n'y a pensé?
En tout cas merci pour les liens
D'un côté le baclo, "vieille" molécule détournée de son usage premier avec des résultats positifs, mais qui ne rapporte rien en tant que générique, de l'autre un pléonasme (pardon, un "puissant labo"), qui a investi dans une autre "vieille" molécule, le nalméfène, rebaptisé Selincro ou Revex aux USA, et qu'il faut amortir même si son efficacité est contestable et contestée. Voilà , j'ai enfoncé une porte grande ouverte...
Il y a tout de même une chose mystérieuse: Comment le nalméfène qui a l'âge du baclo, peut-il être doté d'une AMM sous l'appellation Selincro? Est-ce à dire que personne pendant ces décennies n'y a pensé?
En tout cas merci pour les liens
04 Mars 2014, 14:03 ++ avec Catherine... et tout le monde!
J'suis très conciliante en fait,
Surtout lorsqu'on est tous d'accord
Tout ça pour ne rien dire avoir à dire
Je sais, t'aime pas Carabus!
Mais une fois de temps en temps...
D'accord c'est tout le temps
D'accord je sors...
Fonction: agent d'entretien mal expérimenté du fil dudit Carabus.
Bisou!
04 Mars 2014, 23:07 Tu penseras à faire l'écran de mon PC,
STP Babouche
Y'a des traces de doigts !
STP Babouche
Y'a des traces de doigts !
05 Mars 2014, 0:20 bon, ben alors souricette, je te dis rien pour mon écran, j'en ai 3, et 4 en comptant la tablette (c'est là qu'on met les doigts exprès).
Bonne nuit...
Bonne nuit...
07 Mars 2014, 23:13 La semaine dernière, je suis allé voir mon médecin généraliste (mon prescripteur)
Pas de question sur les ES, sur mon seuil, sur mon quotidien avec le Baclofène.
Aucune remarque sur mes analyses sanguines pourtant excellentes
Juste le renouvellement de mon ordonnance pour 3 mois
Je reste un peu sur ma faim,
sur le peu d’intérêt qu’il porte à un patient sous Baclofène,
comme s’il en voyait tous les jours (et je sais que ce n’est pas le cas)
Alors pour la visite chez ma psychiatre addictologue, je prépare l’entretien.
Jusqu’à présent, je ne lui avais signalé comme ES que des troubles visuels,
de peur qu’elle me dise de redescendre ce que je ne voulais surtout pas.
Mais maintenant que j’ai atteint l’indifférence, je peux je veux tout lui expliquer.
Alors je lui rédige une liste exhaustive de mes ES parmi tous les ES que quelqu'un peut rencontrer
(un peu à la manière du questionnaire de notre forum)
Elle apprécie la qualité du questionnaire et les précisions apportées.
Et je continue en lui présentant le graphique de l’historique de ma posologie :
Augmentation très lente jusqu'à ma sortie de postcure
Ensuite augmentation de +10 mg tous les 3 jours
grâce au stock que j'avais en sortant de postcure
et à mon généraliste qui prescrivait mes demandes d'augmentation
Atteinte de l'indifférence à 210 mg le 20 décembre
suivi d'une période de yoyo à cause des ES
et enfin le seuil de 210 mg depuis le 18 janvier
Je termine en lui présentant le tableau horaire de ma répartition journalière :
Pour lui expliquer de quelle manière j'ai pu atténuer mes ES
en jouant sur la répartition et sur le nombre de prises.
Et puis une fois l'indifférence atteinte et suite à un oubli,
je lui explique pourquoi je suis passé de 6 prises journalières à 3,
que mes heures de prises se sont assouplies (Matin, Midi et soir)
que la rigueur lors de la montée n’est plus nécessaire
Très satisfaite qu'un patient lui apporte autant de précisions (ce qu'elle m'a dit),
elle me demande, à la fin du rendez-vous, si elle peut s’en servir
(de manière anonyme) pour ses prochains cours avec des internes …
Pas de question sur les ES, sur mon seuil, sur mon quotidien avec le Baclofène.
Aucune remarque sur mes analyses sanguines pourtant excellentes
Juste le renouvellement de mon ordonnance pour 3 mois
Je reste un peu sur ma faim,
sur le peu d’intérêt qu’il porte à un patient sous Baclofène,
comme s’il en voyait tous les jours (et je sais que ce n’est pas le cas)
Alors pour la visite chez ma psychiatre addictologue, je prépare l’entretien.
Jusqu’à présent, je ne lui avais signalé comme ES que des troubles visuels,
de peur qu’elle me dise de redescendre ce que je ne voulais surtout pas.
Mais maintenant que j’ai atteint l’indifférence, je peux je veux tout lui expliquer.
Alors je lui rédige une liste exhaustive de mes ES parmi tous les ES que quelqu'un peut rencontrer
(un peu à la manière du questionnaire de notre forum)
Elle apprécie la qualité du questionnaire et les précisions apportées.
Et je continue en lui présentant le graphique de l’historique de ma posologie :
Augmentation très lente jusqu'à ma sortie de postcure
Ensuite augmentation de +10 mg tous les 3 jours
grâce au stock que j'avais en sortant de postcure
et à mon généraliste qui prescrivait mes demandes d'augmentation
Atteinte de l'indifférence à 210 mg le 20 décembre
suivi d'une période de yoyo à cause des ES
et enfin le seuil de 210 mg depuis le 18 janvier
Je termine en lui présentant le tableau horaire de ma répartition journalière :
Pour lui expliquer de quelle manière j'ai pu atténuer mes ES
en jouant sur la répartition et sur le nombre de prises.
Et puis une fois l'indifférence atteinte et suite à un oubli,
je lui explique pourquoi je suis passé de 6 prises journalières à 3,
que mes heures de prises se sont assouplies (Matin, Midi et soir)
que la rigueur lors de la montée n’est plus nécessaire
Très satisfaite qu'un patient lui apporte autant de précisions (ce qu'elle m'a dit),
elle me demande, à la fin du rendez-vous, si elle peut s’en servir
(de manière anonyme) pour ses prochains cours avec des internes …
08 Mars 2014, 22:14 
C'est ça, le bonheur, pour les Carabus!
Elle est donc toujours en vie, ta psy?
Parce qu'une fois...
Et elle pratique toujours?
Quelle courageuse!
( T'as vu, j'ai trouvé les smiley!!! J'vais en mettre tout plein maintenant!)
08 Mars 2014, 22:26 Bravo Carabus! Ca c'est de l'argumentation bien étayée
J'imagine que cette brave femme apprécie des patients comme toi.
----------------------------------
Tiens Babouche http://smileys.surlatoile.org/
J'imagine que cette brave femme apprécie des patients comme toi.
----------------------------------
Tiens Babouche http://smileys.surlatoile.org/
08 Mars 2014, 22:57 Ok, le fauteuil à droite de la cheminée, tu as aussi vue sur la fenêtre... Tu crois qu'il en a pour longtemps, 
08 Mars 2014, 23:17 Ben...
J'crois qu'il est là , en fait...
Mais le temps qu'il lise...
08 Mars 2014, 23:21 Citation (Babouche, 08 Mars 2014, 22:14)
Elle est donc toujours en vie, ta psy?
Parce qu'une fois...
Et elle pratique toujours?
Quelle courageuse!
Parce qu'une fois...
Et elle pratique toujours?
Quelle courageuse!
C'est lui que j'ai usé, mais je le revois toujours,
pas rancunière la bête !
Pour ma psychiatre, je l'apprécie beaucoup,
c'est elle qui m'accompagne depuis le début,
je me devais de lui exposer mes statistiques.
Sinon, je vois que tu progresses, Ã quand la photo avec le lien inclus
08 Mars 2014, 23:59 J'aime bien l'image du psychologue usé... Un psycho-loque, quoi
09 Mars 2014, 0:04 Citation (Babouche, 08 Mars 2014, 23:57)
Quelle photo, et quel lien?
Citation (azama, 08 Mars 2014, 23:59)
J'aime bien l'image du psychologue usé... Un psycho-loque, quoi
09 Mars 2014, 0:09 Oh, c'est vieux! pendant mes études je mettais cette profession à toute les sauces en dessin; C'était toujours un Sigmund Freud, et par exemple, pour le psycho-pâtre il avait une grande houppelande et un bâton, et ses moutons étaient des cerveaux à pattes, le psy-ché était un Che Guevarra avec barbiche et lunettes de Freud et tout à l'avenant
09 Mars 2014, 18:42 Non Catherine,
Ce n'est pas 7h / 13h / 19h :
Depuis que j'ai atteint ma dose seuil,
c'est Matin, Midi et Soir
(avec ou sans grasse mat')
et il y a longtemps que je ne fais plus
attention à mes heures de prise.
L'important, c'est mes 210 mg par jour,
j'avais même envisagé une prise par jour
mais peu le font et je préfère rester à 3 prises,
ça me donne un rythme et c'est plus facile
à récupérer en cas d'oubli
Ce n'est pas 7h / 13h / 19h :
Depuis que j'ai atteint ma dose seuil,
c'est Matin, Midi et Soir
(avec ou sans grasse mat')
et il y a longtemps que je ne fais plus
attention à mes heures de prise.
L'important, c'est mes 210 mg par jour,
j'avais même envisagé une prise par jour
mais peu le font et je préfère rester à 3 prises,
ça me donne un rythme et c'est plus facile
à récupérer en cas d'oubli
09 Mars 2014, 23:00 Bon, demain je prends mes nouvelles fonctions.
Pas plus de stress que ça,
le côté anxiolytique du Baclo sûrement.
Je viens d'ailleurs de relire "LE DERNIER VERRE"
où Olivier explique très bien la corrélation entre l'anxiété et l'alcool ...
Le Baclofène, après m'avoir occasionné de grosses confusions mentales, m'aide maintenant à contenir mes émotions dans un contexte anxiogène
Pas plus de stress que ça,
le côté anxiolytique du Baclo sûrement.
Je viens d'ailleurs de relire "LE DERNIER VERRE"
où Olivier explique très bien la corrélation entre l'anxiété et l'alcool ...
Le Baclofène, après m'avoir occasionné de grosses confusions mentales, m'aide maintenant à contenir mes émotions dans un contexte anxiogène
09 Mars 2014, 23:21 Oui, ça c'est bien, j'avoue.
Bien pratique.
Faut juste pas devenir
10 Mars 2014, 23:08 En plus de mes nouvelles fonctions, aujourd'hui
j'étais convoqué à la Médecine du Travail :
Et question qui tue : "Vis à vis de l'alcool, toujours abstinent ?"
Si je réponds : "Non, je suis indifférent à l'alcool grâce au Baclofène et je m'autorise à boire modérément si j'en ai envie"
Elle me considère alors comme un "rechutant"
et en plus
je lui rappelle la problématique du nonremboursement du Baclofène hors AMM
Je lui réponds lâchement : "Oui depuis le 21 mai 2013"
pour couper court à toute argumentation
j'étais convoqué à la Médecine du Travail :
Et question qui tue : "Vis à vis de l'alcool, toujours abstinent ?"
Si je réponds : "Non, je suis indifférent à l'alcool grâce au Baclofène et je m'autorise à boire modérément si j'en ai envie"
Elle me considère alors comme un "rechutant"
et en plusje lui rappelle la problématique du nonremboursement du Baclofène hors AMM
Je lui réponds lâchement : "Oui depuis le 21 mai 2013"
pour couper court à toute argumentation
10 Mars 2014, 23:15 Excellent Carabus!
Sergent Hartman: "Chef, non chef"!
Sergent Hartman: "Chef, non chef"!
12 Mars 2014, 20:26 Ci-dessous un lien avec le témoignage de Sylvie sur le Baclofène dans Metronews :
Pour lequel j'ai posté une réponse à un certain Dary concernant l'abstinence (Pour ceux qui ne veulent pas suivre ce lien, voici mon post) :
Pour lequel j'ai posté une réponse à un certain Dary concernant l'abstinence (Pour ceux qui ne veulent pas suivre ce lien, voici mon post) :
Citation (Carabus dans Metronews, 12 Mars 2014)
dary
Pilule miracle!!!!!!!! Quelle bêtise de faire croire au Malade Alcoolique qu'un médoc va les sauver ...............Quitter une dépendance pour une autre
Ce qui convient à une personne ne convient pas forcement à une autre,attention aux retour de manivelle du style médiator, champix et autres produits détournés de leur usage initiale............................... Moi mon abstinence depuis 7 ans ne me coûte rien en effets indésirable
Pilule miracle!!!!!!!! Quelle bêtise de faire croire au Malade Alcoolique qu'un médoc va les sauver ...............Quitter une dépendance pour une autre
Ce qui convient à une personne ne convient pas forcement à une autre,attention aux retour de manivelle du style médiator, champix et autres produits détournés de leur usage initiale............................... Moi mon abstinence depuis 7 ans ne me coûte rien en effets indésirable
- Carabus à dary
Dary,
Je sors d'une cure et postcure de sevrage alcoolique, J'étais le seul sur 30 patients à faire une primo démarche de soin, les autres étaient en rechute et aucun ne prenait du Baclofène avant de rechuter. Tous étaient d'accord pour dire que Disulfirame, Naltrexone ou Acamprosate sont inefficaces pour aider au maintien de l'abstinence. Le Baclofène rend l’alcoolo-dépendant indifférent à l'alcool et l'empêche de sombrer à nouveau dans les excès éthyliques. Il ne me "coûte" plus rien en effets indésirables et ne m'astreint pas à une abstinence à vie !
13 Mars 2014, 0:07 Citation (Babouche, 12 Mars 2014, 23:42)
Pourquoi dire que tu n'es pas guéri?
Après tout...
A quel moment t'estimeras-tu guéri?
A 0 baclo?
Après tout...
A quel moment t'estimeras-tu guéri?
A 0 baclo?
J'ai eu la maladie de Hodgkin à l'âge de 21 ans.
Face au manque de recul sur la guérison de ce cancer,
(on en mourait encore il y a cinquante ans)
les médecins parlent de rémission et non de guérison.
Quant au Baclofène, je ne conçois pas pouvoir vivre sans,
un minimum pour me rassurer oui, mais peut-être que je me trompe.
Je considérerai donc être en rémission de ces deux pathologies
13 Mars 2014, 1:28 Carabus, actuellement les lymphomes de Hodgkin sont soignés positivement disons à 80-90%, mais c'est vrai qu'il y a encore pas si longtemps, en plus de la chimio, il y avait des radiothérapies musclées, ma belle-soeur en a gardé des brulures dites ghéloïdes, qui ne grandissent pas avec la peau, gênantes et parfois douloureuses.
Encore des points marqués par la médecine.
Pour le terme rémission, on l'emploie un peu pour tout quand il est difficile de poser celui de guérison, mais il y a des rémissions qui n'en sont plus après des décennies, tu peux le voir de façon positive. Le LH c'est plutôt avant la quarantaine.
Bon, sinon, j'ai 2 numéros et le complémentaire au loto
Encore des points marqués par la médecine.
Pour le terme rémission, on l'emploie un peu pour tout quand il est difficile de poser celui de guérison, mais il y a des rémissions qui n'en sont plus après des décennies, tu peux le voir de façon positive. Le LH c'est plutôt avant la quarantaine.
Bon, sinon, j'ai 2 numéros et le complémentaire au loto
13 Mars 2014, 11:13 En 1988, les thérapies étaient beaucoup plus intensives.
J'ai fait 6 mois de chimiothérapie suivis de 6 mois de radiothérapie à hautes doses
(à l'époque ils ne savaient pas bien doser et ils préféraient sur doser que sous doser).
J'ai eu les ES des 2 traitements et notamment des brûlures au 2ème degré sous les aisselles en plein été !
Sinon, je n'ai aucun numéro
................................................................................................................................. je ne joue pas au loto ! ! !
J'ai fait 6 mois de chimiothérapie suivis de 6 mois de radiothérapie à hautes doses
(à l'époque ils ne savaient pas bien doser et ils préféraient sur doser que sous doser).
J'ai eu les ES des 2 traitements et notamment des brûlures au 2ème degré sous les aisselles en plein été !
Sinon, je n'ai aucun numéro
................................................................................................................................. je ne joue pas au loto ! ! ! 13 Mars 2014, 14:25 Encore un commentaire qui agasse :Dans ce commentaire, deux postulats m’interpellent plus particulièrement :
"sous Baclofène et rechuter"
Si on pouvait préparer rapidement une réponse collégiale ?
Citation (Sur RTL : chris91160 le 13/03/2014 Ã 07h10)
le Baclofène n'est pas pour les malades alcooliques dépendant, cela fait plus de 19 ans que j'ai arrêté de boire et fais partir de l'association "VIE LIBRE", j'ai pu voir dans notre groupe de parole des malades être sous Baclofène et rechuter... nous ne sommes pas égaux face à l'alcool et face aux traitements. Le seul traitement est pas d'alcool et faire partie d'une association d'anciens buveurs.Un malade alcoolique dépendant n'est pas capable de gérer sa consommation même avec le Baclofène
"sous Baclofène et rechuter"
- Je sais que c'est possible,
LasvegasP me l'a expliqué dans son post sur mon fil,
mais en reprenant tout de suite du Baclofène, on évite une rechute profonde.
- Mais si justement, l'indifférence lui permet de contrôler ses consommations.
Si on pouvait préparer rapidement une réponse collégiale ?
15 Mars 2014, 16:22 Vu dans :
le commentaire suivant :J'ai envie d'annuler mon prochain rendez-vous avec mon psychologue de l'ANPAA !
Non, je vais quand même y aller et m'en expliquer avec lui ou la directrice si besoin
le commentaire suivant :
Citation (Le quotidien du médecin)
Le 15/03/2014 Ã 12h15
Profession : Médecin
Profession : Médecin
- « En tant que médecin addictologue en CSAPA, je ne me réjouis pas particulièrement de cette RTU, ni la critique : à ce jour, aucune donnée ne permet de confirmer une efficacité particulière du Liorésal dans la prise en charge de l'alcoolo-dépendance. L'Acamprosate et la Naltrexone apportent au moins autant sinon davantage (surtout pour Naltrexone) d'intérêt que le Liorésal. Attendons plutôt l'arrivée prochaine en France du Nalméfène, qui me paraît plus intéressant que le Baclofène, mais cependant avec prudence... A ce jour, l'unanimité est acquise sur l'immense priorité à l'accueil et la prise en charge pluridisciplinaire : psychothérapies diverses (soutien, TCC, relaxation, hypnose..), sociale, diététique... »
Non, je vais quand même y aller et m'en expliquer avec lui ou la directrice si besoin
16 Mars 2014, 17:14 Citation (Carabus, 12 Février 2014, 16:25)
TEST 
- Et oui, elle est née le 03/03/03 à 03h03,
le chiffre 3 (comme toi Catherine le 4) semble lui porter chance
(d’ailleurs le Baclofène m’a sorti de mon alcoolisme en 2013)
Carabussinette et LittleCarabussette ont bu du Champomy,
Carabussette, CarabusBoy et moi avons préféré les 2 nectars des vignes.
La bouteille de Crémant a fait l’apéritif et le dessert,
l’Apremont a formidablement bien accompagné la fondue.
Donc pour ma part, 2 coupes de Crément et 2 verres de Blanc
et j’ai terminé la soirée au Brut de Pomme, sans aucune envie de boisson alcoolisée.
Cette nouvelle expérience, tout comme la Saint-Valentin
et mon anniversaire confirment l'intégration de mon indifférence.
17 Mars 2014, 23:05 Citation (Babouche, 16 Mars 2014, 17:54)
Merci de t'informer si régulièrement.
Je ne m'y applique pas,
Et c'est en passant sur ton fil que je vais aux nouvelles, finalement.
Je ne m'y applique pas,
Et c'est en passant sur ton fil que je vais aux nouvelles, finalement.
Si tu veux de l'information, Babouche,
va plutôt sur le fil d'Albéric "on en parle sur le WEB"
Citation (Babouche, 16 Mars 2014, 17:54)
Prise de conscience hier soir en lisant quelques-uns de tes posts.
Après avoir visualisé aussi le reportage contenant le témoignage de Laurence
( et sa conclusion très tendancieuse ).
La RTU est une vaste supercherie, et c'est drôlement dangereux pour des tas de raisons ( j'abrège, pas envie d'énumérer... Tu le fais, peut-être? ... )
Et avec le nombre ( nous sommes peu en vrai mais déjà suffisamment ici, et puis il y en a sur facebook, et puis les prescripteurs en connaissent, mais déjà fofo c'est pas mal ).
Jouer sur le nombre, oui, colporter.
Cet "aveuglement", volontaire ou pas, m'anéantit...
Après avoir visualisé aussi le reportage contenant le témoignage de Laurence
( et sa conclusion très tendancieuse ).
La RTU est une vaste supercherie, et c'est drôlement dangereux pour des tas de raisons ( j'abrège, pas envie d'énumérer... Tu le fais, peut-être? ... )
- [ ... ]
Et avec le nombre ( nous sommes peu en vrai mais déjà suffisamment ici, et puis il y en a sur facebook, et puis les prescripteurs en connaissent, mais déjà fofo c'est pas mal ).
Jouer sur le nombre, oui, colporter.
Cet "aveuglement", volontaire ou pas, m'anéantit...
Citation (azama, 16 Mars 2014, 18:03)
Je suis d'accord avec Souricette pour le "collégial"; Ca voudrait dire que la RTU, cet os à ronger, est une grande victoire.
C'en est une, de fait, mais ce n'est "que" pour 3 ans, et avec une limite basse.
N'ayons pas peur des mots, pendant ce temps-là , Lundbeck place son Selincro à la manière de tous les labos ayant à amortir une marque.
L'image de l'os qu'on jette à des chiens pour pouvoir passer sans être mordu, je l'assume. (Assumé, va!!!).
C'en est une, de fait, mais ce n'est "que" pour 3 ans, et avec une limite basse.
N'ayons pas peur des mots, pendant ce temps-là , Lundbeck place son Selincro à la manière de tous les labos ayant à amortir une marque.
L'image de l'os qu'on jette à des chiens pour pouvoir passer sans être mordu, je l'assume. (Assumé, va!!!).
Ce que je voulais faire passer comme message,
c'est que des gens plus ou moins bien informés
se permettent des commentaires souvent contradictoires
et déplacés auxquels nous devrions répondre.
Que la réponse soit individuelle ou collégiale n'a que peu d'importance,
c'est de ne pas laisser dire de telles inepties qui est grave.
Mais c'est un peu "se battre contre des moulins à vent" pour "enfoncer des portes ouvertes".
Est-ce bien utile de consacrer autant d'énergie et de temps à ces sournoiseries
venant de ces piètres bouffons hypocrite et sournois qui ne le méritent pas ?
Bon, vais prendre une p'tite camomille/passiflore pour me calmer
18 Mars 2014, 17:49 un post pour ne presque rien dire
ou juste pour te dire que je te lis toujours
biz
ou juste pour te dire que je te lis toujours
biz
19 Mars 2014, 22:42 .
Suite au commentaire que So a posté sur le fil d'Albéric : "on en parle sur le WEB"
Carrément ! et en plus de rien y comprendre, il le veulent leur Nalméfène avec le pognon qui va avec!
Voilà ce que j'ai écrit :
Suite au commentaire que So a posté sur le fil d'Albéric : "on en parle sur le WEB"
Citation (SO, 16 Mars 2014, 11:16)
Citation (Carabus, 15 Mars 2014, 20:12)
Vu dans :
le commentaire suivant :J'ai envie d'annuler mon prochain rendez-vous avec mon psychologue de l'ANPAA !
Non, je vais quand même y aller et m'en expliquer avec lui ou la directrice si besoin
le commentaire suivant :
Citation (Le quotidien du médecin)
Le 15/03/2014 Ã 12h15
Profession : Médecin
Profession : Médecin
- « En tant que médecin addictologue en CSAPA, je ne me réjouis pas particulièrement de cette RTU, ni la critique : à ce jour, aucune donnée ne permet de confirmer une efficacité particulière du Liorésal dans la prise en charge de l'alcoolo-dépendance. L'Acamprosate et la Naltrexone apportent au moins autant sinon davantage (surtout pour Naltrexone) d'intérêt que le Liorésal. Attendons plutôt l'arrivée prochaine en France du Nalméfène, qui me paraît plus intéressant que le Baclofène, mais cependant avec prudence... A ce jour, l'unanimité est acquise sur l'immense priorité à l'accueil et la prise en charge pluridisciplinaire : psychothérapies diverses (soutien, TCC, relaxation, hypnose..), sociale, diététique... »
Non, je vais quand même y aller et m'en expliquer avec lui ou la directrice si besoin
Carrément ! et en plus de rien y comprendre, il le veulent leur Nalméfène avec le pognon qui va avec!
Voilà ce que j'ai écrit :
Citation (@mail de Carabus à la directrice de l'ANPAA 25)
Madame ACINAS,
Je viens de lire dans "Le Quotidien du Médecin" le commentaire suivant au sujet du Baclofène :
5 semaines de cure de sevrage au CHS de Novillars et 3 mois de postcure au CSSR "Le Renouveau" de Dijon.
En sortant, j’ai souhaité continuer le suivi psychologique ce que vous m’avez proposé avec un de vos psychologues, Monsieur Pierre B...
Je prends du Baclofène depuis le 29 août 2013 et j’ai trouvé l’indifférence le 20 décembre 2013 à 210 mg.
Jusqu’à présent, j’appréciais énormément les échanges que j’avais avec Monsieur Pierre B...
Je pouvais livrer mes inquiétudes, exprimer mes satisfactions, chercher des axes de progrès.
Ces échanges m’apportaient beaucoup, ils me réconfortaient, me rassuraient et m’aidaient à asseoir ma guérison.
Mais quand je vois ce genre de commentaire, je suis surpris et déçu quant à la position de l’ANPAA vis-à -vis du Baclofène.
Soutenir que des molécules comme le Disulfirame, la Naltrexone, l’Acamprosate ou maintenant le Nalméfène
"apportent au moins autant sinon davantage d’intérêts que le Baclofène" est une péroraison abusive et surfaite.
Ces traitements aboutissent à 20% d’abstinents et 80% de rechutes alors que le Baclofène
permet la guérison de plus de 70% d’alcoolo-dépendants, avec une indifférence à l’alcool qui leur permet
de consommer modérément ou pas du tout s’ils le souhaitent.
Vous voyez peut-être le Baclofène comme une menace au système de soins actuel (établissements de postcure, centres d’addictologie …)
et par là même à vos recettes associatives composées essentiellement de subventions, mais ce n’est pas le cas.
Certes les alcoolo-dépendant sous Baclofène ne reviendront pas X fois en cure et postcure puisque 1 voire 2 suffiront
(quelle économie pour notre système de protection sociale si déficitaire !), mais ils ont besoin de centres d’alcoologie pour leur suivi psychologique.
S’ils ne viennent pas ou peu aujourd’hui, c’est que tant que vous ferez l’apologie de ces traitements à l’espérance de guérison
plus que relative et imposant une abstinence à vie, ils n’auront aucune nouvelle motivation
pour franchir votre porte et refuseront encore et toujours de se soigner.
Demain en intégrant le Baclofène dans votre protocole de soins, vous pourrez capter, en plus, les 98% d’alcoolo-dépendants
qui ne se soignent pas par faute d’efficacité des molécules actuellement utilisées
(2 millions d'alcoolo-dépendants, 4 millions de buveurs excessifs et seulement 2% de ces 6 millions qui se soignent)
et vos subventions publiques ne seront du coup pas remises en cause.
Au lieu de poster ses commentaires sur un site uniquement accessible aux professionnels de la santé
(où les patients ne peuvent pas répondre),
votre "collègue anonyme" ferait mieux de se rendre sur les forums
http://www.baclofene.com et http://www.baclofene.fr
où de nombreux témoignages de patients confirment l’efficacité du Baclofène.
Si c’est un manque de connaissance, il peut s’inscrire sur le site http://resab.fr
où il pourra s’informer et échanger avec ses homologues.
Une RTU vient d’être accordée pour le Baclofène, que va faire l’ANPAA ?
Je viens de lire dans "Le Quotidien du Médecin" le commentaire suivant au sujet du Baclofène :
- "En tant que médecin addictologue en CSAPA, je ne me réjouis pas particulièrement de cette RTU, ni la critique :
à ce jour, aucune donnée ne permet de confirmer une efficacité particulière du Liorésal dans la prise en charge de l'alcoolo-dépendance.
L'Acamprosate et la Naltrexone apportent au moins autant sinon davantage (surtout pour Naltrexone) d'intérêt que le Liorésal.
Attendons plutôt l'arrivée prochaine en France du Nalméfène, qui me paraît plus intéressant que le Baclofène, mais cependant avec prudence...
A ce jour, l'unanimité est acquise sur l'immense priorité à l'accueil et la prise en charge pluridisciplinaire :
psychothérapies diverses (soutien, TCC, relaxation, hypnose..), sociale, diététique..."
- "Je réponds à l'ignorant ("profession médecin ! ") qui vient d'écrire ces contre-vérités, protégé par l'anonymat,
que si les médicaments et les méthodes dont il parle étaient très efficaces, cela se saurait, notamment à travers la littérature scientifique.
Je constate d'ailleurs que les adversaires du baclofène, pris souvent dans des conflits d'intérêts
ou tout simplement peu au courant, ne publient jamais leurs résultats. Pr B. Granger."
5 semaines de cure de sevrage au CHS de Novillars et 3 mois de postcure au CSSR "Le Renouveau" de Dijon.
En sortant, j’ai souhaité continuer le suivi psychologique ce que vous m’avez proposé avec un de vos psychologues, Monsieur Pierre B...
Je prends du Baclofène depuis le 29 août 2013 et j’ai trouvé l’indifférence le 20 décembre 2013 à 210 mg.
Jusqu’à présent, j’appréciais énormément les échanges que j’avais avec Monsieur Pierre B...
Je pouvais livrer mes inquiétudes, exprimer mes satisfactions, chercher des axes de progrès.
Ces échanges m’apportaient beaucoup, ils me réconfortaient, me rassuraient et m’aidaient à asseoir ma guérison.
Mais quand je vois ce genre de commentaire, je suis surpris et déçu quant à la position de l’ANPAA vis-à -vis du Baclofène.
Soutenir que des molécules comme le Disulfirame, la Naltrexone, l’Acamprosate ou maintenant le Nalméfène
"apportent au moins autant sinon davantage d’intérêts que le Baclofène" est une péroraison abusive et surfaite.
Ces traitements aboutissent à 20% d’abstinents et 80% de rechutes alors que le Baclofène
permet la guérison de plus de 70% d’alcoolo-dépendants, avec une indifférence à l’alcool qui leur permet
de consommer modérément ou pas du tout s’ils le souhaitent.
Vous voyez peut-être le Baclofène comme une menace au système de soins actuel (établissements de postcure, centres d’addictologie …)
et par là même à vos recettes associatives composées essentiellement de subventions, mais ce n’est pas le cas.
Certes les alcoolo-dépendant sous Baclofène ne reviendront pas X fois en cure et postcure puisque 1 voire 2 suffiront
(quelle économie pour notre système de protection sociale si déficitaire !), mais ils ont besoin de centres d’alcoologie pour leur suivi psychologique.
S’ils ne viennent pas ou peu aujourd’hui, c’est que tant que vous ferez l’apologie de ces traitements à l’espérance de guérison
plus que relative et imposant une abstinence à vie, ils n’auront aucune nouvelle motivation
pour franchir votre porte et refuseront encore et toujours de se soigner.
Demain en intégrant le Baclofène dans votre protocole de soins, vous pourrez capter, en plus, les 98% d’alcoolo-dépendants
qui ne se soignent pas par faute d’efficacité des molécules actuellement utilisées
(2 millions d'alcoolo-dépendants, 4 millions de buveurs excessifs et seulement 2% de ces 6 millions qui se soignent)
et vos subventions publiques ne seront du coup pas remises en cause.
Au lieu de poster ses commentaires sur un site uniquement accessible aux professionnels de la santé
(où les patients ne peuvent pas répondre),
votre "collègue anonyme" ferait mieux de se rendre sur les forums
http://www.baclofene.com et http://www.baclofene.fr
où de nombreux témoignages de patients confirment l’efficacité du Baclofène.
Si c’est un manque de connaissance, il peut s’inscrire sur le site http://resab.fr
où il pourra s’informer et échanger avec ses homologues.
Une RTU vient d’être accordée pour le Baclofène, que va faire l’ANPAA ?
19 Mars 2014, 23:40 À lire ce qu'a mis Sylvie sur l'appel des psychiatres
C'est encourageant
Belle nuit à vous
C'est encourageant
Belle nuit à vous
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