Bonsoir LeeLas,
Parfois nos pères disparaissent à nos 8 ans, ou un peut plus tard.
Ce genre de deuils, précoces ou tardifs, sont souvent très douloureux.
Tout comme celui d'un enfant perdu.
Mais, l'idée, est de se dire, de parvenir, pour tenter de "sublimer" l'atroce et l'absurde, qu'en leur offrant, à nos chers décédés, ainsi qu'à nous même, l'image de la "dignité" dans le deuil qu'on leur porte, alors, peut être ainsi parviendront-ils à flotter désormais de limbes en limbes plus sereinement?
L'écueil et la tentative de dissipation, d’atténuation de nos peines exacerbées, en un cubi toujours bien trop rempli, si vite ingurgité, jamais vide, est un acte bien humain, si compréhensible, à ne pas condamner subitement. Mais, en cela, en s'enivrant de douleur, d'expériences perso, face aux deuils répétés, le mauvais goût d'amertume ressenti durablement me laisse à penser qu'il me faudrait agir désormais autrement, en suis-je capable?, quand la faucheuse viendra fatalement à nouveau, mes grands parents, me déposer un faire part de la disparation d'un proche aimé.
Je vous embrasse bien fort, toi Jérôme avant tout, sincèrement, et vous souhaite humblement de tenter, Zeus que c'est difficile, de parvenir à surmonter cette triste épreuve d'existence sans trop d'encombre, de soubresauts dans vos réussites diverses actuelles.
Stéphane
PS : si mon post vous dérange?, vous importune?, dite le moi vite, je le retirai à l'instant.
Il vient du cœur, d'un élan d'empathie humaine réelle. Je ne souhaite surtout de désaccord de pensée vis à vis de vous en pareil circonstance.