Bonjour,
Je viens d'avoir 51 ans, je vous assure que personne n'a pensé à m'en améner une bouteille.Lol
J'ai toujours été extrème plus souvent avec le vilain qu'avec le beau, hélas
La fumette à été ma 1ère addiction, puis l'héro, les médocs, le sucre, les pommes, les livres (j'en mangeais 5/semaines, j'ai diminué mais je reste encore fidèle et plus accro. et à la quarantaine (hédidité sous 3 générations je deviens la 4ème
J'étais jolie, je suis devenue obèse, mon compagnon, un homme charmant, et toujours avec moi depuis qu'on a 20 ans, n'a connu ces addictions que par moi, sinon son pétard le soir et ses clopes

En juillet dernier, j'ai tenté une cure en clinique. c'était sur 12 jours. Seulement après te voila dans la nature.
Et c'est quoi la nature d'un alcoolique privé depuis 12 jours ;
attendre 3 semaines une post cure.
Évidemment, patatrac.

Seulement, je vois que quelque chose ne va pas, je ne pêux plus lire, j'ai une fièvre énorme, enfin la cata.
Je cherche à joindre mon addictologue, je n'arrivais plus à écrire de la fièvre a + de 40, je n'arrivais plus à m'exprimer sans chialer toute l'eau de mon corps

.
Lui, il dit que je bois, qu'en fait je devrais aller en clinique psy et blabla.
J'ai appelé ma généraliste, elle s'en est mélée, ils ont fini par me rprendre à la clinique.
Il voit que je suis dans une immense faiblesse une température très haute, font des analyses.
Résultats; j'ai bien quelque chose.
l'addictologue sait tout . J'ai une infection des bronches.
Scanner, radio, bon c'est pas l'azur mais le pneumo (heureusement qu'il était là ) n'y croit pas.
Il dit de monter le scanner plus haut.
Résultats des courses : PYÉLONÉPHRITE ABCÉDÉE. abces sur le rein droit.
Bien l'addictologue, non ?
J'étais en train de mourrir
