Hello...
Juste un constat:
Tifrère qui "gère" son alcoolisme selon ses envies (c'est à dire n'a pas foncièrement envie d'arrêter), est également dépressif. D'ailleurs il n'y a que "grammé" qu'il ne déprime plus, nous sommes tant a avoir connu ça.
Il ne déprime pas depuis très longtemps, disons depuis le courant de l'année 2012 ou il a vu partir sa compagne, 45 ans, sur plusieurs mois, de façon horrible (merci le tabac).
Pendant les mois ou elle était sous morphine à haute dose, dans le cirage 24/24, il a su se tenir, faire les trajets à l'hosto, communiquer avec la belle-famille, puis, en octobre, après le décès, il est devenu étrange, absent (on le serait à moins).
Je parle des 2 l'alcoolisme ET la déprime, car, disons 3 fois l'an, il va passer un mois au "Club Med", une clinique ou il a sa piaule près du wifi, bref ses habitudes, ses parties de tarot, etc...
Son psy (le mien au passage), lui a passé le panégyrique des AD, en alternance avec la psy de la clinique, et il en a bien essayé 7 ou 8, mais toujours arrêtés pour effets indésirables, jusqu'au dernier qui semble bien lui réussir.
J'entends par là que depuis 2 mois environ, ses envies suicidaires ont disparu, qu'il a l'air peu affecté par des événements qui l'abattaient, disons détaché, neutre, et mieux: Lui qui n'a plus aucune passion depuis longtemps, il vient de se retrouver un truc qui le motive (a 60 ans): Retaper une moto de compétition! Quand on le connaît, c'est plus que surprenant!
VoilĂ , ce truc "miracle" s'appelle VALDOXAN.
J'ai vu que ça semblait agir comme la mélatonine, synthétisée à partir de la sérotonine, qui dérive elle-même du tryptophane.
Voili-voilou, tout ça pour si peu.
Si j'en sais plus
