Hop Flo.
Les non dits, sont parfois entendus, sûrement par la propension à avoir des réflexes communs.
Ce qui important c'est ta réflexion, tes constatations :
-Tu peux consommer mais cela en rien ne soignera ta peine, tes manques, tes absences.
Au contraire, je pense que cela les retarde, retarde l'acceptation pour pouvoir avancer.
Comment faire un deuil (deuil d'un proche, d'une relation, d'une situation, un deuil en général) en le refusant ?
Je ne vois pas.
Un type me disait " Je ne veux pas boire quand je suis triste, sinon comment éprouver, trouver une solution, et avancer"
C'est con mais ouai..
Réflexe, un réflexe qui est une mauvaise réponse, mais la plus accessible sur le moment.
J'ai eu quelques moments durs ces derniers temps, réflexe de retour, en très petites doses, mais réflexe tout de même.
Un constat rapide sur l'inutilité de la chose...une acceptation rapidos, une baisse de baclo, un regain d'activité, ont mis fin à cela.
Un tout et non que de la chimie.
Un bouquin sympa sur les deuils :
Je t'aime la vie
PARACETAMOL : "Mais il reste un médicament, avec des effets indésirables qui peuvent se révéler redoutables. Pour les éviter, il est indispensable de ne pas dépasser les doses autorisées, la consommation de 4 grammes par jour devant rester exceptionnelle. Une campagne de communication sur ce médicament très largement utilisé en auto-médication est actuellement envisagée."
Paracetamol
Essaye d'alterner avec de l'ibuprofen and co, mais trouver la cause est surement plus profitable que de ne soigner le symptĂ´me.
MM