Au niveau du test, environ Ă 17, 23 si je pousse un peu plus le test.
1 à 2 cuites par semaine, parfois 3, pas d'alcool les autres jours ou très peu. Au niveau des medocs, j'ai pris un tout petit peu de lexo (efficace pour moi), mais les benzos rendent accros alors j'ai tres vite laissé tombé d'autant plus qu'il est connu qu'assez vitell'alcool revient AVEC les benzos donc ils ne résolvent rien sur le long terme.
Résultat des courses, j'ai fait des tests, des essais, abstinence 2 semaines, puis 5 semaines, grosses angoisses, culpabilité à la reprise de l'alcool, rdv avec un alcoologue, discussion discussion mais refu de prescription du baclo du coup j'ai trouvé un prescripteur aui accepte de tester le truc. On verra ce que ça donne... j'y crois donc ce sera peut être efficace. Je pense qu'avant de commencer il faut beaucoup se renseigner, etre sûr d'en avoir besoin, réfléchir, c'est une chance, peut être la seule, il ne faut pas la louper.
A partir du moment où tu es sûr de toi, que tu es prêt à te lancer, que tu es renseigné, conscient des "risques" (faibles mais qui existent, les effets secondaires, le fait de suivre scrupuleusement la posologie, de ne pas arrêter brutalement), inutile de continuer le baratin avec les adictologues, les cures etc... lance toi.
N'oublions pas que nous sommes un "marché" pour eux, mais nous on s'en tape, on veut se soigner, le mien quand je l'ai vu la semaine dernière avant ses vacances, qu'il venait de me refuser le baclo pour la nième fois alors qu'il me l'avait promis pour le jour même, que je m'attendais déjà à un nième revers de sa part, quand je lui ai dit sur le pas de la porte, j'ai rendez-vous à tel endroit cette semaine (lieu qu'il connaissait très bien) il a compris que j'en avais marre d'attendre et il sait que la prochaine fois sue je le verrai je serai en traitement baclo (pas grace à lui) mais je suis content qu'il comprenne et réalise que la prescription de baclofene ne dépend pas de lui, c'est un homme bon, mais lui ou sa hiérarchie ne veulent pas nous faire profiter de ce traitement, par peur, peur du produit ou perd de me perdre car trop efficace ?
Lorsque je le reverrai, je veux qu'il comprenne que je ne le supplierais plus de me prescrire, qu'il n'y aura plus ce lien de demande, je veux qu'il sache que si je rencontre quelqu'un dans un problème d'alcool que ce n'est pas vers lui sue je l'enverrai, pas par vengeance, parce sue je veux que les alcoologues changent, je veux qu'ils comprennent qu'ils doivent être les premiers à supporter ce traitement, car si ils continuent à faire les fines bouches, ils perdront des clients, de plus en plus et qu'ils finiront par fermer les alcooliques en tant que bons clients intelligents se redirigeant simplement vers leur medecins traitant.
Je ne suis pas contre les centres spécialisés en alcoologies, je veux juste qu'ils fassent leur boulot et qu'ils prennent conscience que leur stratégie de ne pas prescrire n'est au final pazs payante.
Début de traitement le 08/08/2014. Aujourd'hui en descente, après un seuil à 250mg je suis à 120mg/j en 2 prises 16h 40mg / 18h00 80mg.