Coucou So, Mimine
J'ose espérer, peut-être naïvement, que le baclo guérit, définitivement, la maladie de base
Ensuite, selon les cas que tu décris, So, en effet, soit on est contents avec sa consommation ou non consommation, soit il reste des malaises, mais autour de la vie à restructurer
Les problèmes ont été étouffés, vont-il se résoudre, ou bien doit-on aussi soigner cela par la suite
Je crois aussi que le baclo, la guérison agit différemment selon les personnes, certaines se retrouvent dégoûtées de tout liquide alcoolisé, d'autres apprécient vraiment leur bon vin, et pour d'autres, ce sera non consommation, et peut-être une consommation un peu plus forte à l'occasion (on l'a vu avec les vacances chez pas mal de guéris)
Le tout est d'être à l'aise et de ne plus être dans le combat et de faire la différence entre guérison du baclo, et guérison du reste
Certaines personnes non malades boivent leur vin tous les jours à table, ou leur bière en rentrant du boulot, d'autres ne boivent jamais, peut-être un apéro une fois tous les 6 mois.
Etre alcoolique c'est un état personnel, être guéri aussi je crois
Bisous
Manue
Rechute depuis 2013, début du baclo, dose maximum atteinte 330 mg, dose de déclenchement 290 mg, de longs paliers à 190 mg, puis 120, bref, aujourd'hui à 50 mg, dose de confort depuis plus d'un an, plus d'excès d'alcool, 0 consommation en solo, quelques verres en famille une fois par an, sur deux ou trois jours, et encore... objectif atteint, en 7 ans... alors patience ;-)