Merci à tous pour vos mots pleins de cette lumière des vécus, de cette fraternité que j'ai trouvé dés mon arrivée, et que je ne cesse de redécouvrir au fil des jours ici-même. Et peut-être ici plus qu’ailleurs.
J'ai dit ailleurs, chez BB, que d'avoir fait le bilan d'un an d’indifférence, de l'avoir couché en mots face à moi-même, puis publié pour vous, avait été plus difficile que je ne l'avais cru. Je n'en suis pas ressorti indemne tant il a fallu arracher les mots des obscurités interdites de ma conscience. Moment d'introspéction plus bouleversant que prévu.
Ne pas se raconter d'histoires, ne pas se perdre en justifications sur nos actes, se voir soi-même alors que nous voyons en nous-même est une épreuve que je crois salvatrice. Il ne s'agit pas de se juger ni de se voir comme nous supposons que les autres nous voient, mais de comprendre, de faire la lumière sur nos motivations cachées. Au-delà des réponses immédiates et évidentes que nous formulons face à nos actes et nos pensées, chercher dans nos consciences les rouages secrets.
J'ai souvent pensé que j'en étais venu à boire par excès de conscience. D'être trop conscient au milieu d'une humanité si inconsciente. Sans jugement de valeur, j'ai parfois envié les inconscients. Il me fallait me couper du monde humain pour aller plus loin dans le monde tout court. Je trouve le monde naturel d'une beauté si subtile, faite de cette désarmante simplicité mêlée d'une complexité sans fin. Et les Hommes si frustes, si fermés, grossiers et brutaux. J'ai dû me réfugier dans mes livres, dans les sciences, dans l'art, dans tous les domaines de l'esprit pour trouver un équilibre, un espoir dans cette société aussi déséquilibrée, désemparée que brutale.
J'ai toujours refusé d'être comme les autres. Non par choix intellectuel mais par nature. La nature dont nous sommes fait qui refuse de se conformer à l'anti-nature de la société humaine telle qu'elle est.
Bref !
Je suis toujours touché quand vous me dîtes vous reconnaitre à travers mes mots. Comme j'ai pu me reconnaitre à travers les vôtres, j'ai moins l'impression d'étaler ma pensée pour moi-même autour de mon égo !
Fripoune, mon colibri, merci pour tout ! C'est bon de se sentir aimé ! Tu vois, c'est grâce à toi, à des personnes comme toi que le genre humain respire. Que jamais je ne le condamne, même si je préfère garder mes distances.
Et je suis vraiment ravi que tu aimes ma musique étrange. Et surpris ! Non que tu aimes, mais que quelqu'un puisse aimer !
J'ai fait ces expériences musicales il y a bien longtemps... Seul avec mon petit ordi et deux machines, dans ma petite chambre. A monter des petits bouts de sons, des expériences audio, en commençant de nulle part, me laissant guider, posséder sans destination. Voila ce qu'il en reste.
Des centaines d'heures à tourner ces brides de musique en boucle, à ajuster telle courbe, tel micro-réglage, à écouter encore et encore, et recommencer. Et apprendre, et découvrir ! Je connais chaque instant de tout ces morceaux, je les sais par cœur, en partition comme en toutes autres choses. Des milliers d'heures, à être tour à tour preneur de sons, compositeur, ingénieur, programmeur, des milliers d'heures.
Ce que vous écoutez n'est pas de la musique, c'est la trace de mes apprentissages.
Et si vous saviez comme cela me manque. N'être plus rien d'autre qu'un apprenti créateur de mondes.
J'étais libre en conscience, de n'être plus que cela. Je vivais chez mes parents, qui me laissaient vivre mon art. J'avais vingt ans et la vie devant moi, et pour la première fois depuis la fin de ma scolarité, j'avais le temps de la vie pour être ce que j'étais. Ne devant de comptes à personne, enfin libéré de la violence de la société, de l'extérieur, je passais alors tout mon temps, mes jours et mes nuits avec mes fréquences, mes synchros et mes filtres, mes études du comportement de la matière et des paysages sonores.
Et maintenant... Maintenant que j'ai dix fois plus de moyens... Maintenant que je vis dans l'endroit de mes rêves, avec la femme de ma vie... Maintenant qu'elle me fait ce cadeau suprême qu'est le temps, puisque je ne travaille pas... Et maintenant que je suis revenu des Enfers...
Maintenant je n'ose plus toucher mes claviers que du bout des doigts. Je n'ose plus ouvrir un nouveau projet. Je ne sais même pas comment j'ai bien pu faire ce que j'ai pourtant fait il y a quinze ans. Non pas au sens technique bien entendu. Mais au sens où retourner en cet état d'immersion me fais peur. J'ai peur de lâcher prise.
J'ai aussi peur de me retrouver toutes ces années en arrière, lorsque je ne devais justement rien à personne. Alors que ma philosophie de vie est de vivre l'instant présent comme le dernier, quelque chose en moi m'empêche de faire (refaire ?) ce qui pourtant est ma vie : La Musique. Et dans un parallèle, le dessin, et l'art en général.
J'ai encore peur de prendre tout ce temps pour moi. Pour faire cette chose gratuite et éphémère. Alors même que ma chérie est toute heureuse quand je me commets à un peu de musique, je me sens débiteur. Je me sens tricheur, imposteur, coupable de perdre son temps.
Mathieu, comme tu as bien fait de laisser une trace par ici. Comme je nous sens proches, d'histoire et de goûts.
J'avais quinze ans tout juste quand la mère de mon seul ami d'une année d'exil au collège m'a prêté Dune. C'est étrange que tu ai parlé de diamant brut, car justement ce jour-là, chez eux, j'ai découvert éparpillés au sol, sous un petit meuble, quelques petites choses étincelantes... J'étais fou de minéralogie à l'époque et je n'ai pas mis longtemps à reconnaitre ce que je tenais dans la main ! Je venais de ceuillir des diamants égarés, encore bruts ! Elle en avait la charge, pour une raison que j'ai oublié... Je te passe son bonheur quand je lui ai donné les pierres, et probablement en sortant une connerie du genre "C'est sympa chez vous ! On trouve des diamants partout !" Bref, j'étais devenu un ami. Au plus grand bonheur de mon pote Nico, car elle se méfiait un peu de moi, de mes cheveux longs et de ma rebellitude permanente !
Dune a été bien plus qu'un roman. Ce fut une rencontre décisive.
Oui, le Dormeur doit se réveiller ! Dune m'a éveillé.
Ahh, les Floyds... Que dire ? Eux aussi, ils m'ont éveillé. Si Dieu est guitariste, David Gilmour est son prophète !
Mon paternel préféré les avait depuis toujours parmi tout ses disques, mais je ne les ai découvert vraiment qu'un jour soudain. J'étais malade, un peu cloué au lit et aussi, je me souviens totalement
déchiré,
déboité,
satellisé,
défoncé, étourdi à cause d'un sirop pour la toux démoniaque. (et ils osent nous emmerder avec le baclo...
putain !) Y'avait pas encore tout à fait Internet en 97, et je tournais en rond avec les quelques bons disques que je connaissais. Je décidais de taper dans les disques du Padre... La main guidée ce jour-là : Le double live
Delicate sound of Thunder.
Je ne les ai jamais quitté. J'avais alors partagé cette découverte avec mon pote de toujours, qui en est devenu fan Absolu* ! Au point de n'écouter quasiment plus que ça. J'arrive à le comprendre, aussi ! Avec lui, nous avons de toujours eu des synchronicités aussi incroyables que fréquentes.
Bises mon Juju ! Pour le jour où je te dirai où lire mes écrits ! ;-)
Mathieu, je suis heureux que tu trouves en mes mots les choses que tu aurais pu écrire de ta douce, de votre relation. C'est ce qui donne du sens aux miens. Nous avons cette chance, ce miracle que sont nos femmes merveilleuse.
Un jour, je vous écrirai un mot sur mon ptiloup, ma femme chérie, mon trésor de l'Univers. Un mot juste sur notre couple, sur nos histoires et nos épreuves. Sur les interactions des couples "homme bourré/femme extraordinaire". Ça promet d'être bien éprouvant pour mon pauvre neurone survivant.
Et nous causerons zordinateurs ! Cependant, avec le temps, je vois de plus en plus ces machines comme des outils dont j'ai besoin qu'ils fonctionnent sans faiblir. Je dois faire des choix parmi mes passions, et j'avoue que les entrailles numériques ne sont plus qu'un vieux loisir, passionnant mais tellement consommateur de temps. Je confesse quand même qu'un bon vieux terminal Unix me manque parfois ! Et surtout mon linux ! Je suis revenu forcé à
cet énorme paté corrompu Windows, pour cause de programmes de musique exclusifs. Que je n'utilise pas d'ailleurs, mais ça fait toujours une barrière de moins... Au cas où je me lancerai dans cette folie qu'est un nouveau morceau...
Ahhrf, l'entreprise... Que dire... Ce qui devait être mon émancipation, et surtout, surtout une source de pognon, c'est transformé en poison si vite. Pour ceux qui voudraient me faire croire en une "valeur travail", sachez que je trouve votre valeur aliénante et destructrice du temps, de l'esprit, de la Nature et de la société.
Le Québec, c'était le voyage le plus psychédélique que l'on puisse faire. Je n'avais jamais pris un avion de ligne. Je venais tout juste de ressusciter, et encore tout incrédules devant ce miracle, nous nous retrouvions à l'autre bout du globe, dans des villes incroyables avec des gens incroyables puis dans une nature intacte et immense. Autant dire que ça fait beaucoup pour un seul homme ! Les yeux de nouveau grands ouverts, aux larmes devant la beauté du monde retrouvée.
Et une fois là-bas, j'avais très envie de faire un mot aux copains baclotés. Mais j'avais paumé mes ident/mdp pour le forum et mail inaccessible ! Alors bon, j'ai pas vraiment piraté, enfin... Disons qu'il fallait schtroumpfer un truc, quoi ! Le plus dur, c'était ce maudit clavier en qwerty ! Et pire, sur un ordi public, les touches étaient à moitié effacées !
Des jours plus tard, nous avons planté la tente au milieu d'un immense parc à loups, tout au nord, perdus dans les forêts. Et bien, se réveiller avec les hurlements à deux heures du matin... C'est un truc à vivre !
J'irai bien faire un tour en Laponie tiens ! Et en Islande.
Merci pour les dessins. C'est comme pour la musique, bien qu'un peu moins dur, je n'imagine pas me remettre devant une feuille blanche. Ou une tablette graphique, parce que je suis très fan aussi.
Eh oui, Chani, parce que Chani quoi ! J'ai hésité longtemps avant de de lui donner ce prénom sacré. Mais heureusement, tous ne connaissent pas, et ceux qui savent la référence la trouve magnifique ! Donc, je suis plutôt soulagé ! Même si j'avais imaginé bien d'autre chose pour ce dessin, il est pour moi inachevé. J'ai fais ça à mon époque whisky. Entre le quart et la demi-bouteille quotidienne, pour survivre à mon boulot, ses horaires sans bornes et son aliénation totale.
Merci d'avoir écouté ma musique, et surtout merci d'avoir mis un petit commentaire, c'est ce qui me manque le plus.
J'ai dans la tête de la musique en permanence, et très souvent, la mienne. Elle est si différente de ce que j'ai pu donné à écouter...
Albéric ! Albéric ! Nous nous sommes déjà croisé l'ami, tu as même laissé tes mots sur mon fil ! J'ai l'impression que c'était dans une autre vie.
Je sais tes soucis de santé, et si je ne poste pas chez toi, sache qu'il y a quand même un ptit gars en Bresse qui pense au ptit gars du plat pays.
Merci pour la belle plume ! J'essaye d'exprimer ma pensée au plus juste. J'ai tellement entendu dire que j'utilisais des mots compliqués, que j'étais un intello, etc...
Bandes d'ignares. Allez, je ne vous hais point !
Barevum subito incultum.
Donc, grand merci.
Merci aussi d'avoir écouté ce magma sonore que l'on appelle musique, à défaut d'autre nom ! Oui, c'est pas mal technoïde, j'avoue ma faiblesse pour le genre. Et l'influence très marquée qu'il a sur moi.
Mais j'ai des symphonies dans la tête, et je me jure qu'un jour, elles seront audibles !
Pour le forum, le baclo et le reste avec, si je suis inconstant de l'extérieur, je t'assure qu'en-dedans, je suis d'une constance de plus en plus terrible.
Non, je ne le prend pas à heures fixes. Mais ma vie entière n'est pas à heures fixes non plus... Il n'aurait aucun sens à me contraindre des horaires et des doses alors même que je ne connais aucun horaire pour rien.
Au passage, je rejette le dogme des repas à heures fixes aussi. C'est la plus stupide bêtise qu'on puisse fourrer dans le crâne des gens. La contre-nature dont je parlais s'exprime là. Dans la nature, et de tous temps, les êtres se nourrissent quand opportunément ils le peuvent, et si à l'écoute de leurs corps ils en éprouvent le besoin. Ils sont littéralement conçus pour ça. De même pour le sommeil.
Tout cela relève du dogme, de la croyance et du communément admis par le plus ou moins corps médical.
N'oublions jamais ce que nous sommes, nous humanité : une étincelle dans les mille millénaires du Cosmos. Nous sommes forgés par les âges, et nous nous contraignons à des vies contre nature. Des nourritures empoisonnées, alimentaires comme intellectuelles, des activités nocives et ces foutus horaires ! Qui nous empêchent justement d'être en état d'écoute, d'éveil et de capacité ! Qui n'ont aucune connexion avec la vie, ni biologique, ni extra-biologique, entendez par là planétaire et cosmique. L'environnement qui nous baigne, sinon ne nous façonne, et ce depuis des milliards d'années.
Leur seule raison d'être encore, de nos jours, n'est plus qu'un impératif d'uniformisation de nos existences voué à servir un productivisme mortifère, à maintenir le bon vieux temps des usines et des bureaux comme si nous n'avions pas cent fois la technologie pour nous en affranchir. Nous maintenons l'Ancien Monde. Stupéfés par notre propre pouvoir si soudainement immense, nous ne savons quelle voie prendre, tellement tous les choix nous sont possibles désormais. Les clefs du deuxième Age de l'humanité, celles de l'émancipation, sont des brevets sous scellés dans les tiroirs des pétroliers, des multinationales aveugles en général, et des militaires et assimilés surtout.
(1)
Aussi, je ne semble pas avoir réussi, Albéric : J'ai réussi. Je ne parle pas souvent comme cela, j'ai plutôt tendance à nier mes succès.
Tu vois ce que tu appelles dommage inconstance, je l'appelle guérison.
Maintenant, puisqu'il faudrait que je te rafraichisse de mon immense savoir, je vais vous montrer mon petit tableau de ces dernières semaines. Mon cher Albéric, tu ne connaitra pas la Peur !
Oui j'ai dit dernières semaines, parce qu'avant je ne notais rien. (8*
Mais d'abord, petit topo préambulesque.
Je n'ai plus aucun craving depuis des mois. Je veux parler du Craving, le gros, le méchant, le vrai. Celui qui te ferai damner pour une goutte de gasoil. Seule subsiste l'envie d'un raffinement liquide de la civilisation. Un verre de Côte-de-Nuits. Ou un vieux Cognac, un Whisky improbable de mon pote fou du breuvage ambré ! D'une Orval ! L'envie d'un verre la plus naturelle, la plus détachée de l'addiction, la plus saine. La plus merveilleuse. Celle qui ne s'entache pas de la culpabilité, ni de la peur du premier verre.
Parfois même, je bois plus que de raison ! Quelle expérience qu'une nuit ici, dans une maison deux fois centenaire, dans la calme de ma campagne, en compagnie d'une bonne hifi et d'un bordeaux, à découvrir encore les
chants Cistercien. Et de là, planer vers le XIIeme siècle, haut moyen-âge, une époque de trés hauts raffinements et connaissances, et non de perpetuelle guerre et barbarie comme nous la vivons en ce moment. Si les guerres pouvaient persister quelques années, la paix durait des siècles.
Le seul inconvénient est qu'une fois le picrate épongé et les curés rentrés à la maison, je pourrai me sentir quelque peu bourré !
Et qu'au réveil, juste pas envie de remettre ça de sitôt. Le souvenir d'un très bon moment passé, sans regret. Mais j'en payerai le prix, comme n'importe qui descend lentement mais proprement une bouteille de précieux pinard ! Un peu étourdi, vaguement pâteux, les boyaux un peu tordus, et surtout pas envie de boire un verre de ce divin flacon pour les siècles des siècles,
amen !
Je n'ai jamais repris une de ces cuite abominable à la vodka et à tout ce qui se boit. À boire et vomir et reboire encore jusqu'à tomber. Le litre par jour... Je n'oublierais jamais.
Ni même une cuite sévère tout court. À se réveiller avec une gueule de bois du diable. Je n'ai pas envie d'alcool. Je dirai même que si le Côte-de-Nuits sans alcool existait, je n'aurai rien contre ! Quand à la perspective d'ingurgiter du whisky de supérette, elle me révulse, me contracte l'estomac rien que de l'écrire. Celle d'une cuite m'horrifie. J'ai réussi.
Les effets secondaires.
Comme j'ai une chance indécente, j'en ai très peu, pour ne pas dire aucun.
Je commence par le pire, qui reste très trééés occasionnel, et dont je ne comprend rien au fonctionnement : L'impression que quelqu'un me serre un peu la gorge, avec deux mains bien à plat. Une pression sur les carotides, pas sur le larynx. Avec plus ou moins les tempes qui battent et les yeux comme poussés, écrasés. Ce n'est pas douloureux, mais c'est assez étrange un peu désagréable et génant. Ça vient assez subitement, persiste une heure ou deux, puis passe. En association, comme beaucoup, il m'arrive d'avoir de très légers fourmillements dans la nuque. Ma tension est normale.
Certains jours, plutôt rares, je peux avoir de grands instants de fatigue soudaines. Ça se produit deux ou trois fois sur la journée, puis passe en quelques heures.
Parfois, mais rarement, le baclo et le liquide se fâchent. Il suffit d'un verre pour salement m’assommer. Les jambes coupés d'un coup, une sorte de nausée, l'impression d'avoir été empoisonné. Oui, c'est le cas, je sais ! J'ai été empoisonné. À moi ! Nan c'était pour mettre du rythme. Ça dure quelques heures au très grand plus.
Il m'arrive aussi plus fréquemment de me réveiller très "nébuleusement", fourmilleux, un peu étourdi, et souvent avec l'envie, ou l'impression que je pourrai me rendormir encore pour des jours entiers. Ça passe en quelques minutes un fois levé.
Je crois que j'ai fait le tour. Libido normale. C'est à dire : exacerbée et déviante !
J'ai un sommeil très chaotique, mais ça, c'est d'avant, le baclo n'a rien ajouté ni retiré. Je dors encore moins qu'avant, vu qu'avant... C'était plus du coma anesthésié que du sommeil. Je pouvais "dormir" douze à quinze heures d'une traite, imbibé à mort, et encore me réveiller défoncé. Maintenant, je dors entre deux et sept heures, avec plus ou moins de régularité. Je vais dormir sept heures pendant trois semaines, puis deux ou trois pendant quinze jours, ce genre de schéma.
Encore un effet mais pas secondaire. Disons corollaire : J'ai un apétit disons... Remarquable.
Je ne grignote pas, mais j'ai triplé les portions. J'ai beau ne manger que des produits frais et équilibrés, cuisinés par moi-même, il faudrait que je me calme un peu sur la boustifaille parce que je prend du gras, et je ne peux pas accuser la binouze, cette fois-çi.
La cuisine est une autre passion, toujours héritées des mêmes, hein papa ;-)
Surprise !
Un instant pour toi, que tu découvres là ! En achevant ces lignes au hasard de tes minces moments disponibles ! À toi, je ne dis rien. Puisque nous nous savons !
Et en dernier, et surtout : Courage à tous ceux qui arrivent et qui espèrent ! Le jour se lève ! La Lumière revient ! Longue vie au Baclo !!!
Voaâalah !
Ça c'est du post. ;-)
Maintenant, amusez-vous ! C'est pour la science !
[/img]
Fichier joint
TéléchargerFichier téléchargé 162 fois (Baclodose.JPG ; 220.5 KO)

Baclochose
(1) RrraAah ! Putain ! Ça fait du bien quand ça sort !!!