Plaisir simple que celui de "tiens, prend ça dans la tronche!"
Merci.

Salut Tristan

Effectivement cela fait plaisir ...

Plaisir a vous lire. A chacun sa façon, c'est ce qu'il me plait.

J'ai encore invité un moniteur de ski a entrer au club Bacloféne.

Et cela, ce n'est pas un poisson d'avril.

Bon diou.

PS : 17 J'oublie jamais.

Message aux Anciens.


Qui a les neurones, voir les ouilles de parler de l'après délivrance.


A vous lire

Je ne suis pas si ancien que cela mais bon , je me lance.

L'après "délivrance" reste quand même un moment d'une fragilité extreme. Pour mon cas, il a suffit d'un moment de vie très très fort, voir trop puissant pour que je remette le nez dedans.Par facilité , la chose que nous connaissons le plus pour ce défaire de l'enfer du moment.
Mais le bien être vécu avant avec un conso normale reste dans un coin et la "délivrance" est encore là.Pour cela il ne suffit pas de monter en baclofène, il faut aussi utiliser la force qui est nous, que nous avons gagné au fur et a mesure de notre parcours baclo .

Jusqu' a se moment difficile, ce que j'aimais , c'était de pouvoir marcher tête haute, tout en restant humble, arreter des regarder les baskets pour ne pas croiser le regard des gens ou des familles, ne pas affronter leurs regards qui me ramenait a ma déchéance avec un sentiment de honte.
Là tête haute, fier de mon combat contre ma maladie, je pouvais affirmer mon être d'homme delivré et plus avoir honte des regards, pouvoir rigoler avec un enfant a la caisse d'un supermarché sans que je fasse peur aux parents.

Oui plus qu'une délivrance, c'est surtout une fierté d'être redevenu un homme et enfin libre.

PS: peut être brouillon et avec des fautes , désolé d'avance mais cela est écrit avec mes tripes donc pas de calcul.

Las,

Ne change surtout pas. Reste avec tes brouillons. Parfois, ils génèrent une étincelle.
Par de là mon vécu, je m'octroie ce propos.

L'après décrochage se doit d'avoir une place médiatique ou ne serait ce que foromisé, ici haut.

L'après a pour "certains" des conséquences graves. Dépression, voir suicide.

La cause est d'une logique imparable.

Délivré des tentacules, l'ont constate les effets dévastateurs de la pieuvre dans notre vie et son
entourage et cela fait mal, très mal.

Pour moi, j'ai chopé ce déclic, cette chance, cet espace. Je n'ai pas tourner une page, j'ai quitté la
ville pour fermer un mauvais roman dans mes montagnes.

Je pense a ceux, qui ayant décroché ont par obligation de subir le décors d'avant.

Je veux et je désire parler et prévenir.

Bien a nous parce que nous le méritons.

Merci du compliment TRISTAN,

L'après n'est que prendre la vie de plein fouet , grand mal nous fasses au début, tu y conviendras ou pas.

L'après pour "certains" a mon sens n'est que recherche de force en soit, je le conçoit plus facile a dire, là dessus on s'entend.

Pour l'entourage je te suis mais aller dans les alpages au lieu de faire face est une sorte fuite qui sommes toute reste respectable car pourquoi rester dans le pas bon quand le vent porte nos voiles dans des contrée bien plus apaisante? Le choix devient logique.

Subir le décor décor d'avant , c'est aussi chier a la gueule du passé.

Tu parles trop peu en ce moment a mon sens mais chez moi ta prévention fait mouche .Entre parenthèse la pêche a la mouche dans ton coin doit être une merveille d’apaisement.

Détournement d'une pub mais tellement vrai, j'aderes!!!

PS: un de plus ;-)

je suis d'accord avec toi , chacun a sa façon de réagir.
Maintenant la mienne est simple même si le cheminent lui a était chaotique.Me reprendre en main est redevenir l'homme que je suis et qu'il me reste encore a découvrir.

Je suis pas loin du podium mais mon envie est d'être dessus.

A l'ami, il est bon de te relire.

Car enfin oui.

Lorsque soignés dis tu et d'autres termes j'imagine qu'il en es, un autre espace s'ouvre à nous.
Son nom est liberté et ses possibles sont ce que l'on serre contre nous et à l'inverse semble t'il, ce que l'on projette.

Et la liberté...

C'est un monde nouveau.

Ceux qui n'ont jamais souffert y sont confrontés aussi, les pauvres.
C'est là toute la question.
Qu'est ce que je ferais si j'étais moins con?

T'embrasse.

Sais tu pourquoi je te sens virtuellement ?

Nous n'en avons aucune réponse et c'est bien comme cela.

A bisto de nas.

Si j osais, t embrasserais aussi mais

Fort !

Mon Diou,

Si j'osais revers, je te dirais que j'adore encore et encore tes effets emmanchés neuronales et sentimentales.

A piou.

Il n'y a plus de neige là haut, tout là haut pour que l'on voient poindre ton nez ?

Pas encore de champignons non plus, au fait, je les attend toujours les promis !!!

gros bisous

Puisque te voilà tondu...

Qu'elle rentre dans les ordres ne dépareillera pas.

Ne l’espérons pas folle à la messe pour autant.
Voilà pour le blasphème contre pétrique Rablaisien tout de même.

...

Ca contrepete par ici, et même pas un mot d'excuse pfffffffff tout se perd aucun savoir vivre

Bises

Tempête chez toi alors, là haut, ça ne rigole pas...

Tu es obligé de rester cloitré ?

Des bisous

Et oui,

Il y a de cela 2 jours, on voyait l'herbe pointer sa pousse et PAF, en une nuit 30 cm de poudre.
Mais on a l'habitude par en haut. La météo prévoit une fin de semaine plus douce.

Bzzzzz a toi.

Juste pour te dire que ton post chez Las

M'a fait beaucoup de bien

Tu as redistribué quelques pièces

Bien à toi

Babouchka,

J'ai un souvenir en écrivant, celui du film Docteur Jivago.je l'ai visionné au cinéma Le cordelier a Lyon
J'avais huit ans.

Ta réponse me fait plaisir.
Tu l'auras compris, je reste ici pour témoigner.

Rien a perdre, tout a rendre su forum. Ce en quoi; mes propos sont souvent cinglants pour des tête non
advenues.
A ceux qui ne comprennent pas ou qui sont respectueusement outrés, vous changé de quai pour d'autres
fil en fil.

Ravi de cette rencontre, je me laisse a te biser Babouchka.

Bonsoir Tristou

How are you chou > ?

Chère délirante des manches,

Je vais bien, tout va bien............

Come stai ?

Je lis que tu ne veux aucune question à ce sujet...

Mais quand même, quelle mouche te pique ?????

Dommage que tu ne veuilles pas laisser ton histoire, elle est instructive pourtant.

Te bise fort et à tout bientôt pour ton passage par chez moi.

Un passage par devers vous pour un conseil d'importance.

J'ai par chance et hasard remis en selle une personne qui a mal vécu son traitement Bacloféne.
Je vous l'ai dit et redit, prenez patience. Ne vous précipitez sur les smarties faute de quoi vous
vivrez très mal un échec.

Nous avons tous, nous autres alcooliques remplient la bosse a dromadaire durant des décennies, alors
ne croyons pas que la délivrance vient juste de part le "décalotage" d'une boite de Zentiva et quelques
prises de cachous.

Un constat, une expérience et le souhait d'une prise de conscience.

A Diou!

Bien sur que l'on paraîtra se brosser.
Nous en privons nous?
...
Sans constat, expérience et souhait de prise de conscience le Baclo n'est qu'un bonbon de plus.
Oh!
Pas que... C'est un produit actif!
...
Quel sens donnons nous a cette activité qui aura des conséquences?


Diou, remets en une!

Ce matin, un lapin est entré dans un laboratoire.

Il a renifle des empreintes. Suite aux analyses, la présomption d'un certains Philippe Batel est considérée.

Ce matin un lapin................

Sylvie, administratrice hors du commun,

j'eusse souhaiter te pondre un mot pour ton anniversaire sur le fil " Pascal Gache et la réaction de
Swissmetic. Ce dernier étant sans possibilité de répondant, je me réduit a mon fil.

Fort belle réussite que ce forum.

Une base d'appui: Ne point trop laisser des prescriptions a l'emporte smarties qui pourraient déséquilibrer.

Peu importe l'ancienneté, la sagesse se doit.

Bien a toi.

Coucou zhome,

Tu en es où avec le baclo et que préconise le Dr Gache pour la descente, ça pourrait en intéresser plus d'un !

Te bise.

Un pamphlet.

Le Bacloféne m'a délivré, cela depuis 3 ans.
Il n'en reste pas moins que l'alcool est parfois le majordome de mon comportement dans certaines situations.

Je tente de m'expliquer.

Je convole depuis un mois a 60 mg. Je gère mes prises en fonction de mon emploi du temps. Les vins et les alcools forts sont irrecevables. Les cocktails sont agréables et me dopent.

Je les utilise comme un dopant pour les athlètes pour des réunions ou interventions publiques.

Je suis conscient, que cet additif performant dans mon écriture et dans mon verbe est sensible .
Pour l'heure, j'ai testé. Je peux rester plusieurs jours sans alcool et sans craving.

Ma conclusion. l'alcool m'accompagne dans mes inspirations, mes projets et mes envies.
Une modération nécessaire et disciplinée pour l'instant.

Je suis un funambule sur sa corde. Voila la preuve de ma pugnacité pour ne jamais dire guéri mais soigné.

Ce que je relate est strictement personnel. Nous réagissons de façon oh! combien différente avec les molécules.

Merci du partage !

Tristan, j'en profite que tu es là pour te dire que mon quad est bientôt réparé, alors quand tu veux mon ami pour une virée dans les vignes au bord de la Dranse.


Des bises !

Karine,

C'est pas bien! Aguicher avec un quad, c'est comme attirer mon berger Australien avec le squelette
d'une côte de boeuf.

Et le mieux, c'est que ça fonctionne. Je vais viendre. On se poursuit en MP.

Quadzzzzzzzzzzzz

J'aguiche le mâle avec ce que je peux, tu vois bien, dans l'état où chui.....

Bizzzzzzzzz

Bonjour Tristan,

Aujourd'hui je n'ai pas beaucoup de temps et ton message sur mon fil tombe bien mal à propos.

Nadia,
Le mousqueton n'est qu'une bouée de secours ( Je passe de Roger Frison Roche a Olivier de Kersauson sans ambages.)
Si le piton est mal encré dans la paroi, le mousqueton est par trop inutile.
Un grimpeur.

Tu me chopes comme ça .... Avec un message que j'ai du mal à trouver constructif ni bienveillant....
Mais comme de toute les façon, aujourd'hui je ne décolère pas, j'ai assez d'énergie pour te répondre.

Un mousqueton est un anneau métallique possédant un système d'ouverture plus ou moins facile. On peut y glisser une corde, un anneau ou s'en servir comme point d'attache.

Un piton est une espèce de clou ou de vis, dont la tête est percée d'un trou et qui sert de point d'ancrage.


Le premier mousqueton que j'ai accroché,
Je l'ai accroché il y a moins d'un an à ma famille!
Je me suis rendu compte que la corde ainsi tendue....
ne pouvais pas à elle seule m'assurer toute sécurité!!!

Traduction :
Ma famille est le premier piton, qui agit comme un point d'ancrage pour protéger le grimpeur (moi) ) des conséquences d'une chute, ou aider à la progression en escalade artificielle. La lame (à savoir le piton) est terminée par un œil pour y placer un mousqueton ou y glisser une corde.

Le forum représentait mon deuxième piton.... Mais je pense que là je n'ai plus besoin de te faire un dessin.

Pour la définition d'escalade artificielle je te propose d'aller voir sur wikipedia
Mais surtout épargne moi d'autres commentaires à ce sujet car franchement...
Cette petite bulle métaphorique en vaut elle vraiment la peine....
Le forum existe t-il vraiment pour cela?

A très bientôt Tristan si les vents te ramènent de par chez moi,
J'espère que cela sera pour échanger sur un ton plus amical.

Et puis je préférerai que tu m'appelles Mousqueton.

A toi Nadia la "mousquetonnée",

Si ton verbe est aussi artificiel que ton escalade, je te souhaite d'avoir un compagnon de cordée fiable pour t'assurer au plus juste.

Ceci étant, sans regret ni remord je te demande d'engager une voie a ton niveau sur une parois autre que la mienne.

Basta cosi.

Tristana a les ovaires perturbés ce soir?

Te voici bien chafouine et fort hautaine.

Un coup de gueule. Elle a des circonstances atténuantes Tristane. Elle aussi, elle a parfois ses "règles."

Coucou Tristou Chou !

Honorée de ta présence, je suis.

T embrasse.

Signe La démanchee.

Tristane, une petite ménopause s'impose.

Une minipause s impose Cher Sacha tcha thca thca ..

Tristan pour un basta cosi en beauté
Il manque le mien pour clore le sujet.

Je te souhaite bon vent,

Mais quitte à voler si haut ne laisse pas traîner ton cerveau.

Il mériterait de prendre de la hauteur aussi.

Pourquoi pas une bonne corde et quelques mousquetons pour le sécuriser.

A moins que son poids ne t'effraies et que tu ne veuilles pas t'en embarrasser ?

Au sujet de mon compagnon de cordé je t'avais conseillé d'aller voir la définition d'escalade artificielle.

Dans une ascension typique en escalade artificielle, le grimpeur place des équipements de protection dans des fissures ou des caractéristiques naturelles du rocher, puis y attache un étrier, monte sur l'étrier, et répète le processus. Comme en escalade libre, la technique habituelle implique deux grimpeurs, dont l'un monte et l'autre assure. ...

En général, l'escalade artificielle met moins l'accent sur les aptitudes athlétiques ou la force physique, mais plus sur les capacités techniques, bien que les aspects physiques de l'escalade artificielle de haut niveau ne doivent pas être sous-estimés. Les techniques d'artif' sont le plus souvent utilisées sur des voies extrêmement raides et longues, requérant une grande endurance et résistance, à la fois physique et mentale. ...

Beaucoup de variations de cette technique de base sont possibles, y compris l'escalade artificielle en solo

Moi je pratique de l'escalade artificielle en solo n'en déplaise à ceux qui espère me voir m'écraser.

Et dans ton ciel il n'y a pas de parois à laquelle je désirerai me mesurer...

Et.... basta cosi

Desolee

Rien compris

Les échanges semblent être Etroits

Etroits les échanges ? Ils le sont.

Je vais donc répondre sur le fil de la personne concernée.

Bonsoir/jour,

Je m'adresse a ceux qui ont décroché.

Je suis en train de remuer le corps médical français et suisse pour une attention plus soutenue sur
la phase de l'après.

Certes le premier combat pour se délivrer des ventouses de la pieuvre est rude mais il est une suite.
Je recherche des témoignages. Non pas le style " Je vais bien , tout va bien." mais je vie sans alcool
avec mon traitement et mes ressentis.

A vous lire.

Jour' Tristan,

Il m'est d'avis que de la même façon qu'il n'y a pas de règle quant à l'arrivée jusqu'à l'indifférence, il n'y en pas quant à la vie d'après.

L'aventure continu. Celle qui a commencée avec les premiers cachets. La sienne propre.
Bien comprendre la manière dont le Baclo nous fait l'effet escompté c'est savoir au mieux l'utiliser par la suite.
Je sais que ta demande n'est pas tant dans la prise de Baclo à proprement parler mais plutôt dans la façon de vivre l'après puisque notre rapport au monde a changé. De fait.

J'ai été dans l'euphorie et la découverte du monde normal pendant longtemps. Il m'arrive encore d'y être. J'ai pris du retard sur la normalité. Mon alcoolisme était celui du chaos. Je n'avais rien construit. Cela m'était impossible. La sensation est étrange puisque je connaissais les lieux, les protagonistes, la faune et la flore, et pourtant... Les codes! Voilà ce qui a changé. Je les savais sans pouvoir les appliquer. Je peux. ça change tout. Et la vue, les odeurs, les sens aussi. Si Moi est un autre, j'en suis un autre encore.

C'est décousu tout cela, hein.
Pas assez fourni.

On en parle.

Eh ! 17,

Ami, bien entendu que l'on en parle entre gens entre cuisses.

" Si moi est un autre " J'abonde. Je reviendrais plus en delà. Un constat. Quatre ans de traitement et déjà trois ans de délivrance. Huit mois de traitement rude a 280mg et les effets indésirables adjacents.

La délivrance, l'euphorie, " Tristan libéré " Puis vint cette phase ou serein je me suis remis en cause.
Je me suis jugé, étape incontournable qui te conduit a la dépression. Si... si la pieuvre, jamais je n'aurais été autant fossoyeur de mon moi et de mon entourage.

Tu ne sais plus vivre sans l'excitation de l'alcool, tu dors tel un navire dans les rugissants.

J'avais prévu mon suicide ,les mots ont leur porté, le bon endroit en haut de la falaise, 500 mètres de
chute, juste le temps de se dire ' Finalement je remonterais bien "

Et puis cette attention de bien être qui te viens par un coup d'ailleurs. Pourquoi? Cela est il du a cette
décision non réfléchi de m'évader dans les montagnes.? Peu m'importe la raison de la cause.

Je me délecte d'une vie dont la tranquillité m'a par trop manqué.

" Si moi est un autre " Certes non. J'ai toujours été moi, mais la pieuvre a encré mon moi bien trop longtemps.

Ami, je t'embrasse.

Et si je suis ce que j'étais?

Et si j'étais toujours en train d'essayer de suivre ce que je suis?

Vous suivez?

Une substance en moins,
Alcoolo, baclo, plus alcoolo et v'lan passe moi l'éponge?

C'est bien plus que cela, non?

On sait, on sait, le baclofène gabba-dégomme et neuro-apaise une propension impulsive au glouglou-miamo-phagisme.
C'est un fait et c'est tant mieux.

Mais une fois cela fait,
Cogito ergo sum, oui,oui mais sum qui?

Ah Tristan,
je débarque comme un chien dans la soupe, un cheveu dans un jeu de quille et sans faire avancer le shmilbilck.
C'est juste bon de te lire et de croiser 17.

Un chien qui se déboise les quilles en bavant devant un cheveu tombé dans la soupe.

J'aime. A chacun sa vertu.

Lis dans mes vers,

Je t'ai souvent connecté de la sorte. J'aime, c'est classieux.
Je viens vers toi sans cogito et a fortiori sans l'ergot.

J'ai cette envie sans vergogne de parodier les paroles d'une chanson de l'un de mes acteurs désiré.



"Quand j'étais vrillé, haut comme trois Nabuchonodosor
j'parlais bien fort pour qu'on m'adore.

c'était le début, c'était le printemps
Et, bon an mal an
J'ai dit: Je sais, ça y est; cette fois je sais.

Et aujourd'hui, les jours ou je m'retourne
J'regarde la Terre ou j'ai quand même fait les cent bars
Et je n'sais toujours pas comment elle tourne.

J'savais tout avec l'alcool: l'amour, les roses, la vie, les sous.
Mais heureusement, j'ai été libéré, j'ai appris

Ce que j'ai appris, ça tient en quelques mots:
le jour ou tu t'aimes, il fait très beau
J'peux pas mieux dire: Il fait très beau!

Il y a soixante coups qui vont bientôt sonner a l'horloge
J'suis a ma fenêtre et je m'interroge
Maintenant, je sais qu'on n'sait jamais.

L'alcool, l'argent, les amis et les roses
On ne sait jamais le bruit et la couleur des choses.


La libération, c'est tout c'que je sais
Mais ça, j'le sais. "

Bien lu Jean.

J'ai appris la disparition de Laurent.

Je passe pour pousser mon coup de gueule.
Cela fait quelques temps que j'ai tenté de soulever sur ce forum la question de "l'après"

Pour moi, le traitement a 280 mg avec ces effets indésirables ne sont que peccadilles en rapport a ce que j'ai vécu après.

Je suis fatigué d'essayer de vous faire comprendre que le décrochage n'est qu'une étape.

J'ai subi cette phase, ou a jeun et serein on fait les comptes. Je vous le dit: Vivre sans alcool, tout
par à coup est
horrible. L'on constate le désastre que l'on a généré dans sa vie et celle des autres.

Aujourd'hui, j'ai cette chance d'avoir passé ce Cap Horn.

Olivier Ameisen n'a pas pu naviguer sur la même embarcation.

Prenez soin de vous.

Tristan

Et si tu réactivais un peu le fil Décrochage assuré, comment appréhender sa nouvelle vie dont tu étais l'un des créateur, il est passé dans l'oubli....

Bise l'homme des montagnes !

(le quad attend toujours pour la balde)

J'essaie aussi de faire passer le message.

Vaincre l'alcool parait être le combat d'une vie.
On est à fond quelques mois, entièrement tourné vers le monstre à abattre,
on est des st Georges terrassant le dragon.

La chose accomplie, il fait quoi Georges?

Martha,

Très vilain coup de peigne.
Cela m'étonne de toi.

A chacun sa boisson préférée au saut de sa litière.
Etrange, cette façon de tourner en dérision un sujet.....

Je t'ai demandé pourquoi tu ne réactivais pas ce fil Décrochage assuré, comment appréhender sa nouvelle vie que tu as crée avec Daniel ?

Karinne,

Plus de trois ans ici bas. Je passe de temps a autres. Pourquoi ?

Pour témoigner et pour rendre quelques menu monnaie a ce forum qui m'a donné fortune.

Je suis maintenant libéré. Je le sais parce que j' interviens sur ce forum sous mon identité.

Tristan Bonnet né a Lyon le 28 septembre 1957.

Je vous ai parlé de mon après pour témoigner. Je vous souhaite la même belle sortie.

Bien a vous.

Ben à demain pour ton anoche !!!!

biz

[...]

On navigue dans le cauchemardesque ubuesque.

Je viens témoigner. Et toi! tu déposes ta prose alambiquée.

Passe ton chemin.

[...]

Veillant,

Je ne suite pas. Je n'ai pas les tenants et aboutissants.

Désolé.

Ben Lee, ils ne se battent pas sur une tombe du tout !

Tristan voulait juste soulever ce cas (que je lui ai d'ailleurs soumis) pour rappeler que l'après indif peut être difficile !

Pas de polémique ici.

Veillant, pour avoir conversé avec toi, je comprend tout à fait ton point de vu aussi.