Ben Lee, ils ne se battent pas sur une tombe du tout !

Tristan voulait juste soulever ce cas (que je lui ai d'ailleurs soumis) pour rappeler que l'après indif peut être difficile !

Pas de polémique ici.

Veillant, pour avoir conversé avec toi, je comprend tout à fait ton point de vu aussi.

Encore eut il fallu que je le sache.

Au regret d'être intervenu dans votre forum, sans avoir été informé.

Bien a vous.

JOYEUX ANNIVERSAIRE TRISTAN !!!


Bisous


.

Salut Tristan

Bon Anniversaire.

Tu fais bien de passer de temps en temps parler de l'après !!!!

S'y préparer avant permettra aux nouveaux de moins en souffrir.

À bientôt

Oui Tristan c'est important que tu reviennes témoigner sur l'après.

D'ailleurs Byc a mit le témoignage au sujet de Laurent ici ce matin : Décrochage assuré, comment appréhender sa nouvelle vie où il a toute sa place.

J'ai rencontré plusieurs personnes en échec du Bacloféne.

Mon analyse succincte est qu'Il apparait deux catégories:

1/ Les personnes qui subissent des effets indésirables insoutenables ou en inadéquation avec leur environnement privé et ou professionnelle.

2/ Les personnes qui entament le traitement sans conviction. Que ce soit pour contenter l'entourage
ou pour tester cette pilule miracle tout en consommant autant.

Cette dernière est malheureusement vouée a l'échec. La décision de faire le pas vers le traitement est
primordiale.

Je ne mentionnerais aucunement une question de volonté mais une planification dans son traitement.
Ce leurre de penser que l'on peut continuer a boire sur le même trend engendre des E.I.

J'ai pour ma part débuté mon traitement en m'interdisant des alcools forts chez moi.

L'envie de décrocher est indispensable et vital dans la conduite de son traitement.

Un témoignage.

Je suis d'accord avec toi cher Tristan, il faut déjà sortir du déni ne pas faire ce traitement pour faire plaisir aux autres,

Le baclofène n'est pas toujours une pilule miracle, parfois il faut aussi l'aider...

Je rajouterai (tu nous avais parler d'un moniteur de ski que tu avais baclofénisé) que le forum est une force supplémentaire pour réussir !

Ben sinon, t'as toujours pas démontagné pour passer voir la dame du lac

Grosse bises !

salut Karine,

Concernant le moniteur de ski, c'est malheureusement un échec de la deuxième catégorie.
Il prenait les smarties pour rassurer sa mère.

Dommage. Toujours est-il que l'envie de sortir la tête hors de la barrique reste le moteur.

Bien a vous.

bonsoir Tristan
voila je me presente je suis Drinette je suis tombée sur ton fil et j'ai lu et relu pour te dire moi je suis déterminée et essaie de jour de en jour de faire beaucoup d'effort voit sur mon fil.Je suis abstinente depuis peu 17.10.14 et il y en a qui peuvent boire normalement avec le baclo moi chez moi y a plus d'alcool et j'ai même peur d'aller dans les magasins car ça serai mon point faible.Voila un peu ce que je voulais te dire
Au plaisir de te lire
Drinette

Chère Drinette,

Abstinence ! Tu as dit abstinence....

Laisse ce mot aux fossoyeurs des centres de cures ( Pôle emploi les guettent ), aux "surjoueurs" de la
comédie A.A ( Pour eux, le rideau est tombé.)

Non, plus jamais l'abstinence. Ce que je tente de démontrer est que le Bacloféne n'est pas un tout.

Il faut l'accompagné par cette envie de soulever le couvercle de la barrique.

Le Bacloféne nous autorise a continuer a boire durant le traitement.

A chacun sa parcimonie.

Bien a toi.

Viscéralement contre les valeurs abstinentes et avec Sacha, tout contre Tristan s'il accepte cette promiscuité virtuelle.

Le baclofène ne stoppe que la compulsion, l'addiction.
La difficulté à vivre, à se situer est souvent première et l'alcool un remède.
Celui ci disparu, le problème reste entier et sa résolution nécessite d'autres outils.

Mon principe clés durant mon traitement a été de maitriser ma consommation d'alcool.

L'abstinence est un leurre obsoléte.

J'ai diminué très progressivement de 80 mg a 60 mg. Peur du lendemain.

Après plus de trois ans de traitement, J'ai de plus en plus de mal a ingurgiter des boissons alcoolisées.

Parfois en période de mal être, de doute, de stress et autres, je tente de me réfugier dans mon alcoolisme. Mais le traitement m'en "dégueule".

Je témoigne et puis c'est tout.

Bien a vous.

' Les chanceux sont ceux qui arrivent a tout, les "malchenceux" , ceux a qui tout arrive. "

Rien ne se sert de courir après la citation, dans le doute, il faut dire la vérité.

Tu es parapentiste Tristan?

J'ai volé, et puis j'ai chuté dans la Cordillière des Andes après un mauvais sketch.

Le vol me manque. Je prépare doucement mon mental pour retrouver cet espace de tranquillité.

Pour ne point être hors sujet.

Je suis descendu progressivement a 60 mg. Sur 2 mois, j'ai alterné quotidiennement 80 mg et 60 mg.

Aucun relent ou mauvaise intention et je dors mieux.

L'objectif : Dans quelques mois descendre a 40mg et observer. Qui va piano va sano.

Tu es resté combien de temps a ta dose seuil?

Pour être hors sujet, je vole

Et en plus il vole...

Merci pour tes mots sur mon fil, Tristan !

Flo

Flo,

Tout comme moi pour le parapente, prépare toi doucement a t'envoler avec tes mots.


Las,

Mon pote, a qui on dit qui se repete qui fet des fotes d"aurtoecriture. Donne moi des noms, j'va y faire
moucher rouge.

Je suis reste 3 ans a 80 mg. J'ai tenté des descentes a 60 mg. J'ai eu ou j'ai cru avoir des envies, alors
par peur, je suis remonté a 80mg.

Je pense, en essayant de faire simple, que l'on doit laisser le temps a notre ordinateur " le cerveau de
paramétrer un nouveau logiciel.

Un exemple. Un soir de bluzz, j'ai voulu comme dans l'ancien temps me défoncer a l'alcool. Je te le dis comme vécu, mes houilles sur le comptoir, j'ai saturé et dégueulé en 5 verres 5 levées.

Donc pour moi, le traitement fonctionne. Je suis soigné.

Je descend avec parcimonie pour savoir si je peux vivre sans baclofene. Il me reste cet effet indésirable,
l'insomnie. Est ce le Bacloféne ou l'absence d'alcool ?

Continue a écrire comme tu le ressent. Que les autres " litrés " s'inscrivent a la dictée de Bernard Pivot

J'aime ton verbe.
J'espère que tout va bien...

Bonjour Crabou,

J'ai apprécié ton post d'hier sur ton fil.
Notamment ces notions de vide, de vertige. " c'est quoi demain "

Tu devrais transférer ce post sur le fil " Décrochage assuré, comment appréhender sa nouvelle Vie.

Prend soin de toi.

Si tu aimes les thriller(je reviens du fil de flocerise) je pense que Romain Sardou (oui le fils de Michel) vaut le détour et alors un grand Dean KOONTZ et tout ça se trouve en poche.

Bonjour,

Merci a toi pour l'information. Je ne savais pas que la lignée Sardou se prolongeait avec un petit fils écrivain.

Je vais débuter par son premier roman. Le contexte médiéval avec une intrigue politico-religieuse me tente.

J'aime lire Marc Dugain dont le roman " La chambre des officiers. " me gifle a chaque lecture.

Bien a toi.

Oui, c'est du lourd. Et côté gueule cassée on en connait un rayon.

Et puis si t'es pas contre un peu d'humour découvre VAN CAUWELAERT. Je me marre toute seule, comme une belette, quand je le lis.

Ou pour l'humour: Desproges, lui non plus n'aimait pas les coiffeurs( )

Ben dis donc, ça se coiffeurise par ici !
Ça sent la laque et le shampooing à plein nez.
Pouah !

Si t'aimes bien "Le contexte médiéval avec une intrigue politico-religieuse", tu peux lire les Giacometti Ravenne, toujours en poche.

non Flo on se coiffeurise pas, on passe la littérature au peigne fin.

D'où peut-être l'expression : "Peigner la girafe" ?
Il y a d'ailleurs un très bel album jeunesse qui s'intitule Poèmes pour peigner la girafe, de Jacques Charpentreau et Florence Koenig.

Tu sais pourquoi les girafes ont un grand cou.....................................................................................................................................................................parce qu'elles puent des pieds.

J'espère Flo, que nos relations ne seront pas entâchées par cette très bonne blague

Eh, Flo,

Mieux vaut avoir une langue sage que des cheveux bien peignés.

Tristan : je n'ai ni l'un ni l'autre, hélas !

Joséphine : on voit que tu ne me connais pas encore beaucoup. Il m'en faut d'autres !

A vous,

Ceux qui ont généré un fil de soutien pour le chanteur Renaud.
Ce soir. A2. 23h. Un jour un destin. Renaud, les raisons....

Je vous transmet un message.

Le Baclofène n'est pas un smarties miracle.
Le Baclofène a été pour moi la permission de m'évader de l'alcool.

Olivier Ameisen a été le cobaye de la découverte d'un médecin Américain, mais il n'a pas anticipé l'après .

Il n'a pas supporter que sans l'alcool il ne pouvait s'affirmer. Le booster était en panne.

L'après, demande une volonté incommensurable.

Je travaille depuis trois ans dans mon atelier.

Pour le coup, je suis contre toi,
tout contre



Ainsi que l'acceptation et la prise en charge de nos autres maux. L'alcool une fois éteint, ce qui, en dehors d'une prédisposition neurochimique, nous poussait à boire ne disparait pas avec le baclofène.

Edit pour manque de clarté.

Tout à fait d'accord aussi.
J'irais même jusqu'à dire que c'est une chance pour moi de n'avoir pas été guérie dès les premières semaines de traitement.
Cela m'a permis d'anticiper et de commencer à me reconstruire alors même que ma phase de destruction n'était pas encore terminée.
Maintenant, je me sens prête !

c'est exactement pour ça que je me suis accordée 15 jours de conditionnement, pour bien mettre le doigt sur tout ça.

Soyez claires dans vos propos,

Je ne vous lis que partiellement.

Désolé, sans conviction.

Moi je trouve le "incommensurable" disproportionné.
Pour certain ça passe comme une lettre à la poste.
Pour d'autre ça demande du travail sur soi-même.
Si une dépression s'en mêle, il faut, parfois, une volonté de fer.

On peut etre un peu optimiste et se dire qu'avec l'indépendance de nouvelles potentialités apparaissent, l'état de santé s'améliore.

De plus, il ne faut pas avoir peur de l'ennui, c'est grâce à l'ennui que l'on devient créatif. Nos jeunes ne s'ennuient pas assez, tout dans l'immédiateté

Incom....

Le terme parait dérangeant. Soit. Parlons simple.

L'après et plus singulièrement le mien. Une tranche de vie ou l'on souhaite trouver ses marques.
Il est indéniable que nous avons bu pour masquer.

Souvenez vous de ces soirées, Mesdames, ou avec l'alcool vous charmiez, vous trémoussiez votre arrière.
Nombreux d'entre nous les mâles n'auraient jamais osé approcher l'une d'elles sans le jaja.

Bref, le tenant du propos est de constater qu'une nouvelle vie sans alcool est différente.

Epargnez moi de vos tendances langoureuses. Gardez cela en stock pour vos "Psygentico."

Je parle du levé au couché, quotidien.

Sans avoir été de ces dames, je peux comprendre que tes faiblesses d'alors crient justice !
Nous fûmes des pousse-à-l'alcool

un cou-coup .de pied dans tes petites annonces Tristan

Va-bien ; toi aussi. au quotidien
C.

Mayday Mayday

Besoin d'éclaircissement

Olivier Ameisen a été le cobaye de la découverte d'un médecin Américain, mais il n'a pas anticipé l'après .

Il n'a pas supporter que sans l'alcool il ne pouvait s'affirmer. Le booster était en panne.

Dis-tu.
De quelles sources stp Tristan ?

D'un ressenti perso peut-être ?

et on n'est pas responsable de la "timoéité" de certain, enfin, pas toutes

Corinne D,

Fort longtemps que nous nous sommes " Postu "

Mes propos sont et je les assume. Je n'ai aucunement l'intention de les justifier.
Je ne suis pas un journaliste d'investigation et donc je ne suis pas en droit de satisfaire votre curiosité.

Bien a vous.

Sans être lecteur assidu de Tristan, je partage son avis sur l'après et le destin d'OA.

Pas de raison à étayer, un ressenti.

Reste à assumer, se voir tel quel, s'approprier cette personne avec force et faiblesse.
Sans tricherie, expédiant, expédier et affronter.

Certains assument, ont la force, l'outrecuidance farouche de vivre, d'autres se dissimulent encore ou devant la tâche ardue baissent les armes, les bras ou l'envie.

Chacun son point de vue, ses points de vie.

MM,

" Sans tricherie." J'aime cette considération.

Nous avons trop longuement joué au pocher mais nous étions que 2 a la table: Moi et l'autre.

Un ami de longue date sur ce forum m'a posé en MP la question suivante:


Olivier Ameisen est décédé d'un arrêt cardiaque et mimi o de ce forum aussi. Y aurait-il une corrélation
avec le Bacloféne?

Ce que j'estime c'est une corrélation de vie entre ces deux personnes. A savoir des passages du Cap Horn
quotidiens et des prises de psychotropes a outrances pour tenter de se soulager.

Il nous faut prendre conscience que nous avons tiré sur la corde avec excès. La délivrance de la pieuvre
grâce au Bacloféne nous donne des années a vivre avec la tête ordonnée.

Mais qui peut penser un instant que le Bacloféne est une pilule de jouvence.

Non, il n'y a aucun lien , aucun effet de cause a....

Tudieu, il suffit de se poser et éviter de toujours vouloir le savoir du n'importe quoi.

Basta, je commence a prendre la mouche.


Bien a vous.

Karine,

Relis tranquillement mes propos. Je pense que tu n'as pas imprimé ou alors c'est moi qui m'exprime a tort
et travers.

Effectivement, j'avais mal compris ton message...

Mea culpa !

culpa mea

pardon (?)

http://www.dailymotion.com/vid...arder-les_music
(clique )

pour quand tu voudras danser Tristan,
en plein cœur de 2015

comme moi ce soir
C.

Je viens de poster sur le fil " le cercle des poètes maudits "

Cela n'apparait pas sur le "formaté" Encore une nébuleuse informatique.

Bonsoir,

quelques informations pour ceux qui sont en phase de descente:

j'ai décroché a 280mg,en février 2012.

Je suis resté a 80mg durant 2 ans. RAS

Je suis descendu a 60mg pendant 1 an environ. RAS

Je suis depuis 1 mois a 40mg.RAS

Mon objectif est de passer la ligne " 0 Bacloféne "

Pour savoir si la molécule a des effets perdurables.


Bien a vous.

Bonjour Tristan

Ton post m'interpelle dans le sens de la descente sur du très long terme et avec du RAS pendant 3 ans
J'aimerais juste savoir, à partir des 280 mg, comment as-tu fait tes descentes, tous les combien?
Merci pour ton message et félicitations pour ton parcours

Manue

Bonjour Velvet,

Consulte la fin de mon premier post sur ce fil. J'ai relaté le début de ma descente.

Bien a toi.

Coucou,
Super merci!
Manue