Quel bel âge !

Joyeux anniversaire

Bisous

Joyeux anniversaire Libelle

Bises fois 2 pour le coup

Bon anniversaire Libelle!!!
Passe une très belle journée sous la neige et sous le O degré!

Merci beaucoup ... très gentil

Festoyé beaucoup... mais juste pour le fun

Bec bec xx

LIBELLE,

avec du retard

joyeux anniversaire


de la part d'une qui rêve de visiter
ton joli pays

Merci beaucoup Martha

Aussi en retard,

Je te souhaite un bel anniversaire, je te souhaite le meilleur !

Bises

oui, Libelle, du tout bon !
Pensées chaleureuses pour toi.
C.

Merci beaucoup Budibule et Corinne

Je suis contente de voir lire

Coucou ..

Toujours bien ici. J'ai stabilisé à 50 mg et j'y reste pour un bon bout encore. Je n'ai pas d'effet secondaire à cette dose et ça va bien donc je ne bouge plus jusqu'à ce que le feeling me dise de descendre de nouveau.

Petit changement de garde pour nous, c'est Loup blanc maintenant qui est la référence pour donner le noms des prescripteurs aux nouveaux arrivés. Elle est beaucoup plus présente sur le forum et peut donc apporter du support plus rapidement que moi. J'ai beaucoup moins de temps avec le boulot et les études mais je reste en support en privé et en contact avec elle est d'autres Québécois.

Une grosse bise à tous xx

Contente d'avoir de tes nouvelles, elles sont bonnes, parfait ..

Bises à toi aussi !

Libelle,

moi aussi, je suis heureux de lire ces bonnes nouvelles.

Bises

Tout roule ici !!!

Bises

Je pense à vous mes amis... à nous tous également, pour nos libertés.

xx

Bravo Libelle belle de sortir tes griffes diplomates.

Tout au long de l'année, sûr, je penserai à toi.
Be happy ! Be human !
xx
C.

Salut les copains...

Je me sens tellement mal de ne presque plus venir vous jaser alors que vous et le tout êtes si significatifs pour moi... mais la vie roule... tout roule... et bon, je suis la vague...

Je vogue entre 30 mg et 40 mg... et j'ai compris que ma dose était de 35 mg... ça fait 3 fois que je tente de descendre à 30 mg, et je fait de minis chutes à chaque fois.... reboire à tous les jours... un genre de 3/4 de bouteille... truc du genre... je remonte à 35 mg... puis à 40 mg... et ça se replace....

Ce que je comprend c'est que je vais rester à 40 mg pour un très bon bout, je me fiche pas mal de descendre, j'ai une dose "seuil" minimum, et si je descend trop, ça me touche, du moins à mon stade. Ca va faire deux ans le 12 juin, et j'ai compris que je ne cible plus de diminuer ma dose... juste la stabilité.

À mes doses actuelles, je suis un peu plus fragile, 35 mg est ma dose de base, je ne bouge plus... Il m'a fallu plusieurs essais pour le comprendre.

Je ne me confie pas pour avoir des conseils mais plus pour exprimer ce que je vis, pour vous dire que même après 2 ans, on dois encore tenter de se comprendre et d'avancer et que c'est ok, pas de stresse et d'inquiétude majeure.

Je suis à 40 mg, je vais redescendre plus tard à 35 mg et y rester... c'est ma dose à moi.

Bises mes amis et à bientôt, je vais vous lire maintenant

Marie xx

Tu vas bien, c'est l'essentiel !

C'est très intéressant ce que tu dis sur la dose minimum, d'autres qui sont arrivés à zéro baclo sont aussi remontés d'un chouilla pour retrouver un bon équilibre
Si ta dose c'est 40 mg ou 35 mg, c'est sans doute une dose à garder très longtemps

Bravo pour ta guérison qui est bien installée, un message d'espoir
Manue

Hell

Tu maîtrises ton traitement c'est là le principal !!!!!


Bien content de savoir que tu vas bien !!!!!

Des bises

Salut Libelle,

heureux d'avoir de tes nouvelles et qu'elles soient bonnes.

Je suis d'accord avec toi, on va prendre du baclofène pendant bien longtemps, ce qui n'est pas un problème.

Bises et bon vent !

Merci tout le monde. Oui, ça va bien avec le baclo. Malgré la faible dose, j'ai des ES quand même, mais ils sont tolérables et rien ne me ferait me mettre en danger de recommencer à boire. C'est pour ça que j'essayais de continuer à diminuer, mais toutes mes descentes en bas de 35 ont échoué. Le message est donc clair Allonger les prises aussi a été un échec. Ma formule est 20 mg à 10h et un autre 20 ou 15 à 12h. C'est cette répartition qui fonctionne, ES moins pire et pas de craving.

Merci encore xx

Salut Libelle,

Content d'avoir de tes nouvelles.

Ca se passe plutôt bien à ce que je lis.

Coucou,

Petites nouvelles, j'ai du remonter un peu. Fête par-ci par-là, oups... retour de la bouteille à la maison, jamais capable de la boire au complet me juste le souci de la chose me fatiguais. J'ai remonté jusqu'à 70 mg en trois prises et up, le calme est revenu et je peux de nouveau me préoccuper des autres choses de ma vie comme d'habitude.

Je vais rester un bon bout comme ça. J'ai quelques effets secondaires mais je vais bien, je fais du sport et ça diminue grandement les effets. Ça ne me tente plus de me préoccuper de ma descente ou du reste, alors je vais bien à 70 mg, je peux boire normalement et occasionnellement seule ou avec des amis sans problème ou encore ne rien boire pendant des jours..... pas de souci sur rien... dans ce temps, l'alcool n'est plus une préoccupation pour moi est ces un élément essentiel à mon bonheur... je reste ainsi pour longtemps.

Je reverrai ma descente en temps et lieu. Probablement faire comme Christine et descendre de 5 mg de temps en temps d'ici quelques mois. Sans protocole ni stresse, juste au feeling.

Je suis heureuse, plein de projets en branle, des belles choses dans ma vie, c'est l'essentiel pour moi.

Grosse bise les amis et même si je ne viens pas souvent, vous êtes toujours dans un coin de mon coeur.

xxxxxxx

Lib

Bonjour Libelle

Bien contente de voir que tu vas bien
Ta démarche vis à vis du baclo est très bonne

Libelle,

très heureux de ces bonnes nouvelles,

bonne continuation dans cette nouvelle vie !

Bises

Libellé
Merci pour cette mise au point qui peut être utile à beaucoup

Tu as trouvé ta dose de confort, tu expliques très bien que cela te permet de te libérer l'esprit pour autre chose, Bravo et merci pour nous

Manue

Coucou mes chères... je ne viens pas souvent.. tellement désolée mais ma vie roule de roule...

Question... si vous passez par là.... comme plusieurs.. j'avais descendu trop rapidement à 35 mg... j'ai évidemment du remonter...

Je suis rendu à 95 mg.. en 4 prises et ça me va... très souvent... mais il m'arrive de flancher... quand il y a une grande émotion... un mauvais moment.. une mauvaise passe... de me prendre une bouteille... de peine et de misère je dois dire..

Sinon je peux consommer normalement, rien pendant des jours, 2 verres par-ci par-là .. mais il arrive une fois de temps en temps, dans des périodes creuses d'enfiler une bouteille. J'ai beaucoup d'ES au baclo.. avec 2 boulots et l'université, je ne suis pas tout à fait en mesure d'augmenter ma dose plus que ça... en moins qu'on me dise que mon comportement est un signe que je dois le faire.

Je ne sais pas comment évaluer ça... j'ai l'impression que mes débacles sont psychologiques.. mais qui sait... peut-être que non ?

Je me sens un peu entre deux eaux....

Quels sont vos avis ?

Bises de bises mes amis

En effet Libelle, vigilance. Soit tu stoppes la boisson, soit tu montes le Baclofène jusqu'à stopper toute perte de contrôle.
Mon ressenti.
Et une bise pour toi !
C.

Çà avance bien les études ? :-)
.

Bonjour Libelle,

assez d'accord avec Corinne mais je privilégierais plutôt une consommation très faible puisque tu n'es pas en mesure d'augmenter tes doses du fait des tes occupations.

Et puis, tu maitrises bien la plus part du temps mais il arrive que tu rechutes en cas de coup dur. De ce fait, je ne suis pas sur qu'augmenter puisse te rendre service.

Ne serait il pas possible de tenter d'analyser la situation quand tu as une mauvaise émotion car tu sais fort bien que boire n'arrangera rien, bien au contraire.

Tu pourrais éventuellement essayer de faire la méditation pleine conscience qui pourrait te faire passer le cap. Juste une idée comme cela.

De façon plus globale, je suis de plus en plus persuadé que cette approche psychologique telle que celle que Loup décrit sur son fil est complémentaire avec le baclofène. Nous étions souvent de grand angoissés et l'alcool marchait remarquablement bien dessus. Une fois l'indifférence acquise, l'anxiété est susceptible de revenir sans camisole chimique. Plutôt que de se tourner vers les médicaments, une approche comportementale peut être tentée. Et puis là, pas d'effet secondaire ni d'addiction !

juste un mot personnel : jamais d'alcool seul, même un verre, uniquement lors d'occasions estives et en quantité limitée. Parfois une pensée mais très fugace. Je continue à 60 mg par jour sans limitation de durée

Bises cousine !

Si bien sur, augmenter résoudrait le pb, mais il y a les EI
Donc se contraindre à boire le moins régulièrement possible est une bonne solution

Ok merci beaucoup à tous, je vais quand même augmenter dans une semaine, je tombe en vacances d'un de mes boulots ça va aider. Je prend note de vos conseils à tous

Bec xx

Le fait que tu as beaucoup de pression, que tu en fais pas mal, ça n'aide pas!
Mais comme le dit Phil, la pression ou l'anxiété ne se règle pas avec l'alcool.
Tant mieux si tu vas avoir des vacances, c'est un rythme de vie effréné que tu as!

Et qui va booster si ce n'est la jeunesse Lucie ? !!
Accroche-toi et gagne Libelle belle !!

Les chagrins et les fatigues ne font pas de bons souvenirs.
Mais tout le reste à vivre ...

Bec xx

Merci tout le monde..

Merci Loup et Corinne...

Oui, vous avez raison, je dois quand même me protéger de tout le brouhaha...

Gros bec... je vais y arriver

xx

Vous m'avez fait réfléchir.. je trouvais étrange d'être bien pendant un temps, et hop, devoir augmenter ma dose un autre moment, je remettais en doute mon indifférence... mais non.... de un, je suis tombée dans le piège de baisser trop vite et trop bas, ça c'est sur... mais aussi, c'est le stress. Quand j'ai des périodes très intenses en stress, école, 2 boulots demandant avec des deadline à atteindre... je suis plus sur la corde raide, et c'est là que parfois l'alcool redevient un pansement. Car je ne vis pas de craving comme tel, mais c'est le stress qui veut évacuer... et ça fait des années que je l'évacue de la façon dont on connait.

Je me suis mise au jogging, fait plus de sport... et je vais profiter de mes vacances pour faire le plein et me trouver d'autres soupapes.... j'ai tous les outils.

Encore merci

Je te pense capable de recadrer la compulsion Libelle belle, entendre d'où elle provient.
Et certainement que tu connais le chemin que veut se frayer l'alcool si nous lui ouvrons la porte ..

Ne pas réactiver la mémoire, c’est une consommation très ponctuelle !

Vert ton short ? !
Profite ! joli courage !
C.

Libelle

Tu as trouvé la réponse toi même , un vieux réflexe une vielle habitude quand le vie se fait trop dure. T'occuper à autre chose sera tout aussi bon.

Des bise de l'autre côté de l'océan.

Coucou, merci de votre passage Corinne et Gaday..... je te lis attentivement d'ailleurs cher Ogre vert... j'espère que tu trouveras le chemin qui te conviens.

Comme j'étais en vacances, j'en ai profité pour augmenter quand même car finalement, il m'est arrivé de m'enfiler 2 bouteilles ... le même soir.... j'ai attendu .... ce fut de même pour un deuxième soir... et un 3 ième ... pendant ma première semaine de vacances... on dirait que ma tête et mon corps se sont "lachez lousse" comme on dit par chez-moi.

Donc, j'ai augmenté jusqu'à 130 mg, je crois bien que c'est le retour au calme quoique j'ai souvent vécu des indifférence temporaires, je vais attendre 3 jours et augmenter encore si je vois que l'alcool m'appelle encore. J'en profite car je suis en congé de mon travail le plus régulier, ce qui fait que c'est le bon moment de le faire. J'ai mes études et un autre travail aussi mais ce n'est pas à horaire fixe.

Je suis en 4 prises... 30 mg 9h00.. et étrangement, malgré le fait que mon craving est à 15h... ma dose de 9h00 est très importante, mes pires dérap ont été quand j'ai joué avec cette dose là.

Par la suite, 30 mg 11h, 40 mg 13h et 30 mg 15h. Si jamais j'ai besoin d'un 10 mg de plus je vais le mettre à 11h.

Bref, j'ai vraiment fait une erreur en diminuant rapidement cet hivers, j'ai passé en peu de temps de 70 mg à 35 mg.... ça très bien été pendant plusieurs semaines mais hop... finalement j'ai vraiment perdu mon indifférence.

Dès que j'atteins de nouveau le calme... je ne touche plus à ma posologie... j'y reste un bon moment. Avec le sport, les ES sont moins pires je trouve. Quoique dans le passé, les ES sont apparus une fois l'indifférence mieux installée.

Merci beaucoup de vos conseils, je continue de vous lire.

Gros bec.. xx

Bonjour,
Tu avais pressenti à 35 mg, qu'à 30 mg ça déraillait, c'était peut-être un signe

Je serais très intéressée d'avoir un résumé, ton seuil, le temps que tu y es restée et comment tu es descendu, c'est toujours instructif

Merci et bonne chance à toi

Manue

Bonjour Velvet,

J'ai commencé en juin 2013, j'ai atteint mon indifférence à 210 mg début septembre 2013. Environ 3 semaines après l'atteinte de mon seuil, j'ai commencé a avoir des ES très importants. J'avais donc diminué à 150 mg en 2 mois de façon stratégique en ajustant mes répartitions. Également, j'avais compris que j'avais été indif avant le 210 mg mais que j'avais aussi à apprivoiser l'indifférence au niveau psychologique. À l'époque j'avais 210 mg en 5 prises, je suis passée à 4 par la suite.

1 mois plus tard, encore des ES, j'ai diminué jusqu'à 120 mg. Et un autre mois plus tard, j'ai fait une rechute. J'avais du diminuer trop rapidement. Remonté à 140 mg. Ce que tout le monde du forum me disait à l'époque était que je devais aussi apprivoiser l'indifférence est c'est ce qui m'a pris un moment à faire. Les habitudes et la façon de gérer notre état psychologique. C'est autour de février 2014 que j'ai vraiment compris et consolider mon indifférence à 140 mg.

Ensuite, je suis restée à cette dose un temps mais beaucoup d'ES et toujours l'indifférence. Donc en 5 mois, j'ai baissé à 35 mg. Je suis restée à 35 un bout de temps, mais j'ai eu des instabilités par-ci par-là. J'ai du réellement augmenter à partir d'avril de cette année. Pour être rendu à 130 mg aujourd'hui. Je vais voir au courant de la semaine comment ça va.

Généralement pour moi les ES surviennent plus lorsque ça fait un 2 ou 3 semaines que je suis indifférente. On verra pour cette fois-ci mais ce que j'ai envie de travailler serait vraiment plus de tolérer les ES pour un 3 mois sans rien toucher du tout. Je fais du sport cette fois-ci et je trouve que je vais mieux. Les ES sont moins forts et je me suis aussi habituée à les côtoyer... on peut même dire que j'aime le feeling.

Ça fait 2 ans que je suis sous traitement le 12 juin.

On va voir.... mais j'ai confiance...

Voilà le résumé

Bec xx

Merci infiniment pour le résumé

Cela fait plusieurs fois que je lis ce genre de parcours, baisse trop rapide juste après le seuil

Concernant les ES, Sylvie m'a beaucoup aidée, j'avais tendance à regrouper les prises, sur le coup, je ne sentais rien, puis les ES se sont aggravés, c'était de pire en pire

Maintenant je suis à 6 prises, depuis un bon mois, et ça commence seulement à se tasser

En te lisant, je crains une dose un peu limite, une indifférence pas assez consolidée à l'époque

Lorsque j'ai rechuté (ça m'est arrivé 1000 fois), et que je suis repassée de 150 à 300 mg, pour atteindre l'indifférence, celle qu'on sent dans sa tête, je n'ai plus eu d'ES

Je m'en étais débarrassée en baissant tant

Du coup, si je peux te donner un conseil ce serait de monter, mais vraiment doucement, genre 10 mg par semaine, la veille du week-end, ou bien 5 mg tous les 3 ou 4 jours, enfin, c'est ce que je ferais, pour ceux qui ont dû subir les ES

La bonne dose, on finit toujours par y arriver, moi aussi ça fait deux ans que j'y suis, à chaque rechute, c'est pour mieux repartir et atteindre le but, sans plus se retourner cette fois-ci

Manue

Perso, je ne pense pas que c'est la baisse trop rapide après le seuil mais le fait d'être descendu à 35mg/j
C'était sans doute beaucoup trop bas

Bref, j'espère que ton seuil approche

Ouai ça se peut Sylvie, du moins, je n'ai pas pris le temps de bien sentir les choses ce qui fait que j'ai chuté sans comprendre que j'avais été trop bas.

On verra.. je ne suis pas certaine que mon seuil est atteint, mais je m'active pour y arriver ..

Bec xx

Pas évident, j'ai vécu et compris que la rechute se passe à distance de la mauvaise baisse du baclo, ce qu'on appelle l'inertie, impossible donc de savoir où ça n'a plus été

Ou alors être très attentif comme tu dis Libellé?

Manue

Il peut bien arriver que le corps et la tête réclament un "lachez lousse" , ;-) c'est humain
surtout lorsqu'à certaines périodes on se sent un peu débordés..

Puisque tu contrôles tes réactions, ta stabilité ne fait que se renforcer de toute façon, d'étape en étape.
Ton parcours de guérison semble bien courageux , motivé et bosseur !
Bravo Libelle.
C.

Comme le disent le Beatles,

Libelle my belle ta montée va te mettre mieux dans ton ensemble .....


https://youtu.be/BKvee-w0uBc

Hello,

Vraiment contente de vous lire... mes z'amis....

Je suis à 140 mg, je vais stabiliser et voir comment ça tourne. Oui, je crois que les chamboulements de ma vie en sont en partie la cause et aussi, comme dit Sylvie, diminuer trop bas, 35 était trop bas. Et même si j'étais alerte, j'avais un blocage à remonter mes doses trop hautes en raison des EI, mais en fait, ils sont beaucoup moins pire cette fois-ci que lors de ma première montée. Je verrai car parfois ils surgissent plus tard, mais à suivre.

Je vais passer tous vous lire demain, j'ai hâte d'avoir de vos nouvelles également.

xx

Les EI ne sont jamais les mêmes
Le cerveau s'habitue ...

Merci Sylvie, c'est une bonne nouvelle

Beau fixe à 140 mg, pas de retour du craving pour le moment. Ça fait 5 jours, j’attends de voir.


Bise xx

Bonsoir Libelle,

J'ai lu la dernière page de ton Fil
et ton superbe résumé de ton parcours.

Suite à nos échanges sur ce nouveau Fil que tu as crée,
je reviendrais plus souvent ici.

Mais vraiment, s'il y a un conseil
que tu pourrais suivre pour consolider ta Nouvelle Belle Indifférence
c'est d'éviter de boire si tu es seule,
et si tu n'es pas sous le coup de violentes émotions.

Je te souhaite le meilleur pour la suite...

A bientôt.

Salut Fripoune,

Très contente de te lire. Et oui, il est certain que c'est ce que je vais faire. Et j'applique réellement le TEST Fripoune et il m'est très bénéfique.

Moi aussi, j'ai fait comme toi et attendre que l'indif revienne simplement en croyant augmenter. Malgré tout ce temps je n'avais pas compris encore que j'avais aussi un travail à faire. Je fais bien la différence entre les obsessions et le simple désir passagé et ton témoignage m'aide énormément.

Et oui, je dois réellement éviter de boire seule. Je peux être correct un certain temps, mais lorsque ça va moins bien, ce comportement fait que la mémoire n'a pas été effacée de façon substantielle ce qui fait que la dérap peut survenir à nouveau lorsqu'on est instable émotivement ou autre.

Encore merci à tous de partager vos cheminements et votre support, il est certain que sans cela, jamais je ne serais où je suis.

Lib xx

Bonjour Libelle,

Je suis ravie d'avoir pu t'aider...

Il me semble que nous avons aussi autre chose en commun.
Tu écris :
" Très intéressant aussi ton barème sur l'angoisse, c'était d'ailleurs moi-aussi un symptôme qui me pesait et qui me faisait descendre rapidement."
En as tu encore ?

Tu dis aujourd'hui :
"... lorsque ça va moins bien...la dérap peut survenir à nouveau lorsqu'on est instable émotivement ou autre."

Pour être une Angoissée de " naissance "
- n'est ce pas là le profil idéal pour expliquer aussi
nos abus d'alcool, hein ?-
la deuxième étape, après l'Indifférence a été de m'en débarrasser.

Je me rends compte que mes Angoisses proviennent
d'un tiraillement entre ce que l'on attend de moi et ce que je peux faire
d'une inadéquation entre ma définition du bien-être et celle des autres...

Claire/ Claude parle de:
Ce que je suis / ce que tu veux que je sois
Ton confort / Mon inconfort
Ca aide d'avoir cette petite boussole binaire en tête !

Libelle, je pense que nous avons suffisamment Avalé,
- et ce dans tous les sens du terme -
pour se permettre maintenant de dire :
flûte, Crotte, voire M* à ce qui ne nous convient pas !

Nous avons déjà arraché une belle Victoire
quand nous avons gagné notre Combat contre l'Alcool.
Ainsi nous sommes Debout, la tête haute,
droites dans nos baskets, fières...
et Fières de l'être !
( pour se laisser enquiquiner maintenant )

Ah, je n'ai pas dit que la chose était aisée mais
chaque fois qu'une Angoisse pointe le bout de son nez:
je mets sur pause,
je me pose
et je me demande :
" dans cette situation, ou vis à vis de cette personne
qu'est ce qui te chagrine Sophie ? "
J'essaye de comprendre, d'identifier le malaise,
avant qu'il ne prenne de l'ampleur
et que l'envie de me noyer dans une bouteille ne revienne.

C'est pour cela que ces occasions deviennent très rares.

N'est ce pas finalement l'étape suivante et logique
de cette quête de l'Indifférence ?
Se redécouvrir, être soi-même,
identifier nos besoins, nos envies pour être en adéquation avec Soi...
sans le miroir déformant de l'Alcool.

Si tu te reconnais, un peu, beaucoup dans mes propos,
essaye Libelle, essaye
tu verras que c'est extrêmement libérateur !

Passe une bonne journée.

Coudonc Fripoune... incroyable comment je me reconnais dans tout ce que tu peux dire. J'ai d'ailleurs commencé à lire ton fil, le nouveau que tu avais débuté une fois l'indifférence atteinte. J'ai vraiment envie de le lire en entier alors je mis met par-ci par-là. J'ai vu ton histoire sur le Colibri ... tellement jolie et inspirante... éteindre un feu avec des petites gouttes venant de tous ...

Je vais te faire un coucou sur ton fil une fois que je l'aurai lu, c'est important pour moi je connaitre ton chemin.

J'ai lu aussi que lorsque tu avais de l'alcool à la maison, tu buvais juste parce qu'il y en avait .... et bien j'ai compris que j'étais bel et bien indifférente .. mais que oui, si j'allais au resto prendre 2 verres .. je n'avais aucun gout d'aller me chercher une bouteille, mais il m'arrivait d'y aller, pas toujours bien sur ... mais juste parce que c'est comme ça qu'avant je gérais la vie ... mais sans aucun craving ... si javais de grosses émotions par contre, je veux comme un peu me faire du mal ... un peu comme de l'auto-mutilation .. ça me soulage... bizarre à dire hein !!

J'ai fait le choix de ne plus aller au resto pour un moment encore.. le temps que vraiment l'indifférence soit bien ancrée. Ça fait 7 jours que je ne suis pas allée au resto, avant j'Y allais 2 fois par semaine. Ça me fait du bien et ça confirme mon indifférence, je ne pense pas du tout à l'alcool. Ton test à été déterminant pour moi.


Maintenant, pour le reste de ton message, c'est exactement ça. J'ai encore des angoisses, mais pas je ne parle pas de celles du baclofène. Celles du baclofène je les reconnais. Parfois, dans mon "ancienne" heure de craving .. j'ai une poussé d'émotions intenses où je panique pour des détails, et la je sais que c'est mon angoisse baclo, je la connais. Parfois le matin en me levant aussi, mais pas toujours. Alors je me calme, je l'appelle "Ma parano baclo". Elle passe assez rapidement maintenant, c'est quelques minutes sans plus. Lorsque j'avais diminué le baclo rapidement, je n'arrivais pas à gérer cela, maintenant c'est correct.

Aussi, j'ai beaucoup d'activités et je suis une personne qui a beaucoup d'énergie. Je ne dors pas beaucoup, de nature (Mais tellement bien depuis le baclo). Mais autour de 17h, j'ai un coup de barre "baclo". Avant il me faisait paniquer. Maintenant, je l'accepte, j'en profite pour m'assoupir (quand c'est possible) et de laisser aller cet état. Parfois je m'endors, parfois je fait juste être extrêmement détendu, et je profite totalement de ce moment, je vois ça comme un cadeau. Ça dure un moyenne 20 ou 30 minutes. Maintenant, je profite des ES pour en tirer le maximum pour moi car je veux cette fois-ci garder ma dose de 140 mg un bon 3 mois minimum, peut-être 6. Ensuite descendre au feeling.

Sinon, pour mes angoisses "chroniques", celles qui m'ont fait boire dont tu parles... c'est tout à fait ce que tu nommes, exactement ça. Et oui, tu as tout à fait raison et je vais suivre tes conseils et continuer de que j'ai commencé à faire.

Déjà, j'ai éliminé toutes les personnes négatives et néfastes de ma vie. J'étais une 'mère Thérésa" des gens lourds et souffrants. Des gens qui nous gobent de l'énergie et qui en ont jamais assez. Des éternelles victimes qui ne s'aident pas mais attendent beaucoup des autres. Bref, j'ai éliminé tous ces gens de ma vie et garder mes relations positives. Étrangement, la vie a mis sur ma route des gens super sains et équilibrés. Pas parfait, comme moi, des gens qui sont positifs et généralement heureux. Ça ma fait un bien fou. J'ai du traverser des deuils de ces relations, mais au bout d'un temps, ça m'a tellement fait de bien et je suis libérée.

Pour ceux qui m'ont au début, ma meilleure amie des 20 dernières années, j'avais raconté que lorsque je lui ai dit que je commençais le baclo, elle m'avait dit de cesser tout ça et de me faire faire un enfant ... que ça allait tout régler. Bref, conseil ridicule et aucun support de sa part. Bref, c'est la dernière relation qu'il me restait de lourde. Ça été très difficile mais j'ai laissé tomber cette relation il y a 6 mois. J'étais très proche de ses 4 enfants donc, ça été un gros deuil, mais il était nécessaire car je me sentais toujours comme de la merde en sa compagnie depuis un bon moment déjà.

Bref, tout ça pour dire que j'ai déjà commencé le travail dont tu parles, mais il me reste réellement à le faire plus en profondeur, améliorer la perception que j'ai de moi-même intérieurement.

Bon alors, désolée de ce roman ... tu m'as inspiré


Un gros merci et tu vas me retrouver sur ton fil au court du WE

Désolée pour les fautes, je ne me relis pas !!



Grosse bise ma chère ...

Grosse bise à tous

Lib xx

Contente de te lire, ça faisait longtemps!

Bonjour Libelle,

Décidément chaque fois que tu postes,
je m'y retrouve aussi quelque part.

Tu as bien raison de faire la différence
entre " ta parano baclo" ( j'adore ce terme!)
et les angoisses générées par des personnes / des situations.

Dans ce qui va suivre, et ne connaissant pas tes horaires de prise
je ne parlerai que de ma propre expérience. ( encore )

Pour les premières angoisses, surtout celles du matin,
je suis persuadée qu'elles proviennent tout simplement
d'un manque de Baclo.
Ma dernière prise est à 16h et la première du matin
vers 06h
tu constates le décalage...

Maintenant que j'en ai conscience,
je ne m'en formalise pas plus que cela.
Je prends mes 60 mg au réveil et je sais
qu'une heure après, ce manque ( sous forme d'Inquiètude ) disparait.

En ce qui concerne les somnolences,
que je vis également vers 15H30
c'est comme si mon cerveau me rappelait
" Hello Sophie, j'ai besoin de mon Baclo "
Je commence à bailler, à vouloir piquer du nez
( en plein boulot à ce moment là, pas une bonne idée pour moi )
et je sais d'instinct, sans regarder l'heure
qu'il est temps d'avaler mes cachets.

Véridique mais très peu de temps après,
je suis on ne peut plus réveillée !

Mais si toi, tu as la possibilité de te détendre
effectivement, prends le comme un cadeau.

En ce qui concerne les ES, à 140 mg
sache que le temps joue toujours en notre faveur
et qu'ils peuvent s'estomper voire disparaître.

En ce qui concerne tes grosses émotions,
et ce besoin de te faire du mal,
je te dirais de rechercher des pistes comme
" vaincre, surmonter son sentiment de culpabilité "
ou alors un titre de livre qui me vient à l'esprit
pour poursuivre ton travail sur toi même :
Cessez d'être gentil, soyez vrai !


Pour le reste,
tu as déjà fait un grand pas en avant
en éliminant toutes les relations toxiques
qui savent vampiriser les autres, sans rien donner en retour.
D'avoir rencontrer de plus belles personnes,
t'a conforté dans ton choix.
En fait, l'épanouissement amène à de riches rencontres.
Il n'y a pas de hasards, j'en suis persuadée.

Pour ta meilleure amie,
peut-être que le temps, ton silence et ton absence
feront en sorte qu'elle se remette en cause
et s'intéresse à ta maladie.

Un mal aujourd'hui pour un bien demain.
Toujours faire Confiance à la Vie.


C'est moi qui te remercie de ton attention.
Je te souhaite " Bonne Lecture ! "
et au plaisir d'échanger à nouveau avec toi.

Passe une excellente journée, Libelle.

Salut Fripoune, ça nous a pris un moment à se connaître sur le forum mais visiblement on se comprend bien a cette étape du processus

C'est exactement lorsque je manque de baclo que mes angoisses peuvent apparaître. Le matin car mes doses sont toutes avant mon craving de 16hr mais je pouvais avoir des pensées autour de midi.

Donc ma dernière dose est à 15hr et ma première du matin est à 9hr. C'est vraiment ma répartition parfaite pour l'alcool avec les petits désagréments des EI quand j'en manque un peu. J'avais essayé un 5 ou 10 le matin au réveil et même chose au coucher mais mes autres EI étaient plus forts donc je préfère ça comme ça.

Quand je ne peux pas m'assouoir je le gère autrement, ce n'est pas très long.

Je vais certainement acheter le livre dont tu parles, car oui, je dois travailler cet aspect de moi

Encore merci de ton partage j'apprécie beaucoup

Lib xx

Oui il est clair Libelle,

quand "on" a trouvé sa répartition parfaite,
il ne vaut mieux plus en changer.

Le tout est d'avoir conscience de ses petits défauts,
ne pas se cristalliser dessus,
et laisser le temps faire son effet.

Encore une fois, ravie d'échanger avec toi:
Ce n'est pas tant que le Forum est grand,
c'est parce que c'était le bon moment

Salut Fripoune,

Toujours un délice de te lire

Juste le titre du livre dont tu me parles m'appelle !!!

Tellement ce que je suis en train de vivre...

Mais il reste que je dois me parler... cesser d'être gentil, soyez vrai ... oufff... c'est ce que je deviens... mais non sans piler sur ce que j'ai toujours été ..

J'ai toujours été franche et authentique... c'est dans ma nature.. mais je me mentais à moi-même parfois... les autres ont toujours été plus importants que moi-même et ce, jusqu'à ce que ça fasse environ 5 mois que je sois sous baclo. Je ne sais pas pourquoi mais au-delà du traitement pour l'alcool, le baclofène m'a apporté une toute autre dimension de moi-même.

Ce n'est certainement pas le médicament en soi, beaucoup plus probablement que j'étais rendu à cette étape de ma vie... et que par le fait même, j'ai été ouverte au traitement au baclo et tout le reste s'en est suivi. Mais cela dit, il reste que cette étape de ma vie m'a apporté beaucoup. Et oui, je me rapproche de moi-même et laisse les gens toxiques derrière moi.

C'est étrange mais ton passage sur le fil sur la descente m'a fait un bien fou. Je te trouve très généreuse d'être venue partager ton expérience sur un fil qui n'était pas le tien et merci encore, pour ma part, je te le répète mais ton témoignage a été dès plus déterminant ainsi que les autres venus en discuter. J'espère qu'il apportera un support similaire à d'autres.

Grosse bise à tous les copains ..

xx

c'est souriant de vous lire de réponses en réponses !
C.

Bonjour Libelle,
Bonjour Corinne,

Moi, c'est en découvrant ton post ce matin,
que je me suis mise à sourire.
(Et tu vois, je suis encore là )

Ce que tu as ressenti, ce que tu ressens encore,
c'est tout simplement la définition de l'Indifférence.( à mon sens )
( ou l'atteinte du seuil d'après Franck )

Je te laisse déjà apprécier une citation de ce dernier pour l'illustrer :
" Non, l'atteinte du seuil ne se limite pas à la disparition du craving. Je le crie haut et fort, l'atteinte du seuil est bien plus que cela. C'est un véritable bouleversement de la personnalité, un réel mieux être......
Je l'ai toujours dit et pensé, sans être compris.
Il y a quelques temps encore je lisais : "si le craving a disparu, alors c'est que le seuil est atteint".
Non, le seuil c'est plus que ça....."

Pour résumé
le boulot du Baclo est de tuer le craving
mais après il en résulte, pour certains,
un état de bien-être, de confiance en soi
qui se développe et se cultive jour après jour.

Apprécions, savourons, comparons
nos Avants, nos Après
notre Hier et notre Aujourd'hui
ce que nous avons été, ce que nous sommes
afin de définir, de poser notre Demain.

Une vaste quête mais à laquelle je ne me lasse pas,
tant je m'émerveille chaque jour des bienfaits du traitement.

Je me dis souvent,
je ne sais pas où je vais
mais je sais d'où je viens
et cela crois moi, Libelle, il ne faut pas l'oublier.

Pour finir,
je ne sais pas si je suis généreuse
mais diantre que tes propos m'inspirent
et d'incorrigible bavarde, tu as le droit de taxer

DES BISES.

J'adore aussi la phrase de Frank ... vraiment... c'est exactement ça ...

Je vais aller voir s'il la mise sur le fil de la descente !!


Bec xx