Je sais que c'est difficile pour toi aussi en ce moment, Noëlle. J'ai un gros avantage, c'est que je sais que je suis très proche du but.

Tchin Manue ! Après tout, on met se qu'on veut dans nos verres hein !

Fred : pour toi aussi je sais que c'est difficile, mais tu parviens malgré tout à penser aux autres. J'apprécie !
Et puis tu sais non, les EI n'ont pas pris le pouvoir sur mon mental. Mon mental reste maître du jeu et me souffle à l'oreille qu'il faut que je patiente encore, et encore.
Alors j'essaie de faire taire tout le reste et je l'Ă©coute...

Dans la nuit qui m’environne,
Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Je loue les Dieux qui me donnent
Une âme, à la fois noble et fière.

Prisonnier de ma situation,
Je ne veux pas me rebeller.
Meurtri par les tribulations,
Je suis debout bien que blessé.

En ce lieu d’opprobres et de pleurs,
Je ne vois qu’horreur et ombres
Les années s’annoncent sombres

Mais je ne connaîtrai pas la peur.

Aussi Ă©troit soit le chemin,
Bien qu’on m’accuse et qu’on me blâme
Je suis le maître de mon destin,
Le capitaine de mon âme

Et pourtant la menace du temps

Me trouve et me trouvera, sans peur.

Peu importe l’étroitesse de la porte,
Le nombre des punitions sur le parchemin,

Je suis le maître de mon destin :
Je suis le capitaine de mon âme.

Depuis l’obscurité qui m’envahit,

Noire comme le royaume de l’enfer,
Je remercie les dieux quels qu’ils soient
Pour mon âme indomptable

Dans l’étreinte féroce des circonstances,

Je n’ai ni bronché ni pleuré
Sous les coups de l’adversité.
Mon esprit est ensanglanté mais inflexible.
.Et pourtant face Ă  la grande menace

Je me trouve et je reste sans peur.

Peu importe combien le voyage sera dur,
Et combien la liste des châtiments sera lourde,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.

ouf ! arrivé juste à temps pour la tournée de bises

j'suis ben content !

alors toi aussi, les ES te freinent !!! on a décidément qqs points en commun, chère Flo

en tout cas : MERCI de m'attendre mouaaaahahahahaha

quelle classe cerisette !!!

internationale

alors je prends ton bras, redescends qqs marches avec toi, et suis prêt qd tu veux pour repartir à l'ascension (décidément pas si simple !) vers l'autel de l'indifférence

je t'embrasse fort fort fort et ne lâche plus ton bras !

zzzzoubsssss muac muac muac

nicoco

Merci Joséphine, pour ce poème très à propos que je ne connaissais pas.

Nico : la prochaine fois, on l'offre tous les deux à la cantonade la tournée hein !
Et pour ce qui est de descendre quelques marches, oui, j'y suis bien contrainte.
Hier, il y avait du mieux, mais aujourd'hui, question EI, c'est la cata. Jamais été aussi mal ! Et les anti-douleurs n'y font rien du tout.
Heureusement que ma baisse de Baclo ne semble pas du tout influer sur ma consommation.
J'ai mĂŞme plutĂ´t l'impression que c'est le contraire. Mais il est encore un peu tĂ´t pour l'affirmer.

Si tu ne connais pas, saches qu'il s'agit du poème qui a soutenu Nelson Mandela,(mort de 5 décembre de l'an dernier) dans sa prison DE ROBBEN ISLAND. L'auteur en est William Ernest Henley. Il y a deux versions je crois. Bises bas toi

DEMAIN JE PORTERAI LE DEUIL DE CE GRAND HOMME

Tu te doutes bien que j'avais regardé Joséphine. Quand quelque chose me plaît...
Et demain, prépare aussi le costume de deuil de... ton alcoolisme !
Tu ne le porteras pas maintenant. Tu l'achètes demain, il faudra que tu lui fasses quelques retouches pour le mettre à ta taille et tu verras, il t'ira très bien !

flo tu es sure que tes douleurs viennent vraiment du baclo?
moi je lui avais mis sur le dos mes problèmes neurologiques

coucou flo gege il as trouvé son seuil en descente du baclo montée 260 indifférence 160

courage flo je te lis


si je te rencontre je vais te reconnaître maintenent


gros bisous moussette

Edith : on me posait très exactement la même question hier.
Bon, bien sûr, je sais que le Baclo a bon dos et que l'on ne peut jamais être sûr de rien d'où la création de mon fil Effets Baclo, ou pas ??? mais...
Il se trouve qu'à l'origine, ces douleurs étaient tout à fait répertoriées dans les ES classiques du Baclo. J'ai lu de très nombreux témoignages là-dessus. Or, mes douleurs actuelles ne sont que l'évolution très progressive des premiers ES. En s'accentuant, elles sont même passées du stade de désagréable au stade d'agréable pour basculer enfin vers le carrément douloureux. Mais je sens bien qu'elles ont le même fil conducteur, que ce sont les mêmes qui se sont transformées.
Vers le mois de février, en revanche, j'ai eu d'autres douleurs qui me sont tombées dessus complètement à l'improviste : douleurs articulaires à l'épaule qui m'ont énormément handicapées jusqu'à devoir mettre plus de 20 minutes pour m'habiller le matin et ne plus pouvoir rien faire de la journée. Même fumer, pianoter sur mon clavier m'étaient devenus insupportables.
J'ai bien pensé au Baclo mais c'était en fait une périarthrite et j'avais déjà été sujette à cela par le passé. Mais là, c'était vraiment complètement différent, elles ne résultaient pas d'un processus de maturation comme ici.
Pour confirmer cela, je vais bien voir si elles s'estompent Ă  la diminution du Baclo que je suis contrainte de faire en ce moment.
Là, ce matin c'est mieux mais j'ai pris un paracétamol codéiné dès 8 heures.
En revanche, hier, les antinévralgiques n'ont strictement rien changé et les douleurs ont repris de plus belle l'après-midi.
A suivre donc...

Oui Moussette, je me demande si je ne suis pas en train de faire comme Gégé et ça me donne de l'espoir.
En plus, ce serait à peu près au même dosage de Baclo parce que là, j'étais arrivée à 255 mg.
On va se rencontrer, c'est certain, mais j'attends un peu que ces douleurs s'estompent. Le problème de mes assoupissements irrépressibles n'est plus le plus important pour moi en ce moment.

Bise en passant Flo.

Merci Jack !

Et en passant aussi, il y avait un très beau témoignage dans l'émission Toute une histoire ce midi.
Je pense que l'Ă©mission est encore visible sur le net.
En gros "c'est l'histoire d'un mec", pasteur de son état et alcoolique de surcroît qui, n'en pouvant plus de leurrer ses ouailles, décide de sortir de sa maladie et y parvient grâce au soutien de sa femme, d'un suivi médical et d'un médicament dont le nom n'a jamais été cité.
Bref, il décide également aussi, une fois sorti d'affaire, de tout avouer à ses fidèles et là, contre toute attente, il obtient également leur pardon.
En tant qu'ancienne instit, je me suis totalement retrouvée dans ses propos.

bijour, quoiqu'ten penses de mon escapade chez le doc?
bise j'espère que tes douleurs se calment

Ben je me dis que la Joséphine elle est top mais que le doc, il est pas à la hauteur.

Mes douleurs ? Hier, c'Ă©tait mieux et depuis cette nuit, elles sont revenues au grand galop mais j'en connais en partie les causes :
Hier, j'ai zappé ma prise de 6 heures (75 mg) et je ne m'en suis aperçue que dans la soirée. J'ai hésité et j'ai donc pris mes 55 mg à ce moment-là et 50 mg (au lieu de 30) juste avant d'aller me coucher.
Ceci explique peut-ĂŞtre cela.

Rendez-vous hypnose cet aprèm, je ferai un petit compte rendu ce soir ou demain.

Flo, n'arrĂŞte pas de donner parce que moi je prends avec bonheur. Le trop ne se situe pas Ă  ce niveau. Il est (Ă  mon avis) dans l'Ă©quilibre entre donner et recevoir. DISCUSSION OUVERTE;

Justement José-fine, c'est cet équilibre que je ne parviens pas encore à trouver, comme je le disais chez Jack tout à l'heure.
Après avoir passé des années à donner sans compter et à très peu recevoir, en ce moment, je reçois trop par rapport à ce que je peux donner.

La matinée se lève
Toi debout, il est temps

Attends encore, attends
J'ai pas fini mon rĂŞve

Le soleil nous inonde
Regarde-moi ce bleu

Attends encore un peu
Je refaisais le monde

Lève-toi donc, respire
Quel printemps nous avons

J'efface mille avions
Une guerre, un empire

Faut labourer la terre
Et tirer l'eau du puits

Changer la vie et puis
Abolir la misère

Regarde l'alouette
Il est midi sonné

Le monde abandonné
Je le donne au poète

Allons, viens dans la vigne
Le soleil est très haut

Le monde sera beau
Je l'affirme, je signe

Le monde sera beau
Je l'affirme, je signe


c'est beau ça. Je viens de capter ça à la téloche, c'est, comme ça, pour rien, sans rapport avec rien, que pour la beauté du truc

comme en don sans rien attendre en retour, juste beau

salut FLoCerise,
en rebond à ta signature, voici le spectacle de 2013 (l' intitulé "2014" est une erreur ou un abus) sur le thème du Petit Prince - Fête des Lumières - Place des Terreaux -Lyon.
celui de cette année a pour base matérielle la Grande Roue de la Place Bellecour - C' est pas mal.
vidéos pas encore disponibles.
bon we !

lettrée comme tu l' es, tu sais, bien entendu, que Saint-Ex était Lyonnais !

beau comme une source qui goutte doucement, Ă  fleur de montagne, un jour de canicule......... OULA JE M ENVOLE

Il pleut,
Il pleut,
Sur les jardins alanguis,
Sur les roses de la nuit,
Il pleut des larmes de pluie,
Il pleut,
Et j'entends le clapotis,
Du bassin qui se remplit,
Oh mon Dieu, que c'est joli,
La pluie,

Quand Pierre rentrera,
Il faut que je lui dise,
Que le toit de la remise, A fui,
Il faut qu'il rentre du bois,
Car il commence Ă  faire froid,
Ici,

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Oh, Pierre,
Mon Pierre,
Sur la campagne endormie,
Le silence et puis un cri,
Ce n'est rien, un oiseau de la nuit,
Qui fuit,
Que c'est beau cette pénombre,
Le ciel, le feu et l'ombre,
Qui se glisse jusqu'Ă  moi,
Sans bruit,

Une odeur de foin coupé,
Monte de la terre mouillée,
Une auto descend l'allée,
C'est lui,

Oh, Pierre,
Pierre


Promis, bientôt j’atterris, mais barbara, c'est mon Kiffe, la chanson d'avant c'etaIT jEAN FERRAT

on va bientĂ´t pouvoir rebaptiser ce fil!

Merci Joséphine et Baclofun, pour ces partages.
Et Joséphine, puisque Ferrat apparaît en filigrane derrière ton texte, voici une jolie chanson de lui qui m'est revenue à la mémoire
-->L'amour est cerise
Rien Ă  voir cependant avec le choix de mon pseudo.

Non non Édith, pas de "rebaptisation" au programme pour l'instant. Mais elle est tout de même prévue depuis longtemps.
J'attends le moment opportun pour cela.

Sinon, je devais refaire une séance d'hypnose cet aprèm mais j'ai moi-même différé. Trop mal !
Je ne me voyais pas pouvoir ĂŞtre zen avec mes douleurs actuelles.
Ça aurait été comme si l'on m'avait demandé de me détendre alors qu'on était en train de me taper sur les doigts avec un marteau.
En fait, dans les pieds, ça ressemble un peu à l'onglée.
J'ai bien connu cette douleur lorsque petite, j'allais aider mes parents à ramasser les pommes dans l'herbe gelée.
C'est un froid douloureux qui procure également une sensation de brûlure.
Bref, séance reportée à samedi prochain en espérant que le problème sera réglé d'ici là.

Merci je ne la connaissais pas et pourtant je connais beaucoup Jean Ferrat

j'ai moi aussi parfois très très froid aux pieds, aux main et au nez toujours ds la journée
je les passe sous l'eau chaude, ça fait du bien
tu as essayé les bains chauds?

pour le changement de nom de ton fil j'avais pensé: le nouveau salon ou on cause ou le fil de flo et joséphine
je taquine!

- La récompense d'une bonne action, c'est de l'avoir accomplie.

- L'amitié est toujours profitable, l'amour est parfois nuisible.

- Nous avons les défauts d'autrui dans l'œil et les nôtres dans le dos.

- Un bienfait est sans charme si le bienfaiteur l'a retenu longtemps dans sa main.

- Nul n'est libre qui est esclave de sa chair.

- L'erreur est aussi grande de se fier à tous que de tous se défier.

- Le coupable est celui Ă  qui le crime profite.

- Un crime se couvre par un autre crime.

- Qui demande timidement enseigne Ă  refuser.

- C'est quand on n'a plus d'espoir qu'il ne faut désespérer de rien.

- Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.

- Pour faire taire autrui, commence par te taire.

- La modération couvre l'audace, la pudeur couvre l'impudicité, et la piété couvre le crime.

- Une grande dignité est une grande servitude.

- On peut briser l'entêté, mais non le faire plier.

- L'arbre devient solide sous le vent.

- La prospérité demande la fidélité, l'adversité l'exige.

- Vouloir guérir, c'est être déjà à demi guéri.

- L'ivresse est une folie volontaire.

- Le bon juge condamne le crime sans haĂŻr le criminel.

- La loyauté est le bien le plus sacré du cœur humain.

- Le coq est roi sur son fumier.

- Au malade, le miel est amer.

- Le tort commun des malheureux est de ne jamais vouloir croire Ă  ce qui leur est favorable.

- Qui méprise sa vie est maître de celle d'autrui.

- C'est pour le superflu que l'on sue.

- L'obscurité donne la paix aux hommes simples.

- Le discours est le visage de l'esprit.

- Il est plus facile de se contenir que de se retirer d'une querelle.

- La récompense d'une bonne action, c'est de l'avoir faite.

- Quand le remède est affreux, on hésite à guérir.

- Nul châtiment n'est pire que le supplice du remords.

- Quand on se repent, on est presque innocent.

- Si vous voulez que l'on garde votre secret, le plus sûr est de le garder vous-même.

- Les misères de la vie enseignent l'art du silence.

- On ne se moque pas de qui rit de lui-mĂŞme.

- Le style est le vêtement de la pensée.

- Le succès fait paraître honnêtes certains crimes.

- Vouloir tard, c'est ne pas vouloir.

- La valeur consiste Ă  dompter ce qui fait trembler tout autre.

- La pente du vice est une pente douce.

- Un vice conduit Ă  un autre.

- Il faut toute la vie pour apprendre Ă  vivre.

- La vie ressemble Ă  un conte ; ce qui importe, ce n'est pas sa longueur, mais sa valeur.

- Toute la vie n'est qu'un voyage vers la mort.

- Tel supporte plus facilement un coup d'épée que la vue de l'arme.

- Il n'y a pas de vents favorables pour ceux qui ne savent pas oĂą aller.

- Celui qui cherche la sagesse est un sage, celui qui croit l'avoir trouvée est un fou.

- Tu cesseras de craindre en cessant d'espérer. La crainte et l'espoir qui paraissent inconciliables sont pourtant étroitement unis.

- L'adversité finit par atteindre celui qu'elle a parfois frôlé.

- Tirons notre courage de notre désespoir même.

- Le travail est l'aliment des âmes nobles.

- Il n'est pas de vice qui ne trouve de défenseur.

- Oh ! que l'homme est chose méprisable, s'il ne s'élève au-dessus des affaires humaines.

- Toute vertu est fondée sur la mesure.

- La raison veut décider ce qui est juste : la colère veut qu'on trouve juste ce qu'elle a décidé.

- Si tu veux être aimé, aime.

- Être asservi à soi-même est le plus pénible des esclavages.

- Le remède le plus honteux à l'affliction chez un homme raisonnable, c'est de guérir par lassitude.

- Le langage de la vérité est simple.

- La vraie joie est une chose sérieuse.

- Un bon pilote continue à naviguer avec les voiles déchirées.

- Si tu veux être heureux, si tu veux être un homme de bien, laisse les autres te mépriser.

- Le monde appartient Ă  celui qui l'a vu.

- Il faut aimer pour être aimé.

- Les grandes douleurs sont muettes.

- La plus grande partie de la vie passe Ă  mal faire, une grande partie Ă  ne rien faire, toute la vie Ă  faire autre chose que ce que l'on devrait.

- Être invulnérable ne veut pas dire n'être jamais attaqué. Cela veut dire ne pas pouvoir être blessé. C'est ce qui caractérise le sage tel que j'entends le définir.

- Quand survient l'épreuve, il est trop tard pour préparer notre âme à l'assumer.

- Sachons Ă©viter les offenses, puisque nous ne savons pas les supporter.

- Quand le soleil s'Ă©clipse on en voit la grandeur.

- Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

- Les destins conduisent celui qui veut, ils traînent celui qui ne veut pas.

- À chacun est assignée sa part de misère, comme un art qu'il doit apprendre pour se rendre habile.

- Heureux celui dont le jugement est droit ; heureux celui qui se contente des biens qui s'offrent à lui aujourd'hui quels qu'ils soient, et aime ce qu'il possède ; heureux celui pour qui la raison décide de la valeur de tout ce qui lui appartient.

- Il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va.

- Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.

- Ayez surtout le souci de séparer les choses du bruit qu'elles font.

- Commence déjà à être l'ami de toi-même, tu ne seras jamais seul.

- Toujours vouloir la mĂŞme chose, toujours refuser la mĂŞme chose.

- C'est d'âme qu'il faut changer, non de climat.

- On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie.
petits sujets dont nous pouvons discuter dans notre salon de thé itinérant, j'envoie ce poste à Edith, bien sur on peut aussi parler d'autre chose
- On déteste ceux qu’on a lésés.

- Personne ne se soucie de bien vivre, mais de vivre longtemps, alors que tous peuvent se donner le bonheur de bien vivre, aucun de vivre longtemps.

- La vertu est difficile à découvrir ; elle demande quelqu'un qui la dirige et la guide, les vices s'apprennent même sans maître.

- Le sort commun des malheureux est de ne pas vouloir croire ce qui leur est favorable.

- Lorsqu'on ne sait pas vers quel port on navigue, aucun vent n'est le bon.

- Nous devons procéder à notre propre examen avant de passer à celui des tâches que nous allons entreprendre.

- Tandis qu'on attend de vivre, la vie passe.

- Quand tu auras désappris à espérer, je t'apprendrai à vouloir.

- Il y a une grande différence entre vivre longtemps et longtemps exister.

comme c'est long j'explique : petits sujets dont on peut discuter dans notre salon de thé itinérant, on peut bien sur parler d'autre chose. J'ai envoyé ce post à Edith. Il nous faudra des années pour débattre de tout ça.

Arch!

Je viens de comprendre pourquoi je n'aime pas le thé.

bein moi non plus j'aime pas le thé. BISE LEE

Édith : froid au nez moi aussi.
Pour mes pieds, j'ai essayé les bains chauds, la bouillotte avec du gel à faire chauffer au micro-ondes, l'appareil de massage, la baballe souple à faire rouler doucement sous le pied mais rein n'y fait. Même quand mes pieds sont chauds, j'ai l'impression d'y avoir froid et quand j'y ai froid, ça n'empêche pas qu'ils me brûlent.

Biloutte : tes pensées sont mes pansements, bien plus fortes que n'importe quel médicament et de surcroît sans risque de surdosage.
Et dans mes contrées lointaines, assez proches de tes anciennes contrées, oui, du temps où il y avait encore des saisons, mon pov' Monsieur, on ramassait parfois encore des pommes alors que les premières gelées s'étaient déjà installées.

Joséphine : oh la la ! C'est que je ne vais pas avoir assez d'une vie pour réfléchir à tout ça moi ! Ce ne sont pas des années qu'il nous faudrait mais des siècles.
Mais peut-ĂŞtre que tu pourrais t'inscrire pour proposer les sujets de philo pour nos futurs bacheliers ?

Lee : je n'aime pas le thé non plus. Enfin, c'est pas que j'aime pas ça, c'est que je ne prends pas de plaisir à en boire.

Et sinon, je rentre de ma petite représentation théâtrale chez ma Môman. Je n'y ai pas joué l'alcoolique du Petit prince mais la non-alcoolique de la petite fille bien sage à sa Môman.
Mon oncle et ma tante, que j'ai récemment mis au courant du problème étaient là eux aussi et pas mal de sourires complices se sont échangés au cours de la journée.
Pas trop de difficultés à jouer la non-alcoolique, j'ai des années d'entraînement à mon actif et je connais mon rôle sur le bout des doigts.
En revanche, mettre mes EI eu fond de ma poche et mon mouchoir par-dessus, là fut la plus grande difficulté.
Je pense m'en être malgré tout bien sortie mais ce fut éprouvant

Non non, moi j'aime les jeunes quand ils sont jeunes. Pour réfléchir à tout ça faut déjà avoir "de la bouteille"

ah la représentation du dimanche, j'en ai fait aussi, assez soulagée de ne plus en faire, mais bon
Courage pour tes ES, une amélioration à la descente?

Bisous
Manue

bonjour, ma Flo, tu m'as manqué. Je ne te questionne pas sur tes douleurs, histoire de ne pas te les rappeler. Bizarre ton dimanche, douloureux aussi, faudrait qu'on nous aime comme on est. Je ne sais pas pour toi mais ma mère, c'est l'une des rares personnes qui est capable de me faire pleurer avec une remarque. J'ai réglé le sujet, je ne la vois plus. Mais j'y pense tous les jours.

Manue : ce qui était marrant avant, c'est que c'était moi l'alcoolo je faisais partie des plus sobres dans les réunions de famille.
LĂ , ce qui est le plus dur, ce sont les EI et de ne pas pouvoir partager mon bonheur avec les autres.
En ce qui concerne ma mère, c'est un peu particulier. Je ne veux pas lui révéler la vérité parce qu'elle a 82 ans et que je veux la préserver. Si elle savait, la connaissant, c'est toute l'éducation qu'elle m'a donnée qu'elle remettrait en cause et elle se culpabiliserait alors à quoi bon ? D'autant que tout cela est quasiment derrière dorénavant.

Quant à mes douleurs, Joséphine, puisque tu ne me questionnes pas, je veux bien te répondre : et bien aujourd'hui, ce n'est pas ça du tout du tout. Dès que je me mets debout, j'anticipe en regardant autour de moi à quoi je pourrais bien me raccrocher au cas où je tomberais. Et lorsque je suis assise, je serre les dents.

BOUDIOU

FLO,

juste un coucou antalgique

bises

Flo c'est pas parce qu'on est sous baclo, qu'on est jamais malade. Peut-ête ne sont ce pas des EI, mais autre chose qui mériterait un avis médical?

Je ne pense pas Joséphine, parce que comme je l'ai expliqué plus haut :
Bon, bien sûr, je sais que le Baclo a bon dos et que l'on ne peut jamais être sûr de rien d'où la création de mon fil Effets Baclo, ou pas ??? mais...
Il se trouve qu'à l'origine, ces douleurs étaient tout à fait répertoriées dans les ES classiques du Baclo. J'ai lu de très nombreux témoignages là-dessus. Or, mes douleurs actuelles ne sont que l'évolution très progressive des premiers ES. En s'accentuant, elles sont même passées du stade de désagréable au stade d'agréable pour basculer enfin vers le carrément douloureux. Mais je sens bien qu'elles ont le même fil conducteur, que ce sont les mêmes qui se sont transformées.

OK, Si tu veux je te prête Marcel, comme ça, si tu tombes il hurle à la mort jusqu'à ce que les pompiers arrivent.

Coucou FLO,

Comme promis, je suis venue, j'ai lu attentivement ta première page, puis j'ai survolé les suivantes....

Je trouve que tu t'en sors pas mal, je vois que tu souffre, malheureusement je ne peux pas ĂŞtre d'un grand secours, car les ES ou EI, connais pas trop.

Je ne peux te souhaiter que du meilleur et que d'autres t'apportent des solutions ou du soutien.

A bientĂ´t.

Salut Flo.
Tu connais le dicton?
Mains ou pieds froids,coeur chaud!!
Bisous.

Ă  l'aide

j'ai cru lire fil conducteur quelque part (introuvable.. arff)

ne sont-ils pas tous sensés être conducteurs, nos fils

alors voili:

fil conducteur, mais pas trop

Oui oui Hontanette, je reconnais que je m'en sors pas mal.
Y a juste que lĂ , c'est vraiment dur dur.

Joséphine : je ne pense pas quand même en arriver jusqu'à devoir appeler les pompiers.

Merci Nicolas50 et Martha pour vos trésors d'imagination !
(Martha, "fil conducteur" à la dernière ligne de mon post de 13:19. Pas la peine d'aller changer tes lunettes donc)

Coucou ma Flo
Tu en feras ce que tu veux, je ne sais pas à quelle dose tu es, je sais que tu as tenté la descente, mais faire face à tel ES, depuis un bout maintenant, moi je baisserais.

d'une manière ou d'une autre, tu n'as pas atteint le Graal de te débarrasser du verre indésirable, et tu endures des douleurs dues au baclo

Pour la petite histoire, l'année dernière, j'ai eu une infection urinaire banale, je n'ai même pas eu le temps de m'en rendre compte que c'est monté au rein
fièvre, douleurs presque pires qu'une rage de dents, mais là c'était dans le dos

antibio, durant des jours, douleurs et fatigue, j'ai fini par arrĂŞter le baclo, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, je ne buvais mĂŞme plus

Durant 4 mois, sans baclo, je n'ai plus bu une goutte

Ce que je veux dire, c'est que le baclo a aussi une inertie, donc même en le diminuant très fortement, il continue à fonctionner côté boisson

Le tout est de le diminuer pour retrouver une qualité de vie, et de le reprendre dès qu'on voit que ça déraille

Tu en fais ce que tu veux, of course

Kiss

Manue

Oui Manue, c'est ce que je fais en ce moment : je baisse de 5 tous les 3 jours et donc lĂ , je passe Ă  235 demain.

ah ok ma Flo, bien bien

Flo@ Je suis déçu te voir glisser sur la pente douce du Baclo.
Cependant, je serais incapable à ce jour d'accepter autant d'EI pour m'en sortir, je peux donc comprendre ta démarche.
Misons sur le court terme.

De mon coté, pas mieux, je n'arrive pas dépasser les 140mg quelques jours, je dois aussi me laisser glisser vers les 130/120 pour rester présentable le lendemain.
Terrible cette molécule, mais tellement passionnante. J'y crois toujours.
Cependant mon médecin me rappelle à chaque visite de renouvellement que ce traitement n'a rien d’anodin.

A très bientôt.
Fred

Cc FLO,

J'espère qu'en descendant ton dosage tu souffriras moins.
Je suis de tout cœur avec toi.

Bises

Pour l'instant, cette descente amorcée n'a pas eu d'influence sur ma consommation d'alcool, je dirais même que je l'ai diminuée. Mais ça reste à confirmer et je n'hésiterai pas à remonter en cas de besoin.
En revanche, question diminution des ES, à part quelques heures de répit de temps en temps, ce serait plutôt pire.
D'autant que je suis accompagnée du matin au soir par des nausées, ce qui ne m'arrivait que rarement avant et ce qui explique peut-être ma diminution de consommation.

En tout Ă©tat de cause, je reste vigilante et je vous tiens au courant.
Je retourne bientôt chez mon Baclodoc et si pas d'amélioration d'ici là, je lui parlerai du médoc que m'a conseillé Sylvie et que Karine a pris elle aussi.

Merci Ă  vous, Manue, Fred et Sandrine !

J'avoue que ta descente me fait un peu peur, mais bon, pas de retour de boisson, c'est tout bon !

Il s'agit du Thiocolchicoside, j'espère que ce médoc pourra t'aider.

Bonne journée !

Non non Karine, t'inquiète ! Surtout que je suis prête à remonter en cas de dérapage.
Je me demande même si ces nouveaux EI ne sont la conséquence de ma descente, qui reste cependant en pente douce (5 mg tous les 3 jours).

C'est fort possible, essaie peut ĂŞtre de descendre tous les 5 jours

Exact, la descente est plus difficile que la montée pour moi aussi...

Merci les filles !

En attendant de pouvoir vous donner du concret par rapport à mes EI, j'ai déterré un petit texte que j'ai écrit il y a à peine 10 ans sur certains types de cauchemars récurrents, pour ceux qui sont friands comme moi des mises en abyme.
Pour ceux à qui la mise en abyme n'évoque rien, voilà quelques exemples utilisés
- dans la publicité (pour "la vache qui rit" mais il y en a bien d'autres)

- en peinture

- en littérature/BD (Jour de colère du fabuleux Milo Manara)

La mise en abyme m'a toujours fascinée. Toute petite déjà, bien que préférant un bon camembert bien odorant, je rêvais devant les boîtes de Vache qui rit. Une façon pour moi d'entrebâiller les portes de l'infini pour l'entrevoir sans pour autant l'avoir compris...

Il arriva haletant dans une immense pièce aseptisée et entièrement nue. Au sol, des dalles grises. Au plafond, des plaques grises. Aux murs, du gris, toujours du gris… Pas d’autres issues que la porte par laquelle il était entré, pas de fenêtres, mais une lumière froide qui irradiait d’on ne sait où. Peut importe ! Là, il pourrait reprendre son souffle dans un semblant de sécurité, profitant de l’avance qu’il avait sur son poursuivant. Il s’assit…
Le répit fut de courte durée. Bientôt il entendit se rapprocher des pas précipités qui s’arrêtèrent net devant la porte. Puis plus rien... Retenant son souffle, il scruta avec angoisse cette porte que nulle serrure ne tenait inviolable. Il attendit ainsi quelques instants. Rien ne semblait se passer au dehors. C’est alors qu’il perçut un léger frottement et distingua l’enveloppe qu’on venait de lui glisser par la mince fente qui le reliait encore à l’extérieur. Les pas s’éloignèrent enfin, calmement.
Il attendit encore une minute, et, contrariant son manque de courage, se leva à pas de loup et alla se saisir de l’enveloppe. Il la prit d’une main tremblante et retourna s’asseoir pour la décacheter. A l’intérieur, juste quelques lignes tracées d’une écriture impersonnelle. Il lut : « Il arriva haletant dans une immense pièce aseptisée et entièrement nue. Au sol, des dalles grises. Au plafond, des plaques grises. Aux murs, du gris, toujours du gris… Pas d’autres issues que la porte par laquelle il était entré, pas de fenêtres, mais une lumière froide qui irradiait d’on ne sait où. Peut importe ! Là, il pourrait reprendre son souffle dans un semblant de sécurité, profitant de l’avance qu’il avait sur son poursuivant. Il s’assit…
Le répit fut de courte durée. Bientôt il entendit se rapprocher des pas précipités qui s’arrêtèrent net devant la porte. Puis plus rien... Retenant son souffle, il scruta avec angoisse cette porte que nulle serrure ne tenait inviolable. Il attendit ainsi quelques instants. Rien ne semblait se passer au dehors. C’est alors qu’il perçut un léger frottement et distingua l’enveloppe qu’on venait de lui glisser par la mince fente qui le reliait encore à l’extérieur. Les pas s’éloignèrent enfin, calmement.
Il attendit encore une minute, et, contrariant son manque de courage, se leva à pas de loup et alla se saisir de l’enveloppe. Il la prit d’une main tremblante et retourna s’asseoir pour la décacheter. A l’intérieur, juste quelques lignes tracées d’une écriture impersonnelle. Il lut : « Il arriva haletant dans une immense pièce aseptisée et entièrement nue. Au sol, des dalles grises. Au plaf…

As tu déjà envisagé les bénéfices d'une petite lobotomie (lol)

Non non Joséphine !
D'autant que comme il n'y a que mon cerveau qui fonctionne en ce moment, il ne me resterait plus rien.

C'est pas une raison pour lui faire faire des heures supplémentaires à n'en plus finir. Il a besoin de repos lui aussi.

On dirait une nouvelle de Dino Buzzati, je n'ai plus assez de chapeaux pour t"en balancer un de plus

Tiens, une idée, va acheter des aiguilles et une pelote de laine et tricote. Pour une fois que ça ne sera pas du cerveau.

rappelle toi, les anciens ils nous disaient toujours qu'il fallait avoir les mains occupées.