Bonjour,
Tout nouvel inscrit, j'ai néanmoins lu beaucoup de posts sur votre forum et c'est vous qui m'avez décidé a franchir la pas et commencer a me soigner avec le Baclofène.
Je ne bois pas tous les jours mais je connais bien la sensation de craving qui revient tous les quelques jours et je suis incapable de m'arrêter avant de tomber raide si je commence a boire. Voila, il faut donc que ça change, je veux pouvoir aller prendre UN verre avec des collègues ou ma femme au restaurant un jour, c'est le but. Qui plus est, il m'est arrivé plusieurs fois de me retrouver incapable d'arrêter de moi même et de me faire hospitaliser pour être sur de stopper, c'est une perte de contrôle de soi intolérable et je ferais tout pour que cela ne m'arrive plus jamais.
J'habite en Irlande et les médecins sont a peu près tous ignorants de la prescription du Baclofène pour traiter les problèmes d'alcool. Comme je n'ai pas pour l'instant réussi a trouver un médecin pour me prescrire le médicament, je me le suis fait acheter et envoyer depuis un pays d'Europe de l'Est. Je suivrai les différents conseils sur les doses et comment les augmenter/diminuer progressivement contenus dans votre forum.
Donc je commence aujourd'hui a 15mg/j en suivant la posologie préconisé par l'ANSM et je viendrai poster ici mes impressions et j'espère bien, ma réussite.
PS: Mes recherches m'ont conduit a créer une page sur FB pour diffuser les informations sur le Baclofène et alcool en Anglais car la plupart des infos sur le web sont en Français. Si vous cela vous intéresse ou un de vos proches, je viens tout juste de la commencer et je mettrai a jour régulièrement: https://www.facebook.com/BaclofenAlcohol
Dim
EDIT: Bon, je me suis rendu compte que j'avais été un peu bref sur mon parcours vers l'abus d'alcool et ce que j'attend du traitement. Cela ne sera pas forcement intéressant pour les autres donc je le met sur mon "fil". Cela me permet de mettre à plat les raisons qui m'ont poussée à commencer le traitement au Baclofène et me permettra de les relire si jamais la motivation tombe.
1) La genèse: Phobie sociale et alcool relaxant
La phobie est une peur irraisonnée. La phobie sociale est la peur, sans raison, d'avoir à rencontrer, parler, intéragir ou simplement être vu par un être humain. Cela peut sembler ridicule à première vue, comme tout phobie mais malheureusement, peu de traitements sont efficaces pour la soigner et c'est extrêmement handicapant. A moins de vivre en Hermite dans la montagne, les crises d'angoisses dues aux relations sociales sont inévitable, car comment vivre sans rencontrer un seul être humain? Ils sont partout!
Et c'est à ce moment là que je découvris l'alcool comme relaxant. L'alcool est la parfaite mauvaise solution pour lutter contre la phobie sociale. Cela permet de se relaxer un minimum et de diminuer la panique mais les lendemains d'alcool vous rendent encore plus asocial. Deux solutions s'offrent alors a vous:
- Rester chez soi en attendant que le corps récupère mais de toute façon, il faudra se ré-alcooliser avant de franchir le pas de la porte.
- Recommencer a boire pour affronter le quotidien.
J'ai alterné ces deux solutions longtemps.
J'ai bien entendu perdu mon travail, ma copine, mon appartement, fini officiellement SDF même si j'avais la chance d'avoir dans les faits une camionnette J5 pour dormir dedans. 2 ans comme cela puis j'ai perdu mon chomage mais retrouvé un petit appart, créé ma boite pour bosser en télé travail afin d'être sur de ne pas avoir de relations sociales.
En poussant la logique illogique de l'alcool comme mauvaise solution contre la phobie sociale, j'en suis venu à un point ou je refusais toute visite impromptue, n'ouvrant pas la porte, et si je devais visiter quelqu'un, je m'alcoolisais suffisamment avant pour pouvoir affronter l'"épreuve".
Un élément important: je suis musicien et j'ai eu la chance/malheur de faire partie d'un groupe suffisamment connu pour avoir à affronter des concerts devant plusieurs milliers de personnes, d'interminables séances de dédicace et le fait que les gens après ou avant les concerts venaient me voir pour me poser des questions, témoigner leur admiration etc. Heureusement pour moi, il était assez rare qu'on me reconnaisse dans la rue, notre groupe étant célèbre, mais dans une niche.
Toutefois, chaque concert=alcool, dédicace=alcool et tournée prolongée=alcoolisation prolongée.
2) Le point de rupture
Le point de rupture a été atteint en plusieurs étapes mais en quelques mois: Déménagement dans un nouvel appartement. Bien entendu, je "fête" cela de façon complètement immodérée et je me retrouve dans l'angoisse absolue de devoir affronter mes nouveaux voisins. Résultat: alcoolisation permanente pendant 10 jours avec en moyenne plus d'une bouteille de whisky par jour. Au final, me sentant complément perdu et incapable de m'en sortir par moi même, j'appelle les urgences et je finis deux jours entre 4 murs glauques et blancs face à incompréhension hospitalière (ils ne connaissaient même pas la phobie sociale, bref). L'épisode se renouvelle 2 fois, suffisamment pour que je pose la question d'en finir, soit avec la vie, soit avec ma phobie. Je choisis d'en finir avec la phobie. Ce n'est pas le sujet ici donc je ne m’étendrais pas dessus mais j'avais fait de nombreux essais auparavant, sans succès et là, miracle, je trouve LE thérapeute qui me convient et LA méthode: la TCC (Thérapie Comportementale et Cognitive).
En 5 séances, je suis quasiment guéri et je peux sortir de chez moi et avoir une vie quasi normale, sans angoisse et sans alcool, miracle!
Super, donc plus besoin de boire? Eh bien non car l'habitude étant trop ancrée, même avec disparition du problème qui menait à l'alcoolisation, l'alcool reste un élément de ma vie, la guérison de la phobie est arrivée trop tard. Le fait est que mon corps et mon cerveau sont maintenant habitués à de fortes doses et que si je commence à boire, je ne m’arrête que lorsque je suis sur le carreau (au sens propre comme au figuré).
3) Nouvelle vie mais toujours des problèmes avec l'alcool.
Avec la disparition de la phobie sociale, de nouveaux horizons s'ouvrent néanmoins: trouver une copine, un travail etc. J’enchaîne tout cela avec succès et me retrouve à travailler en Entreprise pour la première fois depuis 8 ans et en couple.
Je mène une vie quasi normale, mais le mot quasi est de trop, beaucoup trop. J'arrive à me passer de boire quelques jours sans en souffrir mais au moins une fois par semaine, je commence et ne m’arrête qu'en tombant. Ma copine, devenue ma femme entre temps, et ne m'ayant jamais connu phobique a énormément de mal à comprendre et accepter la situation ce que je peux comprendre. D'autant qu'il lui arrive d'avoir littéralement à me traîner au lit, comme un boulet. Elle essaye de me poser des limites: pas plus de trois bière. Je finis par acheter de l'alcool en cachette pour atteindre ma "dose" tout en donnant l'illusion que je n'ai bu que 3 bières. Solution minable et qui me déplaît profondément et me fait me sentir bas, très bas.
Le problème de ne pas pouvoir boire qu'UN seul verre en est d'autant plus un que une fois par an, je visite ma belle famille en Ukraine où TOUS les jours, mon beau père, porte entre 2 et 4 toast (5 cl de Vodka a chaque fois), le soir, en début de repas. Pas un problème pour lui ou les autres, ils s'en contentent, mais pour moi! Obligé d'acheter de la vodka et de "me finir" en cachette ou de foncer à la cuisine lorsque personne n'y est pour boire au goulot dans les bouteilles disponibles. Une horreur presque quotidienne. Et au bout d'un certain temps, cela ne passe pas inaperçu jusqu’en décembre 2013 où je me vois, honteux, obligé de restituer une bouteille à moitié vidée qui traînais dans un coin et que j’espérais que tout le monde avait oublié: grillé. Le jour suivant, invité dans une fête de famille, extrêmement alcoolisé, je dépasse les bornes (je ne rentrerai pas dans les détails).
Le lendemain, ma femme, excédée, me raconte la veille car je ne me rappelle de rien. J'en viens à la conclusion logique que l'alcool et moi, c'est fini, plus le choix vu que je peux avoir un comportement complètement inapproprié sans en être conscient ou même m'en rappeler le lendemain.
S'ensuivent 7 mois sans alcool, une libération? Non, une véritable horreur. Je pensais me libérer, je m'enferme dans un schéma malsain ou je me retrouve avec beaucoup plus envie de boire qu'auparavant a cause très certainement de la frustration et de mon corps et de mon esprit qui réclament leur dose. Bref, au bout de 7 mois, excédé et au bord de la rupture, à la fois de mes nerfs et de mon couple, je m'offre une alcoolisation et je reprend comme avant, une fois par semaine, plus ou moins. Sauf que maintenant, moins frustré, le problème est de retour et j’appréhende grandement le prochaine voyage en Ukraine, une sortie où l'on boit, etc.
4) Sauter le pas: le Baclofène
Bref, il est temps de sauter le pas et je me rappelle de ce médecin et de son traitement expérimental en France, je recherche, je trouve, lis beaucoup, prend du temps à me décider, et me voila. Nouveau sur le forum, au troisième jour de traitement et plein d'espoir... Et pas facile non plus car comme je l'expliquais en début de ce fil, j'habite en Irlande où ils n'ont à priori jamais entendu parler du Baclofène comme solution au problème de l'alcool et je dois donc pour l'instant me faire envoyer les comprimés d'Ukraine où ils sont disponible sans prescription et me traiter sans suivi d'un médecin.
A suivre...
Message édité 3 fois, dernière édition par DimIrlande, 12 Avril 2015, 18:01
Tout nouvel inscrit, j'ai néanmoins lu beaucoup de posts sur votre forum et c'est vous qui m'avez décidé a franchir la pas et commencer a me soigner avec le Baclofène.
Je ne bois pas tous les jours mais je connais bien la sensation de craving qui revient tous les quelques jours et je suis incapable de m'arrêter avant de tomber raide si je commence a boire. Voila, il faut donc que ça change, je veux pouvoir aller prendre UN verre avec des collègues ou ma femme au restaurant un jour, c'est le but. Qui plus est, il m'est arrivé plusieurs fois de me retrouver incapable d'arrêter de moi même et de me faire hospitaliser pour être sur de stopper, c'est une perte de contrôle de soi intolérable et je ferais tout pour que cela ne m'arrive plus jamais.
J'habite en Irlande et les médecins sont a peu près tous ignorants de la prescription du Baclofène pour traiter les problèmes d'alcool. Comme je n'ai pas pour l'instant réussi a trouver un médecin pour me prescrire le médicament, je me le suis fait acheter et envoyer depuis un pays d'Europe de l'Est. Je suivrai les différents conseils sur les doses et comment les augmenter/diminuer progressivement contenus dans votre forum.
Donc je commence aujourd'hui a 15mg/j en suivant la posologie préconisé par l'ANSM et je viendrai poster ici mes impressions et j'espère bien, ma réussite.
PS: Mes recherches m'ont conduit a créer une page sur FB pour diffuser les informations sur le Baclofène et alcool en Anglais car la plupart des infos sur le web sont en Français. Si vous cela vous intéresse ou un de vos proches, je viens tout juste de la commencer et je mettrai a jour régulièrement: https://www.facebook.com/BaclofenAlcohol
Dim
EDIT: Bon, je me suis rendu compte que j'avais été un peu bref sur mon parcours vers l'abus d'alcool et ce que j'attend du traitement. Cela ne sera pas forcement intéressant pour les autres donc je le met sur mon "fil". Cela me permet de mettre à plat les raisons qui m'ont poussée à commencer le traitement au Baclofène et me permettra de les relire si jamais la motivation tombe.
1) La genèse: Phobie sociale et alcool relaxant
La phobie est une peur irraisonnée. La phobie sociale est la peur, sans raison, d'avoir à rencontrer, parler, intéragir ou simplement être vu par un être humain. Cela peut sembler ridicule à première vue, comme tout phobie mais malheureusement, peu de traitements sont efficaces pour la soigner et c'est extrêmement handicapant. A moins de vivre en Hermite dans la montagne, les crises d'angoisses dues aux relations sociales sont inévitable, car comment vivre sans rencontrer un seul être humain? Ils sont partout!
Et c'est à ce moment là que je découvris l'alcool comme relaxant. L'alcool est la parfaite mauvaise solution pour lutter contre la phobie sociale. Cela permet de se relaxer un minimum et de diminuer la panique mais les lendemains d'alcool vous rendent encore plus asocial. Deux solutions s'offrent alors a vous:
- Rester chez soi en attendant que le corps récupère mais de toute façon, il faudra se ré-alcooliser avant de franchir le pas de la porte.
- Recommencer a boire pour affronter le quotidien.
J'ai alterné ces deux solutions longtemps.
J'ai bien entendu perdu mon travail, ma copine, mon appartement, fini officiellement SDF même si j'avais la chance d'avoir dans les faits une camionnette J5 pour dormir dedans. 2 ans comme cela puis j'ai perdu mon chomage mais retrouvé un petit appart, créé ma boite pour bosser en télé travail afin d'être sur de ne pas avoir de relations sociales.
En poussant la logique illogique de l'alcool comme mauvaise solution contre la phobie sociale, j'en suis venu à un point ou je refusais toute visite impromptue, n'ouvrant pas la porte, et si je devais visiter quelqu'un, je m'alcoolisais suffisamment avant pour pouvoir affronter l'"épreuve".
Un élément important: je suis musicien et j'ai eu la chance/malheur de faire partie d'un groupe suffisamment connu pour avoir à affronter des concerts devant plusieurs milliers de personnes, d'interminables séances de dédicace et le fait que les gens après ou avant les concerts venaient me voir pour me poser des questions, témoigner leur admiration etc. Heureusement pour moi, il était assez rare qu'on me reconnaisse dans la rue, notre groupe étant célèbre, mais dans une niche.
Toutefois, chaque concert=alcool, dédicace=alcool et tournée prolongée=alcoolisation prolongée.
2) Le point de rupture
Le point de rupture a été atteint en plusieurs étapes mais en quelques mois: Déménagement dans un nouvel appartement. Bien entendu, je "fête" cela de façon complètement immodérée et je me retrouve dans l'angoisse absolue de devoir affronter mes nouveaux voisins. Résultat: alcoolisation permanente pendant 10 jours avec en moyenne plus d'une bouteille de whisky par jour. Au final, me sentant complément perdu et incapable de m'en sortir par moi même, j'appelle les urgences et je finis deux jours entre 4 murs glauques et blancs face à incompréhension hospitalière (ils ne connaissaient même pas la phobie sociale, bref). L'épisode se renouvelle 2 fois, suffisamment pour que je pose la question d'en finir, soit avec la vie, soit avec ma phobie. Je choisis d'en finir avec la phobie. Ce n'est pas le sujet ici donc je ne m’étendrais pas dessus mais j'avais fait de nombreux essais auparavant, sans succès et là, miracle, je trouve LE thérapeute qui me convient et LA méthode: la TCC (Thérapie Comportementale et Cognitive).
En 5 séances, je suis quasiment guéri et je peux sortir de chez moi et avoir une vie quasi normale, sans angoisse et sans alcool, miracle!
Super, donc plus besoin de boire? Eh bien non car l'habitude étant trop ancrée, même avec disparition du problème qui menait à l'alcoolisation, l'alcool reste un élément de ma vie, la guérison de la phobie est arrivée trop tard. Le fait est que mon corps et mon cerveau sont maintenant habitués à de fortes doses et que si je commence à boire, je ne m’arrête que lorsque je suis sur le carreau (au sens propre comme au figuré).
3) Nouvelle vie mais toujours des problèmes avec l'alcool.
Avec la disparition de la phobie sociale, de nouveaux horizons s'ouvrent néanmoins: trouver une copine, un travail etc. J’enchaîne tout cela avec succès et me retrouve à travailler en Entreprise pour la première fois depuis 8 ans et en couple.
Je mène une vie quasi normale, mais le mot quasi est de trop, beaucoup trop. J'arrive à me passer de boire quelques jours sans en souffrir mais au moins une fois par semaine, je commence et ne m’arrête qu'en tombant. Ma copine, devenue ma femme entre temps, et ne m'ayant jamais connu phobique a énormément de mal à comprendre et accepter la situation ce que je peux comprendre. D'autant qu'il lui arrive d'avoir littéralement à me traîner au lit, comme un boulet. Elle essaye de me poser des limites: pas plus de trois bière. Je finis par acheter de l'alcool en cachette pour atteindre ma "dose" tout en donnant l'illusion que je n'ai bu que 3 bières. Solution minable et qui me déplaît profondément et me fait me sentir bas, très bas.
Le problème de ne pas pouvoir boire qu'UN seul verre en est d'autant plus un que une fois par an, je visite ma belle famille en Ukraine où TOUS les jours, mon beau père, porte entre 2 et 4 toast (5 cl de Vodka a chaque fois), le soir, en début de repas. Pas un problème pour lui ou les autres, ils s'en contentent, mais pour moi! Obligé d'acheter de la vodka et de "me finir" en cachette ou de foncer à la cuisine lorsque personne n'y est pour boire au goulot dans les bouteilles disponibles. Une horreur presque quotidienne. Et au bout d'un certain temps, cela ne passe pas inaperçu jusqu’en décembre 2013 où je me vois, honteux, obligé de restituer une bouteille à moitié vidée qui traînais dans un coin et que j’espérais que tout le monde avait oublié: grillé. Le jour suivant, invité dans une fête de famille, extrêmement alcoolisé, je dépasse les bornes (je ne rentrerai pas dans les détails).
Le lendemain, ma femme, excédée, me raconte la veille car je ne me rappelle de rien. J'en viens à la conclusion logique que l'alcool et moi, c'est fini, plus le choix vu que je peux avoir un comportement complètement inapproprié sans en être conscient ou même m'en rappeler le lendemain.
S'ensuivent 7 mois sans alcool, une libération? Non, une véritable horreur. Je pensais me libérer, je m'enferme dans un schéma malsain ou je me retrouve avec beaucoup plus envie de boire qu'auparavant a cause très certainement de la frustration et de mon corps et de mon esprit qui réclament leur dose. Bref, au bout de 7 mois, excédé et au bord de la rupture, à la fois de mes nerfs et de mon couple, je m'offre une alcoolisation et je reprend comme avant, une fois par semaine, plus ou moins. Sauf que maintenant, moins frustré, le problème est de retour et j’appréhende grandement le prochaine voyage en Ukraine, une sortie où l'on boit, etc.
4) Sauter le pas: le Baclofène
Bref, il est temps de sauter le pas et je me rappelle de ce médecin et de son traitement expérimental en France, je recherche, je trouve, lis beaucoup, prend du temps à me décider, et me voila. Nouveau sur le forum, au troisième jour de traitement et plein d'espoir... Et pas facile non plus car comme je l'expliquais en début de ce fil, j'habite en Irlande où ils n'ont à priori jamais entendu parler du Baclofène comme solution au problème de l'alcool et je dois donc pour l'instant me faire envoyer les comprimés d'Ukraine où ils sont disponible sans prescription et me traiter sans suivi d'un médecin.
A suivre...
Début du traitement le 06/12/2014
Indifférence au bout de trois mois a 200mg/j. En phase de réduction: 175mg/j avec ciblage le soir mais petites doses en journée pour éviter l'effet "manque de Baclo"
Indifférence au bout de trois mois a 200mg/j. En phase de réduction: 175mg/j avec ciblage le soir mais petites doses en journée pour éviter l'effet "manque de Baclo"