Reprise du dernier message
Bien bien bien,
Je crois que je vais vous soulez, donc n'hésitez pas à zapper.
Voici un texte que j'ai écrit à l'âge de 25 ans.
Je ne l'ai jamais montré, même mes enfants n'en connaissent pas l'existence.
Aujourd'hui, c'est l'heure, le lieu et le moment pour moi de le mettre ici.
Je n'ai pas corrigé, c'est du brut.
Peut être vais le réactualiser car cette quête s’accélère en ce moment et que je peux affiner.
Donc voici :
J'ai fait beaucoup de place
en allégeant mon corps
J'ai veillé, surtout
à nourrir mon esprit
le corps ploie sois la tête
les yeux au ras du sol, ne voient rien.
Rien de plus que,
lorsque le corps tendu sur des jambes solides,
la tête légère tournée vers les cieux.
Le regard, aveuglé par le soleil,
les yeux ne voyaient rien non plus.
Découragé, de ne jamais rien voir,
espérant malgré tout, qu'il y avait à voir,
j'ai regardé en haut,
j'ai regardé en bas,
je ne vois toujours rien
mais je garde l'espoir.
Corps solide ou tête pleine,
même résultat.
D'avoir gardé ongtemps les yeux ouverts,
mes paupières rougies se font lourdent et se ferment.
Sans regret, j'abandonne la lumière
qui m'ayant aveuglée ne m'a pas éclairée.
J'entre dans les ténèbres,
serein de n'avoir rien manqué.
Peut-être, dans ce moi,
tout fait d'obscurité,
une lueur se dévoilera
que j'ai toujours cherchée.
Depuis combien de temps, je scrute l'obscurité,
avant qu'enfin, elle veille bien se montrer.
Elle est là , je la vois, toute petite,
a l'intérieur de moi, dans l'obscurité de mon être.
Je me cache bien, pour qu'elle remplisse chaque recoin,
et, lorsque, poussée dans l'ultime cachette,
son halo grandissant m'enveloppe, me pénètre,
c'est un boulversement de découvri mon âme.
JE SUIS UN
Baignant dans la sagesse.
Alors, je retourne sur les lieux de ma quête,
je campe solidement mes jambes sur le sol
et tourne ma tête vers les cieux.
Le soleil, aux rayons tamisés,
dévoile sans crainte sa vraie identité,
et je suis le soleil et le soleil est moi,
c'est à dire tout et rien, car UN,
PRINCIPE SOUVERAIN
Je mets ma tête au sol et je vois,
je vois des particules solidaires
qui s'unissent pour porter l'être humain,
et sont foulées aux pieds par un troupeau d'aveugles.
Je me particularise et me solidarise,
je suis toutes ces particules
et je ne suis rien,
soumis avec bonheur au principe souverain :
TOUT ES UN
Dans le même temps, je regarde mes frêres.
Les paupières fatiguées sur des cornées époaisses,
qui ne laissent pénétrer qu'une lumière opaque.
Mes frêres, si sûrs de votre vision,
vous vivez dans l'illusion.
J'ai envie de vous dire :
-"j'ai fais une grand voyage",
vous me prendriez pour un fou
je n'ai pas changé de place.
J'ai envie de vous dire :
"on peut regarder le soleil en face sans se brûler les yeux"
Vous crieriez "A l'assassin"
Donc je ne dis rien,
si vous le désirez, je vous prendrais la main.
Si vous ne voulez rien, alors à demain,
car j'ai confiance en nous, je connais le PRINCIPE SOUVERAIN :
TOUT EST UN
Je crois que je vais vous soulez, donc n'hésitez pas à zapper.
Voici un texte que j'ai écrit à l'âge de 25 ans.
Je ne l'ai jamais montré, même mes enfants n'en connaissent pas l'existence.
Aujourd'hui, c'est l'heure, le lieu et le moment pour moi de le mettre ici.
Je n'ai pas corrigé, c'est du brut.
Peut être vais le réactualiser car cette quête s’accélère en ce moment et que je peux affiner.
Donc voici :
J'ai fait beaucoup de place
en allégeant mon corps
J'ai veillé, surtout
à nourrir mon esprit
le corps ploie sois la tête
les yeux au ras du sol, ne voient rien.
Rien de plus que,
lorsque le corps tendu sur des jambes solides,
la tête légère tournée vers les cieux.
Le regard, aveuglé par le soleil,
les yeux ne voyaient rien non plus.
Découragé, de ne jamais rien voir,
espérant malgré tout, qu'il y avait à voir,
j'ai regardé en haut,
j'ai regardé en bas,
je ne vois toujours rien
mais je garde l'espoir.
Corps solide ou tête pleine,
même résultat.
D'avoir gardé ongtemps les yeux ouverts,
mes paupières rougies se font lourdent et se ferment.
Sans regret, j'abandonne la lumière
qui m'ayant aveuglée ne m'a pas éclairée.
J'entre dans les ténèbres,
serein de n'avoir rien manqué.
Peut-être, dans ce moi,
tout fait d'obscurité,
une lueur se dévoilera
que j'ai toujours cherchée.
Depuis combien de temps, je scrute l'obscurité,
avant qu'enfin, elle veille bien se montrer.
Elle est là , je la vois, toute petite,
a l'intérieur de moi, dans l'obscurité de mon être.
Je me cache bien, pour qu'elle remplisse chaque recoin,
et, lorsque, poussée dans l'ultime cachette,
son halo grandissant m'enveloppe, me pénètre,
c'est un boulversement de découvri mon âme.
JE SUIS UN
Baignant dans la sagesse.
Alors, je retourne sur les lieux de ma quête,
je campe solidement mes jambes sur le sol
et tourne ma tête vers les cieux.
Le soleil, aux rayons tamisés,
dévoile sans crainte sa vraie identité,
et je suis le soleil et le soleil est moi,
c'est à dire tout et rien, car UN,
PRINCIPE SOUVERAIN
Je mets ma tête au sol et je vois,
je vois des particules solidaires
qui s'unissent pour porter l'être humain,
et sont foulées aux pieds par un troupeau d'aveugles.
Je me particularise et me solidarise,
je suis toutes ces particules
et je ne suis rien,
soumis avec bonheur au principe souverain :
TOUT ES UN
Dans le même temps, je regarde mes frêres.
Les paupières fatiguées sur des cornées époaisses,
qui ne laissent pénétrer qu'une lumière opaque.
Mes frêres, si sûrs de votre vision,
vous vivez dans l'illusion.
J'ai envie de vous dire :
-"j'ai fais une grand voyage",
vous me prendriez pour un fou
je n'ai pas changé de place.
J'ai envie de vous dire :
"on peut regarder le soleil en face sans se brûler les yeux"
Vous crieriez "A l'assassin"
Donc je ne dis rien,
si vous le désirez, je vous prendrais la main.
Si vous ne voulez rien, alors à demain,
car j'ai confiance en nous, je connais le PRINCIPE SOUVERAIN :
TOUT EST UN
début du TT le 07/12/2014 indifférente le 06/02/2015 à 120 mg descente le 01/06/2015 100MG
"celui qui attend que tout danger soit écarté pour mettre les voiles, ne prendra jamais la mer"
Thomas FULLER
Echangeons nos recettes de cuisine
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