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baclofene : la violence comme effet secondaire ???

Hors ligne aea
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 20:48
Bonjour,&lt;br /&gt;Voila cela fait quelques mois que je viens m'informer régulièrement sur le site et j'ai fini par me décider à m'y inscrire pour avoir votre avis. &lt;br /&gt;J'ai rencontrer un homme merveilleux, charmant, attentionné et agréable à vivre, il y a maintenant 2 ans. Tout est allé très vite, nous sommes partis en vacances ensemble puis à notre retour nous avons décidé de nous installer ensemble. Tout se passait très bien. Je me suis rendue compte au bout de quelques mois d'une attirance pour l'alcool. Nous en avons parlé d'abord difficilement puis plus librement car il avait la ferme volonté de se sortir de cette dépendance. Les mois suivant se sont passés avec des hauts et des bas. L'alcool était selon les périodes présents quotidiennement toujours le soir jamais en journée avec son lot de désagréments. Le reste du temps il est resté quelqu'un d'attentionné, tendre et passionné. Et puis un jour, pour lui, pour moi, pour nous il a décidé de dire stoppe. D'arrêter l'alcool. Cet arrêt a duré 1 mois. J'étais heureuse de cette décision, de cette nouvelle vie, nous en discutions souvent ; sans que je me rende réellement compte de la difficulté puis lui de dire non chaque jour. Et puis, la chute est arrivée avec une consommation plus importante régulière et toujours uniquement en fin d'après-midi et soirée. Cette période a été difficile à vivre et tendue. J'ai eu l'impression de vivre quelques fois avec 2 personnes différentes. Celle de la journée tendre, attentive, agréable et celle du soir fermée, cherchant les histoires et le conflit. C'est alors que nous sommes tombés sur un article parlant du baclofène. L'évidence s'est imposée : trouver un médecin prescrpteur et commencer le traitement ; ce qu'il a fait, plein d'envie, plein d'espoir. Je l'ai soutenu, écouté. J'ai été présente lors de l'augmentation des doses, les soirées n'ont pas été toujours faciles loin de là, mais j'avais compris que c'était une étape pour aller vers une vie meilleur pour lui, pour nous. Pendant son traitement au baclofène, il a continué à consommer de l'alcool ; puis avec l'augmentation des doses, la consommation d'alcool a commencé à diminuer. C'était encourageant. Il était à 120mg. <br />Et puis, un soir l'enfer. Un soirée de printemps qui a commencé comme tant d'autres, un apéro sur entre nous sur la terrasse. Est ce que la consommation a été trop rapide, trop importante, est ce du fait de la prise du traitement ? Je ne sais pas. Mais j'en senti que ca dérapais, il cherchais les histoires, le ton est monté jusqu'à ce que je me prenne un coup de tête et qu'il devienne très énervé, incohérent. Tout est allé tellement vite. J'ai très peur, il y a eu des dégradations à la maison et le black-out sur une bonne partie de la soirée. Il a quitté la maison un temps en me jurant que ca n'arriverai plus, qu'il avait du consommé trop rapidement qu'il m'aimait plus que tout et que ca ne se reproduirait plus. Il a augmenté son traitement. Nous avons beaucoup discuté et avons repris la vie commune. Aussi dur que ca peut être pour une personne malade, je le sais, j'ai dit ok, mais plus une seule consommation d'alcool. Il a en même temps augmenté les doses de baclofene pour arriver à 180 mg. Et puis quelques semaines plus tard, le ton monte a nouveau alors qu'il avait consommé de l'alcool. Et là à nouveau violence physique. Je lui est demandé de quitter la maison, il ne voulait pas. Il est parti, j'ai eu des menaces de mort pendant des jours, la justice s'en est mélée, malgré tout mon amour ca devenait impossible, il fallait que je me protège. Aujourd'hui, il me dit qu'il m'aime plus que tout au monde. Il me dit que c'est le baclofene qui lui a fait perdre la tête. <br />Dans tout ce que j'ai pu lire sur le traitement au baclofene, je n'ai jamais rien lu sur des troubles du comportement. J'aimerai avoir vos avis, vos témoignages. Est ce que ca fait parti des risques, des effets secondaires ? Est ce que le baclofene peut êre responsable de tels actes ??<br />Merci de votre aide et de vos réponses.
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 21:11
Bonsoir et bienvenue parmi nous !...

Franchement, j'ai subi les effets secondaires du baclofène à l'extrême (malheureusement !), surtout entre 150 et 200 mg, j'ai connu des délires psy, confusions mentales, troubles comportementaux et moultes autres symptômes infernaux, mais franchement jamais aucun désir de violence vis à vis d'autrui, c'était essentiellement centré sur moi...

Attendons les témoignages des copains du site.

Amitié. Mimi


"Je n'accuse personne, je n'excuse rien, je réfléchis au sens de tout cela..."(F. Dolto)
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 21:12
bonsoir aea et bienvenue chez nous
la violence conjugale est en effet quelque chose d'inadmissible, l'alcool emmène effectivement certaine personne à celà, mois ce fut de la violence verbale seulement, je suis marié et mon épouse est dépressive à cause de mes addictions, aujourd'hui à 160 mg les effets commencent à être positif. En tous cas le baclofène à certe chez certains
sujets des effets physiologique indésirables mais pas celui d'être violent, par contre l'acool rend con, il faut savoir que si l'on attend tout du baclo sans faire d'efforts, et en s'alcoolisant plus croyant que tout va s'arrêter tout seul on a perdu d'avance. Ce n'est que la forte alcoolisation qui à rendu ton conjoint agressif, s'il vaut guérir, il faut qu'il sache s'abstenir un peu de boire, et se lancer des défi du style un soir sans boire, une bière, deux, mais pas trois et évoluer doucement avec le baclo, mes addictions sont très lourdes (alcool fort, benzo en forte quantité et un sirop pour les bronches à base d'alcool 34° de codéine terpine et dérivés morphinique etc)
S'il veut te reconquérir et si tu le souhaite encore, il faut qu'il suive les bon conseils à la lettre, baclo oui mais volonté aussi, chez moi ça à l'air de fonctionner, je ne prends plus de sirop, avant jusqu'à 6 flacon jou soit 1 litre et demi une vrai tuerie ce sirop s'appelle terpine gonnon, plus que 20mg de valium jour alors qu'avant 1 bte de 30 loxomil jour ne me gènait pas, et tès peu d'alcool depuis peu peut être mais quand même, aujourd'hui, je suis au quatrième jour alcool zero.
Voilà ici on peut t'aider (on se tutoie ici) alors n'hésite pas, à répondre à ce message, et plein de personne vont t'aider sur ce forum.
J'espère l'avoir fait un peu.
Amicalement Christophe


HONTE AUX MEDECINS QUI REFUSENT DE PRESCRIRE LE BACLOFENE

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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 21:22
Bonsoir aea,

Je rejoins les autres, très peu de chances que sa violence soit imputable au baclo. Certainement une alcoolisation excessive + un pb plus ancien.

Amicalement.


Catherine
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 21:36
Merci pour vos témoignages rapides. &lt;br /&gt;Il a aujourd'hui arreté le baclofène et est sur que c'est le traitement qui lui a fait faire tout ca. Il me dit que le psychiatre qu'il a consulté lui a dit qu'il avait deja vu ce genre d'effet secondaire. Moi, malgre tout ce que j'ai lu je n'ai jamais entendu parlé de violence.
Sans consommation d'alcool, depuis maintenant 15 jours il me dit ressentir aucun manque. Je ne sais que croire...
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 21:43
C'est j'espère vrai, pensez positif tous les deux, le balo la volonté, la volonté de revivre et de réaprecier la vie, qui doit être belle.
Christophe


HONTE AUX MEDECINS QUI REFUSENT DE PRESCRIRE LE BACLOFENE

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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 21:51
J'ai tellement envie d'y croire mais la violence physique est quelque chose de terrifiant et inacceptable. La dernière fois, je me suis demandée comment j'allais me sortir de là. J'ai eu très peur. <br />Est ce qu'on peut ne ressentir aucun manque au bout de 15 jours quand on a eu une consommation d'alcool quotidienne ?
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 22:11
c'est peut être possible, mais attention quand même, il est vrai que la violence conjuguale physique est inadmissible, c'est à toi de savoir si vous vous aimez encore, mais celà ne me regarde pas, juste un conseil, prends du recul et du temps pour voir si l'abstinence ou la semi abstinence va durer et est réele.
c'est juste un conseil amicale, je parle comme je ressent à prendre ou pas
amicalement christophe


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Guéri depuis le 29 juillet 2011
 
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Avatar de marco
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 22:25
salutatous
salut aea.
la baclo amplifie tout...absolument tout. les preuves sont sous nos yeux.
a vous de voir.
arrête pas le traitement comme ça mec.
ben on lache rien ?


va savoir
 
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Avatar de Vénus
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 22:48
Bonsoir aea,

Pas facile de répondre à ta question. Ton témoignage me touche car je suis également conjointe. Je me suis retrouvée dans "l'avant baclo" et dans "l'accompagnement" que tu décris dans ton post, mais la violence, je n'ai jamais connu, avec ou sans alcool, avec ou sans baclo.

Personnellement, je pense que si violence il y a, elle n'est pas due au baclofène mais à l'alcool. Est-ce un mélange des deux ? Je n'en sais rien... Je n'ai jamais lu ou entendu parler d'un "effet secondaire" de ce type.

Tu ne nous as pas dit : il n'avait jamais été violent avant ? même alcoolisé ?

J'aurais éventuellement une autre question à te poser : est-ce qu'il a été victime de confusions mentales pendant son traitement ?

Maintenant, ton ami a arrêté de boire, sans baclo... attends donc de voir... mais je comprends ta peur. Il va falloir reprendre confiance, si tu en as envie naturellement. Prends soin de toi quand même...

Bon courage et n'hésite pas à nous tenir au courant.
Avec tout mon soutien
Vénus
Message édité 2 fois, dernière édition par Vénus, 25 Juin 2011, 22:49  
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 23:31
Pour répondre à vos 2 derniers posts : &lt;br /&gt;il a arrêté le baclofene depuis 1 mois suite à une hospitalisation, puis arret de l'alcool il y a 15 jours, sans manque aujourd'hui dit-il alors qu'avant il me parait de ce ressenti de craving.<br />En effet, quand il prenait du baclofène il y a eu au debut et lors des augmentations de doses, des moments de somnolence avec endormissement et réveil en sursaut un peu désorienté, des rêves un peu bizarres, ce que tu peux appeler des confusions mentales. Mais toujours et uniquement le soir, jamais en journée.
 
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  Lien vers ce message 25 Juin 2011, 23:48
re
la somnolence est un des effets secondaires, celui ci s'estompe rapidement, attention les cures et l'abstinence totale sont souvent suivies de rechutes importantes, je connais, s'il est réellement abstinent, un conseil c'est bien, alors qu'il réfléchisse à reprendre du baclo car pas de cravings suite à une cure d'abstinence total traité souvent avec des anxios ad et aotal (tic tac) je n'y crois pas (ceci n'engage que moi)je parle en connaissance de cause mais prendre du baclo avec l'abstinence existante est un gage de réussite
courage à toi courage
christophe
Message édité 1 fois, dernière édition par cribel0, 25 Juin 2011, 23:50  

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  Lien vers ce message 26 Juin 2011, 1:33
Bonsoir tout le monde, si je peux me permettre mon humble témoigange pour toi Area, en ce qui me concerne j'était plutot tendre, calin, et jamais violent, et depuis le baclo 3 mois, commencé fin mars, j'ai vu un changement, dans mon alcoolisation retardé dans la journée bien sur c'est pas encore ça,, mais par contre une certaine violence verbale, mais jamais de violence, violence n'est peut être pas le mot, violence physique j'entend ,jamais jen'ai jamis porté la main sur une femme, mais par contre un esprit de contradiction, oui, je veux imposer mon avis a ceux avec qui je converse, je m'emporte après coup, et je me dis il faut que je me calme, donc le lendemain, d'alleurs certains en ont fait les frais sur le forum, ils se reconnaitront, je fais attention et puis au long des discussions avec les gens ça reprends le dessus, et je ne peux controler cet état, et encore une fois je me dis j'ai encore déconné, alors que ce je n'étais pas comme ça avant, alors baclo ou pas, pour moi oui..mais chacun réagis différent avec le baclo, je raconte tout ces effets secondaires sur mon fil..et pasplus tard que ce matin..et sur les somnolences et le sommeil
Ceci dit oui il faut du courage pour vivre avec malade alcoolique mon amie en fait les frais, et moi aussi malheureusement, elle a régis un peu comme toi, et a baissé les bras au bout de 15 ans, et est partie et aujourd'hui je regrette tellement, c'est ce qui risque de lui arriver, alors aide le tant que tu peux..avec beaucoup de courage et de patience...et d'amour, mais l'amour efait pas tout, j'en sais qq chose..
Message édité 5 fois, dernière édition par fricot, 26 Juin 2011, 2:48  

"Tu noies tes chagrins dans l'alcool ? Méfie-toi, ils savent nager."
 
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Avatar de Sylvie
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  Lien vers ce message 26 Juin 2011, 8:45
Bonjour aea,

Concernant la violence, je n'ai aucune idée du rapport ou pas avec le baclofène.
Concernant le fait que ton ami ne ressente pas le manque suite à son arrêt d'alcool, cela est peut être du au baclofène qui a semble t-il un effet retard.
C'est à dire qu'il semble agir encore un certain temps après l'arrêt.

Il est délicat dans ce cas de conseiller quelque chose, il me semble qu'à plus ou moins long terme, sans baclofène, il risque de replonger.
Donc peut être devrait il reprendre du baclofène tout doucement et sans doute en ne montant pas jusqu'à 180mg


Merci mille fois à celui qui a eu la générosité de partager sa découverte avec nous ...

A lire pour comprendre ce qu'est le baclofène.
Notre livre Baclofène la fin de notre addiction, les alcooliques ne sont plus anonymes ....
 
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  Lien vers ce message 26 Juin 2011, 10:33
Encore une fois merci pour vos réponses et témoignages.
Si quelqu'un connait ou a vécu un lien entre "alcool et violence" ou entre "alcool, violence et baclofene" ne pas hésiter à poster.
 
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  Lien vers ce message 27 Juin 2011, 7:13
J'ai souvent eu l'impression dans ce que j'ai lu qu'il se passait des "choses" importantes au alentour des 180 Mg. Veux tu aussi parler a ce stade d'un changement de comportement possible ?<br />Penses tu que ce changement soi du au baclofene ou a l'alcool ?<br />La violence physique reste pour moi dans tous les cas inacceptable.
 
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  Lien vers ce message 27 Juin 2011, 7:28
Faut il etre fataliste avec la violence physique ? Et se dire que si elle a été elle sera ?
 
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  Lien vers ce message 27 Juin 2011, 17:31
Mon avis ne va pas te faire plaisir... mais ayant subit à plusieurs reprises la violence physique de plusieurs hommes, je suis persuadée que ces attitudes sont absolument indépendantes de l'alcoolisation ou la prise de baclo. Si un homme lève la main sur une femme, c'est qu'il a un problème en amont, très complexe et difficile à résoudre. Dans ce cas, je préfère m'éloigner doucement...

Amitié. Mimi


"Je n'accuse personne, je n'excuse rien, je réfléchis au sens de tout cela..."(F. Dolto)
 
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  Lien vers ce message 27 Juin 2011, 19:22
Je lis tous les messages avec attention, qu'ils me fassent plaisir ou pas ... je suis venus ici chercher des avis, des témoignages. <br />J'entends ce que tu me dis, mais ce que j'ai vécu s'est produit de manière un peu différente à deux reprises mais toujours alors qu'il était alcoolisé. En dehors de ces "épisodes", c'est quelqu'un qui n'est absolument pas violent. Je n'ai jamais eu de doute la dessus. <br />Je reste à l'écoute de vos questions, vos témoignages de "victimes" mais également de personnes qui serait passer à l'acte. <br />Je cherche finalement à comprendre.
 
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  Lien vers ce message 27 Juin 2011, 22:01
Les hommes dont je te parle n'étaient pas alcooliques. En effet, il parait que l'alcool rend certains méchants, mais pas le baclofène, j'en suis sûre. Je laisse les copains te répondre, et pourquoi pas demander leur avis aux AA, en appel anonyme... A+ Mi


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  Lien vers ce message 27 Juin 2011, 23:15
Bonsoir,
Mi synthétise certaines choses avec justesse. Il n'y a pas matière, pour moi, à développer pour le moment.
Mais quelqu'un de très proche m'a beaucoup parlé de l'évolution d'une situation de violence s'instaurant de façon récurrente.
Des moments d'une tension extrême qui laisse lieu à des scènes terribles pour tout le monde.
Et si l'alcool est le vecteur de la volonté d'agression, il est simple d'y remédier. Celle-ci révélé chez quelqu'un qui ne connais aucun symptôme d'addiction, aucun effet de substance, m'inquiète beaucoup plus.
Bonne soirée


"L'empathie est une vertu publique obligée alors que l'indifférence est un vice privé."
Jean-Luc Dion
 
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  Lien vers ce message 07 Juillet 2011, 1:21
BONSOIR !
je viens de me marier avec un super gentil garçon alcoolique depuis 13 ans, et lorsqu'il boit ,il n'est jamais violent mais au contraire, attendrissant, collant comme un chewing gum et je pense que l'alcool révèle la personalité la plus profonde de l'Homme. Il a rdv chez la psy pour sa premiere prescription de baclo, le 21 juillet. Et la, vous me faites tous un peu peur, va t il devenir violent ????? par pitié, j'espère que non. Moi je vais commencer si tout va bien le baclo pour ma boulimie, si je deviens violente aussi, le divorce pourrait être rapide! RASSUREZ MOI SVP


Je vous propose de venir voir ce groupe Facebook que j'ai créé sur notre maladie et qui intègre en plus du médicament, la notion de naturopathie."Boulimie, Hyperphagie,Addiction, Naturopathie ET Allopathie"
 
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  Lien vers ce message 07 Juillet 2011, 9:24
Bonjour Siréne,

Si tu as regardé les réponses, je pense qu'elles vont toutes à peu près dans le m^me sens. C'est l'alcool qui rend violent, pas le baclofène. Au pire, on va dire que baclofène et alcool ne font peut être pas bon ménage.
Alors pas d'inquiètude, de toute façon, les effets secondaires sont tous réversibles à l'arrêt du traitement.


Merci mille fois à celui qui a eu la générosité de partager sa découverte avec nous ...

A lire pour comprendre ce qu'est le baclofène.
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