si tu veux bien, Lyrika, on fait un duo toutes les deux. Comme ça l'JC il saura pourquoi y m'déteste.

Magnifique morceau, 2 chanteuses lyriques en représentation ce soir

Enfin une Lyrique et l'autre hystérique. Mais bon, pour la représentation, vous allez être servi.

Déguise toi Lyrika, faut pas qu'on puisse te reconnaitre, on va faire le buzz sur face de bouc.


PS : tu veux pas plutôt qu'on chante "Toi tu es mon autre" de Lara Fabian avec Maurane.

Alors là, je viens de me prendre une vraie crise de fou rire en imaginant la scène.

J'ai tellement ri que j'en ai pleuré. Moi qui pleure jamais.........ça fait un bien fou.

quelques cocktails pour le baclobar.
A savourer sans modération

Le picon oignon goudron je prépare !!!

J'aime bien Juliette mais pas le Picon
Pour moi ça sera un Fernet-Branca !
Un double !


Un fernet branca !

Oups, désolée, je ne me suis pas présentée L'JC !
Sakana, pour vous servir ! enfin juste dans ce joli Baclopote Bar
et sans ceinture...

Il remonte son col et enfile ses gants
L'air est glacial ce matin
Il met son chapeau
Les rafales de vent l'ont empêché de dormir
Mais il est décidé, ...

Il a mis à profit avec délices cette nuit ventée pour se rapprocher
charnellement de son épouse dans la tiédeur de leur couche.
Très en forme donc pour accueillir cette intérimaire tant demandée.
Trop de travaux en retard dans son service.
Elle pourra mettre à profit sa maîtrise de l'informatique vantée par l'agence
pour enfin les aider à dompter ce nouveau logiciel si obscur.

Mais avant cela, il doit effectuer une visite qu'il a longtemps différée.
Aller voir son vieux père en maison de retraite.
Ca ne l'enchante pas, mais il s'est conditionné, il a pris tout ce qu'il pouvait
de tendresse cette nuit pour affronter ce vieil acariâtre.
Il sait, qu'à peine arrivé, le personnel soignant va lui fondre dessus pour lui
relater les dernières incartades de son paternel :

-"votre père est insupportable, il a embrigadé trois pépés de l'étage et les a entraînes
au café pour boire du vin bouché, il a fallut que le Directeur aille les récupérer. Et
dans quel état! franchement, on vous plaint".

Pedro ferme la porte de son appartement, gardé jalousement par sa déesse
Il a fait du café, elle sera contente
il regarde ses gants, il ne laissera ainsi pas d'empreinte

Mon premier jour. Tant attendu.
Je ne me permettrai pas d'être décevante, je n'en ai pas le droit !
Et puis le regard des autres, ceux qui m'attendent au tournant.
Maintenant j'attends. J'attends celui qui me donnera peut-être ma chance.
J'espère que ce ne sera pas un pervers comme l'autre.
Au pire je pourrais lui refiler un virus, ça me connait, l'autre en a fait
les frais.

De toute façon, la seule chose qu'il sais faire c'est fuir.
Peur de qui, de quoi alors qu'il sait donner mais refuse de recevoir.
C'est de lui qu'il a peur.
Il part sur la pointe des pieds en laissant il le sait l'empreinte de l'amour.
celui là même qu'il se refuse a recevoir
Il a couverte pour ne pas qu'elle prennent froid, son corps est tellement chaud et la nuit si froide.
Il sait que ce viel homme ne lui fera pas de bien mais il dois y aller, il attends, il attends depuis si lomgtemps les mots.
Il espère encore

Ce matin il décide de rentrer à pieds de la réunion de parents d'élèves.

Nouvelle institutrice pour son fils avec laquelle il a eu un entretien privé.
Belle quinqua, bien mise dans son tailleur très strict de bon faiseur.
Son fils serait un peu turbulent mais assimile bien.

Une ambiance olfactive étrange dans la pièce exiguë.
Cette enseignante utilise un parfum de grande marque assurément
qui ne réussi pas toutefois à masquer totalement un ressenti étrange .
Il hésite entre l'odeur d'une salle de sport sur fréquentée et le fumet de ses chaussettes.

Un problème de plomberie dans sa salle de bains ?
Il se souvient que son fils lui avait parlé d'une écologiste convaincue.
Économiserait-elle l'eau ?

Il marche, troublé, songeur.

Attends un peu que j'm'y mette L'JC !

Là, sincèrement, je peux pas pasque.
Mais dans quelques jours, fin de semaine prochaine peut-être, ça va saigner !

Flo

Avoue que tu avais donné les bâtons...

faudra bien quelqu'un pour s'occuper
du juke-boxn 'est ce pas JO(jo)



et encore un pote à moi qui se plairait
bien sur le juke-box

J'aime bien l'idée du vieux grenier vive l'équipe à Jojo
Superbe ta plante

En me réveillant de la sieste, un nom m'est venu comme ça "pochtron minet"

Souvenir de nos dimanche après midi en humour

Au fait...

Joséphine...Oui toi Joséphine
Tu nous avais caché avoir déjà chanté en groupe
dans des bars louches.
Bon, c'était il y a longtemps, vous étiez plus jeunes .

Mais on te reconnait bien sur les images.
Flocerise aussi.
J'ai un doute sur la troisième.
Lyrika qui aurait viré sa cuti et se serait mise à Puccini?

Tu me dira hein!

Visez plutôt vous autres...

café concert, je crois voir.
certains dimanches vers dix sept heures, pousser les tables et thé dansant ?
sur ça, bien sûr : La polka - Luce.
mais un conseil, ne pas la jouer trop lascive. ou alors dans une session sous le manteau, d' où seraient absents ceux que ça pourrait émoustiller à l' excès.
je pressens spécialement martha, pour une interprétation avec classe et subtilité.

L'JC, si c'est ça, pour toi, les "bars louches" tu me rassures un peu (après le coup des ceintures...)c'est qui la blonde? Lyrika?

Il arrive chez lui, n'a pas vu le temps passé et ne souvient même plus du trajet.
Pourquoi cette femme l'a tellement troublé.
Son air strict et distant comme pour mettre une barrière entre eux "pourquoi".
Il passe la porte, le café préparé pour ça belle d'un soir n'as même pas était touché.
Il appui sur le bouton rouge, enlève son mentaux et ce dirige vers la chambre ou il avait laissé son amour d'un soir.
Il sait très bien qu'elle n'est plus là mais bon sait on jamais.
Il passe le seuil, le lit et vide et froid, reste juste l'odeur acre et chaude de leur nuit d'amour.
Il ne se souvient même plus du visage de cette ange qui c'est donné a lui.
En même temps il l'avait rencontré dans ce bar au bout de la rue ou il a pour habitude de consommer plus que de raison.
Il va vers la salle de bains histoire de ce passer un peu d'eau sur le visage, une petite fiol est resté là sur le bord du lavabo.
Il la prends, l'ouvre et tout s'éclair, c'est le parfum de la belle quinqua.
ça y est, il a compri ....

Joséphine, content que tu sois rassurée à mon sujet...

Provisoirement, très provisoirement.

Tiens, faudra que je te raconte l'histoire du bar très louche où l'on accompagnait
le copain du midi, très handicapé, dans les 70'.
A Toulon, pas loin de là où crèche la gamine Manue.

C'est pas toi la blonde?
"On" m'avait dit que tu était blonde, décolorée mais blonde...
"On" m'aurait trompé?
Décidément!

Et vlan Anubis, rien que pour toi (je sens que la vengeance va être terrible, mais c'est mon côté maso)



Le Test des 3 Passoires.


Socrate avait dans la Grèce antique une haute
réputation de sagesse. Quelqu’un vint un jour trouver
le grand philosophe et lui dit :
— Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?

— Un instant répondit Socrate ; avant que tu me racontes,
j’aimerais te faire passer un test,
celui des trois passoires.

— Les trois passoires ?

— Mais oui reprit Socrate, avant de raconter toutes
sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre
le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire.
C’est ce que j’appelle le test des trois passoires.

As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

— Non, j’en ai seulement entendu parler.

— Très bien, tu ne sais donc pas si c’est la vérité.
Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième
passoire, celle de la bonté.

Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami
est-ce quelque chose de bien ?

— Ah non ! au contraire.

— Donc continua Socrate, tu veux me raconter de
mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certain si
elles sont vraies.
Tu peux peut-être encore passer le test
car il reste une passoire, celle de l’utilité.

Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?

— Non, pas vraiment.

— Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter
n’est ni vrai, ni bien, ni utile,
pourquoi vouloir me le dire ?

Compris.

et l'JC, c'était gentil, j'viens de me coller ton fil.....OUUUUUF, deux pages, quel exploit....


Si ça te fait de la peine, je retire mon post ci-dessus, j't'aime bien quand même.

Heureusement je viens de relire le sous titre du bar, marmotte friendly, j'espère que je n'ai pas ronflé très fort, mais j'étais là, sur le canapé du fond, caché sous une couverture moelleuse

MANUE,

attends un peu, qu'on commence à faire du

tintamarre dans notre grenier

fini, la sieste et les ronflements

et en fuite, les araignées et autres "petits" rongeurs,
(marmottes exceptées / acceptées, que dis-je: invitées)
habitués des greniers



-----------------------------------------------------

TOTUE,

mais où ai-je la tête???????, en tout cas elle ressemble
à une citrouille ces derniers jours, petit cadeau
hivernal (état grippal)

tu me fais rougir, ce sera soumis à revanche

bises

Je ne sais plus qui me l'a conseillé, ou bien si je l'ai piqué d'une citation, quelqu'un cite Koontz dans sa signature, si vous savez qui, dites le moi!

Bref, j'avais acheté un roman de Koontz, je l'ai commencé hier, j'ai dû me faire violence pour arrêter, la moitié du livre était englouti

Une merveille, "le temps paralysé"
Il en a fait un petit livre, ça aurait pu être une épopée de 1000 pages au moins

Evidemment, certains passages m'ont mené droit à un cauchemar récurrent, mais j'ai pu intervenir

Re-bref, je vous le conseille chaleureusement!!!

DEAN KOONTZ, c'est moi qui te l'ai conseillé, et Emy avait approuvé. Il est génial hein?

ah super Joséphine, eh bien bravo, touché, je vais voir d'ici la fin du roman, mais un roman que j'ai dû mal à lâcher et que je suis fébrile de reprendre, ça faisait très longtemps

Surtout que celui-là parle d'orphelinat, en plus avec du fantastique, je ne m'y attendais pas du tout, bref, du sur mesure

J'aurais voulu poursuivre l'histoire "à maintes mains" mais j'avoue être un peu perdue. C'est peut-être aussi le fait que vous donnez tous l'impression de bien vous connaître. Je continue à vous suivre comme beaucoup de fils, même si je ne publie pas. Bonne soirée.

Et puisque vous avez l'air d'aimer les énigmes : "Je ne suis ni moi-même, ni quelqu'un d'autre. Je reste humain sans être Homme. Je suis, je suis ?"

Nan Eclaircie, t'as pas du mal à suivre, c'est parti dans tous les sens cette histoire, si Manue me le permet, je vais repositionner la chose.

Merci pour ton énigme, j'adore et je vais y réfléchir. J'espère que la réponse n'est pas sur Google, parce que je suis aussi TRES TRICHEUSE.

Jo, je permets le recadrage, j'avoue que je m'y suis aussi perdue

Éclaircie

Super aussi pour les énigmes, on adore ça ici!

Non on ne se connaît pas tous, c'est l'occasion de faire connaissance justement, n'hésite pas à aller sur les fils des uns et des autres aussi

Je vais aller voir le tien d'ailleurs

bein non, apparemment c'est pas sur google, va falloir se remuer le neurone.

J'ai regardé aussi Jo, je suis pareille shame on me
Sur ce, je rejoint mon lit et vais bouquiner un peu, on tamise les lumières, on baisse la musique et relax

Parce que vous imaginiez un seul instant que la solution pouvait se trouver sur Google ?

Vous pouvez maintenant imaginer le sourire qui irradie mon visage.

Je vous ai souhaité une bonne soirée ?

le fait que tu aies mis un H majuscule à Homme est important j'imagine?

L'importance réside dans les gens qui veulent bien lui en donner.
Mais je suis aidée.

C'est pas une éclaircie ça, c'est une éclipse

Il hume, inspire a plein poumons sans parvenir a lâcher ce flacon qui le ramène a ce doux moment tellement précieux, il se délecte de ce parfum.
Mais que lui arrive t'il.
ça fait tellement longtemps qu'il n'a plus ressenti cette émotion qui lui prends les tripes.
Il se rappel enfin ce que c'est d'aimer.
Une odeur qui le bouscule, comment ça peu lui arriver a lui qui s'était juré de ne plus souffrir.
Il rebouche le flacon, le pose avec délicatesse pour être sur de ne pas le briser, il enlève ces vêtement comme un fou et va ce jeter dans son lit.
L'oreiller de la belle est encore imprégner de sentiment il le sert fort contre lui, il est bien ...

Médaille des justes

"Qui sauve une vie, sauve l'univers tout entier" .

Pas sur fifine.
Tout dépends de qui on sauve.
Si on avait pu tuer tout les dictateurs avant, sans les sauver, cet adage n'aurait plus le même sens.
On aurait plutôt dit, qui tue une vie, sauve l'univers tout entier.
Je m'étalerais pas plus sur le débat.
Le baclobar, c'est fait pour ce marrer et continuer notre roman d'aventure.
D'ailleurs y'a pas beaucoup de monde qui rebondit sur une suite.
Je me sent un peu seul et je veux pas écrire un roman perso.
Allé, donnez moi une belle suite a ce roman, on en ferra peu être un bouquin.
ça serait trop drôle ça.
le roman des baclofous.
Bisous fifine

Zut, moi qui souhaitais apporter ma contribution au "roman", je me retrouve face à une impasse. Pour changer de registre, un petit sketch qu'on m'a envoyé il y a quelques temps.
Enjoy !

Z'inquiétez pas, demain je recadre l'histoire et on va pouvoir continuer. Je le ferai demain vers 6h du mat' c'est l'heure où je suis la plus en forme.

J'y tiens à cette histoire.

Eclaircie, super le gars qui joue dans Kamelott

Sans, si tu es inspiré, vas-y, continue l'histoire, moi je lis, j'observe

Il ne faut pas oublier les histoires commencées

La visite au padre
Les gants pour ne pas laisser d'empreintes

Je laisse Jo recadrer demain à 6h

Va y Eclaircie met y ton grain de sel a ce roman.
Un peu de toi, un peu de folie et de la cohérence.
Go go, faut que ça vive
J'voulais pas m'y mettre au départ et pour finir j'adore ça.
J'attends la suite avec impatience.
Faudrait peu être ce donner un tour a chacun histoire de pas croiser nos suite et que ça reste cohérent.
Vous en dite quoi?

Sans, le tout est de s'adapter à la suite et de pouvoir rebondir à chaque histoire

il y a deux histoires commencées, la visite à la maison de retraite, et les gants pour ne pas laisser d'empreintes

Parce que là, Pedro, il est sorti de chez lui et il est rentré

On y reviendra Velvet.
ça rebondi et je compte sur toi aussi qui m'a amené là

Ca va le faire. J'ai mis mon réveil à 5h30 demain matin. (nan, j'déconne, je me lève tôt dans tous les cas)

Sans, désolée, pas fait exprès

y'a pas de soucie ma belle.
Allé fait nous rêver

Il remonte son col et enfile ses gants
L'air est glacial ce matin
Il met son chapeau
Les rafales de vent l'ont empêché de dormir
Mais il est décidé, ...

Il a mis à profit avec délices cette nuit ventée pour se rapprocher
charnellement de son épouse dans la tiédeur de leur couche.
Très en forme donc pour accueillir cette intérimaire tant demandée.
Trop de travaux en retard dans son service.
Elle pourra mettre à profit sa maîtrise de l'informatique vantée par l'agence
pour enfin les aider à dompter ce nouveau logiciel si obscur.

Mais avant cela, il doit effectuer une visite qu'il a longtemps différée.
Aller voir son vieux père en maison de retraite.
Ca ne l'enchante pas, mais il s'est conditionné, il a pris tout ce qu'il pouvait
de tendresse cette nuit pour affronter ce vieil acariâtre.
Il sait, qu'à peine arrivé, le personnel soignant va lui fondre dessus pour lui
relater les dernières incartades de son paternel :

-"votre père est insupportable, il a embrigadé trois pépés de l'étage et les a entraînes
au café pour boire du vin bouché, il a fallut que le Directeur aille les récupérer. Et
dans quel état! franchement, on vous plaint".

Pedro ferme la porte de son appartement, gardé jalousement par sa déesse
Il a fait du café, elle sera contente
il regarde ses gants, il ne laissera ainsi pas d'empreinte

Mon premier jour. Tant attendu.
Je ne me permettrai pas d'être décevante, je n'en ai pas le droit !
Et puis le regard des autres, ceux qui m'attendent au tournant.
Maintenant j'attends. J'attends celui qui me donnera peut-être ma chance.
J'espère que ce ne sera pas un pervers comme l'autre.
Au pire je pourrais lui refiler un virus, ça me connait, l'autre en a fait
les frais.

De toute façon, la seule chose qu'il sais faire c'est fuir.
Peur de qui, de quoi alors qu'il sait donner mais refuse de recevoir.
C'est de lui qu'il a peur.
Il part sur la pointe des pieds en laissant il le sait l'empreinte de l'amour.
celui là même qu'il se refuse a recevoir
Il a couverte pour ne pas qu'elle prennent froid, son corps est tellement chaud et la nuit si froide.
Il sait que ce viel homme ne lui fera pas de bien mais il dois y aller, il attends, il attends depuis si lomgtemps les mots.
Il espère encore

Ce matin il décide de rentrer à pieds de la réunion de parents d'élèves.

Nouvelle institutrice pour son fils avec laquelle il a eu un entretien privé.
Belle quinqua, bien mise dans son tailleur très strict de bon faiseur.
Son fils serait un peu turbulent mais assimile bien.

Une ambiance olfactive étrange dans la pièce exiguë.
Cette enseignante utilise un parfum de grande marque assurément
qui ne réussi pas toutefois à masquer totalement un ressenti étrange .
Il hésite entre l'odeur d'une salle de sport sur fréquentée et le fumet de ses chaussettes.

Un problème de plomberie dans sa salle de bains ?
Il se souvient que son fils lui avait parlé d'une écologiste convaincue.
Économiserait-elle l'eau ?

Il marche, troublé, songeur.

Il arrive chez lui, n'a pas vu le temps passé et ne souvient même plus du trajet.
Pourquoi cette femme l'a tellement troublé.
Son air strict et distant comme pour mettre une barrière entre eux "pourquoi".
Il passe la porte, le café préparé pour ça belle d'un soir n'as même pas était touché.
Il appui sur le bouton rouge, enlève son mentaux et ce dirige vers la chambre ou il avait laissé son amour d'un soir.
Il sait très bien qu'elle n'est plus là mais bon sait on jamais.
Il passe le seuil, le lit et vide et froid, reste juste l'odeur acre et chaude de leur nuit d'amour.
Il ne se souvient même plus du visage de cette ange qui c'est donné a lui.
En même temps il l'avait rencontré dans ce bar au bout de la rue ou il a pour habitude de consommer plus que de raison.
Il va vers la salle de bains histoire de ce passer un peu d'eau sur le visage, une petite fiol est resté là sur le bord du lavabo.
Il la prends, l'ouvre et tout s'éclair, c'est le parfum de la belle quinqua.
ça y est, il a compri ....


Il hume, inspire a plein poumons sans parvenir a lâcher ce flacon qui le ramène a ce doux moment tellement précieux, il se délecte de ce parfum.
Mais que lui arrive t'il.
ça fait tellement longtemps qu'il n'a plus ressenti cette émotion qui lui prends les tripes.
Il se rappel enfin ce que c'est d'aimer.
Une odeur qui le bouscule, comment ça peu lui arriver a lui qui s'était juré de ne plus souffrir.
Il rebouche le flacon, le pose avec délicatesse pour être sur de ne pas le briser, il enlève ces vêtement comme un fou et va ce jeter dans son lit.
L'oreiller de la belle est encore imprégner de sentiment il le sert fort contre lui, il est bien ...

Il est chouette mon nouveau patron
Il a l'air bizarre, mais il était poli, il m'a bien expliqué ce que je devais faire
Il n'avait pas l'air comme les autres, ne m'a pas regardée
C'est sûr que j'avais fait en sorte d'être plus transparente que jamais
Pas de décolleté, pas de mise en jambe
Il ne m'a posé aucune question, juste expliqué le travail

Mais il a l'air bizarre, je ne sais pas l'expliquer, sans doute quand il est arrivé, avec son chapeau et ses gants, qu'il n'a pas quittés
puis il est parti au bout d'une demi heure d'explicaations

J'avais du travail, pour la semaine, mais lui, il est parti, m'a laissé les clefs comme on dit

Il m'a vaguement dit, je vais voir mon père...

Eclaircie, ton énigme n'est pas passée à la trappe, mais j'ai des réponses tellement ......
M'en fout demain je vais me lancer, le ridicule ne tue pas....parait'il.

Pas tarder à aller me coucher, suis fatiguée.

Manue, demain tu bosses, au lit!!!!

Merci Jo, au lit oui!

Stéphane, Sans, je rebondis sur ton post chez Karine, car moi aussi je suis très sensible à Grégory Lemarchal

Alors je poste ma préférée, le live, sa première, imparfaite, mais que j'adore

Il remonte son col et enfile ses gants
L'air est glacial ce matin
Il met son chapeau
Les rafales de vent l'ont empêché de dormir
Mais il est décidé, ...

Il a mis à profit avec délices cette nuit ventée pour se rapprocher
charnellement de son épouse dans la tiédeur de leur couche.
Très en forme donc pour accueillir cette intérimaire tant demandée.
Trop de travaux en retard dans son service.
Elle pourra mettre à profit sa maîtrise de l'informatique vantée par l'agence
pour enfin les aider à dompter ce nouveau logiciel si obscur.

Mais avant cela, il doit effectuer une visite qu'il a longtemps différée.
Aller voir son vieux père en maison de retraite.
Ca ne l'enchante pas, mais il s'est conditionné, il a pris tout ce qu'il pouvait
de tendresse cette nuit pour affronter ce vieil acariâtre.
Il sait, qu'à peine arrivé, le personnel soignant va lui fondre dessus pour lui
relater les dernières incartades de son paternel :

-"votre père est insupportable, il a embrigadé trois pépés de l'étage et les a entraînes
au café pour boire du vin bouché, il a fallut que le Directeur aille les récupérer. Et
dans quel état! franchement, on vous plaint".

Pedro ferme la porte de son appartement, gardé jalousement par sa déesse
Il a fait du café, elle sera contente
il regarde ses gants, il ne laissera ainsi pas d'empreinte

Mon premier jour. Tant attendu.
Je ne me permettrai pas d'être décevante, je n'en ai pas le droit !
Et puis le regard des autres, ceux qui m'attendent au tournant.
Maintenant j'attends. J'attends celui qui me donnera peut-être ma chance.
J'espère que ce ne sera pas un pervers comme l'autre.
Au pire je pourrais lui refiler un virus, ça me connait, l'autre en a fait
les frais.

De toute façon, la seule chose qu'il sais faire c'est fuir.
Peur de qui, de quoi alors qu'il sait donner mais refuse de recevoir.
C'est de lui qu'il a peur.
Il part sur la pointe des pieds en laissant il le sait l'empreinte de l'amour.
celui là même qu'il se refuse a recevoir
Il a couverte pour ne pas qu'elle prennent froid, son corps est tellement chaud et la nuit si froide.
Il sait que ce viel homme ne lui fera pas de bien mais il dois y aller, il attends, il attends depuis si lomgtemps les mots.
Il espère encore

Ce matin il décide de rentrer à pieds de la réunion de parents d'élèves.

Nouvelle institutrice pour son fils avec laquelle il a eu un entretien privé.
Belle quinqua, bien mise dans son tailleur très strict de bon faiseur.
Son fils serait un peu turbulent mais assimile bien.

Une ambiance olfactive étrange dans la pièce exiguë.
Cette enseignante utilise un parfum de grande marque assurément
qui ne réussi pas toutefois à masquer totalement un ressenti étrange .
Il hésite entre l'odeur d'une salle de sport sur fréquentée et le fumet de ses chaussettes.

Un problème de plomberie dans sa salle de bains ?
Il se souvient que son fils lui avait parlé d'une écologiste convaincue.
Économiserait-elle l'eau ?

Il marche, troublé, songeur.

Il arrive chez lui, n'a pas vu le temps passé et ne souvient même plus du trajet.
Pourquoi cette femme l'a tellement troublé.
Son air strict et distant comme pour mettre une barrière entre eux "pourquoi".
Il passe la porte, le café préparé pour ça belle d'un soir n'as même pas était touché.
Il appui sur le bouton rouge, enlève son mentaux et ce dirige vers la chambre ou il avait laissé son amour d'un soir.
Il sait très bien qu'elle n'est plus là mais bon sait on jamais.
Il passe le seuil, le lit et vide et froid, reste juste l'odeur acre et chaude de leur nuit d'amour.
Il ne se souvient même plus du visage de cette ange qui c'est donné a lui.
En même temps il l'avait rencontré dans ce bar au bout de la rue ou il a pour habitude de consommer plus que de raison.
Il va vers la salle de bains histoire de ce passer un peu d'eau sur le visage, une petite fiol est resté là sur le bord du lavabo.
Il la prends, l'ouvre et tout s'éclair, c'est le parfum de la belle quinqua.
ça y est, il a compri ....


Il hume, inspire a plein poumons sans parvenir a lâcher ce flacon qui le ramène a ce doux moment tellement précieux, il se délecte de ce parfum.
Mais que lui arrive t'il.
ça fait tellement longtemps qu'il n'a plus ressenti cette émotion qui lui prends les tripes.
Il se rappel enfin ce que c'est d'aimer.
Une odeur qui le bouscule, comment ça peu lui arriver a lui qui s'était juré de ne plus souffrir.
Il rebouche le flacon, le pose avec délicatesse pour être sur de ne pas le briser, il enlève ces vêtement comme un fou et va ce jeter dans son lit.
L'oreiller de la belle est encore imprégner de sentiment il le sert fort contre lui, il est bien ...

Il est chouette mon nouveau patron
Il a l'air bizarre, mais il était poli, il m'a bien expliqué ce que je devais faire
Il n'avait pas l'air comme les autres, ne m'a pas regardée
C'est sûr que j'avais fait en sorte d'être plus transparente que jamais
Pas de décolleté, pas de mise en jambe
Il ne m'a posé aucune question, juste expliqué le travail

Mais il a l'air bizarre, je ne sais pas l'expliquer, sans doute quand il est arrivé, avec son chapeau et ses gants, qu'il n'a pas quittés
puis il est parti au bout d'une demi heure d'explicaations

J'avais du travail, pour la semaine, mais lui, il est parti, m'a laissé les clefs comme on dit

Il m'a vaguement dit, je vais voir mon père...

Pedro quitte le bureau, son père l'attend
Il monte dans sa mini, le temps est toujours aussi gris, glacial, comme un mauvais présage
Malgré ses gants et son chapeau, il ne parvient pas à se réchauffer
Il met la radio, monte le chauffage au maximum, mais l'air chaud ne fait que l'incommoder
Il reste froid dedans
Allez cette fois j'y vais
Cela fait 5 ans que son père est en maison de retraite, il se contente de coup de fil, mais il ne parvient pas à vraiment lui parler
Il n'entend rien, il boucle sur son passé
Et lui reste amer
...

Coucou !

Ca me tente bien, mais pas facile de prendre le train en route je trouve

Coucou Lyri
Ouai, c'est dur chacun met sa patte.
Même moi qui suis là depuis le début j'ai du mal a faire le lien entre tout.
Et puis Pedro quel prénom de merde en plus
Mais ça va revenir

bon, je devais faire un petit recadrage ce matin. Mais, ma fille (33 ans) est blanche comme un linge depuis 4/5 jours, elle ne fait que dormir. Donc hier médecin, ce matin prise de sang, le 10/02 echographie. On recherche une mononucléose. Donc, je gère la maison avec deux petits enfants, ecole, repas, devoirs, bains, loisirs, sans oublier d'aller voir ma fille dans son lit toutes les heures (pour voir si elle respire, au cas ou, à 33 ans, elle me fasse le coup de la mort subite du nourrisson). On est une maman quelque soit l'âge du p'tiot. Donc demain résultat de la prise de sang. En attendant, je vous le dis à vous, j'ai élevé deux enfants toute seule, mais là, je sens bien que j'ai plus l'âge. Pas grave, pour eux, je me déchire.

Pedro quitte le bureau, son père l'attend
Il monte dans sa mini, le temps est toujours aussi gris, glacial, comme un mauvais présage
Malgré ses gants et son chapeau, il ne parvient pas à se réchauffer
Il met la radio, monte le chauffage au maximum, mais l'air chaud ne fait que l'incommoder
Il reste froid dedans
Allez cette fois j'y vais
Cela fait 5 ans que son père est en maison de retraite, il se contente de coup de fil, mais il ne parvient pas à vraiment lui parler
Il n'entend rien, il boucle sur son passé
Et lui reste amer...

...de ! Qu'est ce qu'il faisait là, lui ? Merde !
Je suis tranquille, serein, peut-être un peu perdu
dans mes pensées, celles qui m'obsèdent depuis cette
tragédie.
Et voilà qu'un nouveau drame se profile.
L'infirmière me rassure : "Vous pourrez sans doute remarcher
à nouveau." C'est rassurant.
Qu'est ce qu'il faisait là, ce con ?
Même en mini, je ne roulais pas vite. Et il ose dire qu'il
n'a pas vu le feu. Imagine-t-il celui que je ressens dans mon corps ?

Va falloir m'éclairer dans ce roman parce que là je suis perdu.
Ont fait comment, chacun donne une suite a son histoire ou ont suit le texte de l'autre.
HELP l'JC vient nous dire.
Après tout c'est toi qui a commencé

Stéphane
L'idée de Joséphine au départ était d'écrire un roman à plusieurs mains

J'ai démarré le texte, avec une idée derrière la tête, mais ensuite, chacun a fait sa suite, ou bien a ajouté des histoires dans l'histoire

Donc en gros on a, Pedro (on peut changer le prénom), qui a passé la nuit avec une personne de passage, qui s'est rendu à l'école (mais là, a-t-il un enfant? où est-il) et puis quand est-il allé à l'école, vu qu'il allait au bureau accueillir l'intérimaire

Et il doit aller voir son père en maison de retraite

Mais là, visiblement, il a renversé quelqu'un en route

Jo, si tu veux recadrer, voir même corriger les incohérences, ce sera bienvenu