bonjour rom..
tu m'as demandé vendredi, d'étayer
pas facile de retrouver le cheminement de mes pensées de ce 27 décembre..
j'avais relu tous tes posts sur le forum depuis le début, afin de comprendre.
j'ai relevé des quote de toi qui me sont apparus intéressant suite à ta détresse.
alors
la première de tes citations était là pour t’interroger sur un conseil que tu avais donné,
au vu de ta propre descente.
les suivantes avaient deux buts:
montrer que tu avais un medecin curieux, qui t'avait traité pour une supposée 'bipolarité' un peu de façon 'cavalière' alors que c'est pas dans son domaine de compétence;
d'autant qu'il est bon de réécouter ce qu'en dit RDP
la bipolarité par Beaurepaire..
et que, d'autre part, t'envoyant voir un comportementaliste, tu avais eu un autre son de cloche, qui au fond ne t'éclairait pas plus à ce moment là, puisque contredisant ton medecin, sachant qu'elle même n'est pas psychiatre puisque psychologue, et donc pas compétente non plus
à priori.
ce qui ne veut pas dire qu'elle ait eu tord, car miracle, elle a vu que c'était un ES du baclo - qui ne m'est pas étranger - et que t'étais pas passé loin de la catastrophe.
bref,
la derniere citation, te renvoyait, toi, dans les cordes, gentillement, puisque tu savais dejà depuis longtemps que tu sur-réagissais d'autant que j'avais lu ça :
Par contre si je baisse mon baclo, en dessous de 80 mg, je déprime, sans
retour de craving, c'est mon impasse
Donc je reste à 120 et tout va bien.
et que, franchement, tu t'étais mis en danger un peu inutilement.
Le baclo pour moi, c'est un peu comme un anti dépresseur.
voilà rom, juste un avis au gré de ton parcours.
bonne continuation.