Un soir je t ai vu

Rien ne savoir la

Rien
juste soi disant
Je fais
comme une
Bete ...

Eh, 33 !

J'aime ce nouveau visage avec ses tendances.

Je guette aussi la fulgurante Yakolev aux percées si pleines d'échos qui me laissent gauche et timide.


Allongée sous les racines de pissenlits, à l'ombre des rails de Tristan, je fredonne Terre mater en riant de l'envers des vers de terre.

Comment savoir ou est l'endroit de cette satanée bestiole?

Qui marche sur la tête, qui rampe sur le dos?

J'ai plongé dans le ciel, j'ai volé sous l'eau,
connu le vice et le verso et recto versa.
J'ai bu la tasse jusqu'à la lie, liquidé l'hiver tant l'ivresse était chaude.

A en oublier les points cardinaux et le haut et le bas et ou le soleil s'en va, je bourlinguais croyais je.
Aujourd'hui, je ne suis ni meilleure ni pire, pas plus apte à distinguer l'envers de l'endroit, le tort de la raison et le sens de mes pas.
La différence?

Aujourd'hui, je n'ai plus peur de ceux qui clament ou se trouve le 0, la juste ligne et le sens exact des mots du dico.

Je déguste ta tasse.

Tu es inconsciente de l'envergure de tes mots et c'est en cela que c'est beau.

J'ai un craving de la violence enjôleuse de Yako.

Ah lala, cette idée jolie de la plus value d'écrire sans se rendre compte.

Vrai, je ne cherche pas l'envergure, je ne cisèle rien, pour autant il ne s'agit pas d'écriture automatique.
Ce n'est pas du hasard!
Tu le sais, non, qu'il faut se mettre consciemment en disposition de laisser l'inconscient se pointer?

Être à la fois la primitive et l'ethnologue qui l'observe.

Il m'a fallu aller gratter loin sous la peau pour que des mots en sortent qui soient justes, pas justes en terme de "corrects" juste en adéquation avec le ressenti.

Je vois l'écriture comme un auto braconnage, être le lapin et le collet.
Se dévêtir, lâcher les rênes, laisser l'intime sortir la tête et couic, le chopper.

Il n'y a pas de travail, pas d'ouvrage, je ne fais qu'attendre au bord de la marge pour en tirer des lignes.

Après, c'est vrai que c'est pas droit, pas achevé, le lapin s'en tire à chaque fois, me laissant 3 crottes et l'échange furtif de nos regards et c'est pourquoi je recommence, pas pour le beau ou le définitif mais pour retrouver cet instant ou je me télescope.

l'essentiel

c'est que le lapin s'en tire

héhé Tristan,

Voila que je perds mon temps à répondre aux facheux et que j'en oublie les simples règles de la bienséance !

Je te salue ami poète. et tous les poètes et les moins poètes de ce forum.

ai passé un long moment sans visiter le forum. J'avoue avoir perdu le fil de certains fils.

C'était bon aussi de prendre le large. Parfois c'est préférable à l'usure.

Certains de mes amis ont disparus (je pense à André, mon cher motard).

D'autres se font plus rares. Un peu comme moi.

Comment vas-tu toi, et Reiz et Christine, et Bidibulle et les autres, enfin bref, les poètes quoi, comment vont les poètes ?

un de c 4, il faudra bien que je rouvre un fil, pour raconter zombiland. C'est une planète dans une galaxie lointaine, peuplée d’alcoolo repentis sous hautes doses de baclo.

Ma foi, même là, il ne fait pas si mal vivre.
bref les nouvelles de moi, ne sont pas si mauvaises.

Tiens, je rajoute ma vielle signature des temps verveiniens.

oulala, L'hiver & Loulou, Si j'ai un jour fulguré, je ne fulgure plus vraiment.

J'ai loin d'avoir votre prose, et ces temps-ci mes neurone geostationnent en orbite de Mars.

T'as tout compris Martha, Lapinou est plus malin que moi.

"un de c 4, il faudra bien que je rouvre un fil, pour raconter zombiland. C'est une planète dans une galaxie lointaine, peuplée d’alcoolo repentis sous hautes doses de baclo." ??? Quel fil a déjà été ouvert ?

Hé! Yako,

Nous sommes plusieurs a avoir visité Zombiland. Non , conneries. Je rectifie, a avoir traversé ce magma.

J'ai conduis sur la route 51 a 300 mg.

Que dire? Peut être que la météorologie est moins clémente pour toi.
J'ai vu le bout de la route. Je te le souhaite.


PS: Un boulet sur un fil. J'ai peu de connaissance en physique. Sommes nous dans le domaine des lois
de l'apesanteur? 1 N <1 kg.m/S2

Lee pas mes propos a l'envers,

L'écriture. J'ai de mauvais souvenirs. Epreuve de Philo ou l'on t'oblige a "noir-cire" des pages durant
quatre heures.

Sur quelles pensées? Oh! Quelle chance! On te donne le choix entre trois sujets.
Sujets, fomentés par un faussoyeur qui c'est masturbé les neurones pour déféquer sa pensée.

Obliger une personne a écrire, a pensée, a un instant prémédité a toujours été une torture.

Yako Yak avec Mister T.
A 280, je vivais hallucinée dans un monde trop rapide.

Ne serait ce pas plutôt les lois de la pesanteur qui séviraient de temps à autre sur ce fil?

Edit: Je fais un distingo entre l'écriture viscérale et le fait de se plier à des exercices écrits. Mais, à mon sens, cela peut être jouissif aussi.
L'Oulipo par exemple, les contraintes littéraires qui forcent l'esprit à prendre des routes annexes, et devoir réflechir à un sujet dans un temps limité, pourquoi pas?

Eh! Yako,

Je ne suis pas partisan de l'alcoolique repenti.

Jamais dans mon entourage, je n'ai rejeté la faute a l'alcool. Certes une fierté inconvenante après coups.

Mais aujourd'hui, avec fierté j'ai " d'étentaculé" la pieuvre et je l'enc... avec mes jets d'encre.

Lee,

Non, je suis indiscipliné, insoumis mais c'est pas ma faute a moi.
C'est dans les gênes.

Ouais mais quand y a des gênes y a pas d'plaisir !

Flo,

Ca c'est bon sûr!
C'est pas toujours la cerise sur le baclo .

Eh! Yako,

Tiens ! un poème par Opale.

Torture.


La torture est si lente

Et l'attente terrifiante

Dévore mon cerveau

Comme tu violais ma peau.

Je suis comme un arrêt

Suspendue à un fil

Qui menace de rompre.

A chaque jour qui passe

L'angoisse est amplifiée

Ma résistance se casse

Je vais bientôt tomber.

J'attends et je redoute

L'appel libérateur

Qui sera tout autant

Source d'une immense terreur

Il va venir ce jour............

Lee,

Je ne connaissais pas l'Oulipo, alors je me suis rendu pour une visite.

Ils m'ont reçu avec un proverbe greffé : " Au royaume des aveugles, la charrue avant les bœufs. "

J'aime bien le dèjantage.

Bienheureuse de t'avoir donner du grain à moudre.
Ouvroir de Littérature Potentielle...Pfffou, Y'en a qui n'ont que ça à foutre

Ola,

Ah Lee, l'oulipo.

Mon cher Sally Mara et ses cent mille milliard de poèmes.

Et quand Zazie dit : "Charles à mis les bouts".

Urgence: Relire Queneau.

Les bouquinistes du boulevard Anspach. Samedi.

Tristan, pour moi, non pas de route 51.
Pas serré la louche à Janis et Jimmy en rêve non plus.

Mes rêves parlons-en, tiens.
Pêle-mêle:

-J'ai été ensevelie sous une coulée de boue dans la maison de Bertrand Cantat.

-Je suis morte (avec le reste de l'humanité, d'ailleurs, cette nuit là), quand la rotation de la terre s'est emballée et a complètement perdu le nostro.

-Ces derniers temps, Je me réveille en essayant de recracher le truc que j'ai avalé et que j'aurais pas dû:
un chargeur de batterie d'ordinateur portable, un keiki de Dendrobium nobile, du terreau à Orchidée.

-Ah, et de manière récurrente, J'ai aussi une saloperie de script shell qui flingue mes serveurs de bases de données la nuit quand je dors... Petites angoisses au matin quand j'arrive au boulot.
( Enfin plus maintenant: sybase_db.sh n'existe que la nuit dans mes rêves et est parfaitement inoffensif, le jour, quand je suis éveillée)

-J'ai aussi cherché ma sœur en pleine nuit dans tout l'appart, j'ai scruté la rue Sainte-Catherine, sans l'apercevoir (pas grand monde à vrai dire, rue Sainte-Catherine à 2h du mat). Je me suis rendormie.
Au matin, c'était plus clair: elle avait du passer la nuit chez elle, à Bamako.

Tu vois, on ne s'ennuie pas à Zombiland sur Senne.

Et je ne t'ai pas tout raconté.

Par exemple, quand je me suis endormie debout...
Parce que je dors sur la liberté de la presse qui ne s'use pas...A cause du baclo...
Non, Une autre fois. Pas ce soir.

Ça sent le fil quand même.

hé hé Tristan,

Si tu fais une recherche dans de vieux fils, tu verras que j'ai déjà évoqué l'oulipo et les patapotes !

Sally et Raymond et consorts

Ah merdum, non, je viens de vérifier.. J'ai effacé ça aussi.

Tabernacle! Yako,

La rue sainte Catherine a Montréal. Je l'ai arpenté avec ma" blonde " Québécoise.

A la fin de la rue, elle m'a guidé pour magasiner dans les ruelles. A l'époque, on achetais jeans et
blousons pour moitié moins qu'en France.

C'est un temps que les moins de 50 ans ne peuvent connaitre. Le temps ou les blondes étaient fraiches.

Et yako comprend?
Moi, non. Encore un an d'insouciance, merveilleuse jeunesse.

Fieu Tristan,

Ma rue Sainte Catherine est à Bruxelles..

Mon appart est en pointe. devant Sainte Catherine, à mon extrème droite les poulets (rue du marché aux) à ma gauche et à ma droite les poissonniers (rue des), à mon extrème gauche, Paul Devaux (appelez moi rue), homme de droite, à qui la Belgique doit ses Saxe-Cobourg-Gotha.
Derrière moi la bourse.

D'aucun parmi ceux qui connaissent Bxl auront compris que je suis au centre..

Mais qui voila, rien que du beau monde ce soir sur ce fil !

Mes amitiés mon cher Edouard, Et oui, Yako comprend. 50 depuis le 15 Fructidor. Soit 2 Jours avant la vertu, 3 avant le génie, 4 avant le travail, 5 avant l'opinion, 6 avant les récompenses , et 7 avant la révolution.

oui, mais alors me diras-tu, le 15 dans ce cas, c'était le jour de quoi ?
compte tenu du résultat 50 ans plus tard, je proposerai bien iconoclastie.
Oui, pile poil. ça me va.

Eh! Edouard,

Comment te comportes tu l'ancien?

49 ans d'insouciance. Il serait temps de te soucier de ta personne.

Je suis "coÏt" face a ton incompréhension lorsque je parle de blondes.

Attention! Tu prends de l'âge ami.

Ton passage me ravi.

Et non Tristan, je n'ai d'yeux que pour les brunes...
Et si je peux perpétuer encore un peu l'insouciance, même le fil se fait de plus en plus ténu, je serai là, et bien là... 😊

Puis-je me permettre d'ajouter mon cher Tristan, mon cher Édouard, que si je comprend bien la nostalgie montréalaise des 501 et des chevignons, Je goute fort peu la blonde. Surtout québecoise.
(A ce stade des confidences, je me permet cette digression: ne serait-il pas souhaitable et bénéfique pour l'ensemble de l'humanité, de pratiquer préventivement et systématiquement une ablation des cordes vocales de tous les nourrissons canadiens, particulièrement ceux dépourvus de chromosomes Y ? )

Bref les blondes, c'est pas ma tasse de thé.

et les blonds, c'est pas ma règle.

Une fois j'ai dérogé. Le spécimen, apprenti chirurgien bavarois était en post-doc à Bethesda. Moi en visite au NIH, pour ce qui fut je crois le tout premier congrès scientifique sur le Sida.
1987. Washington.

J'y ai vu un perostroïkien à tâche frontale rencontrer un padawan local prénomé Rony qui venait de remporter Starwars avec l'aide d'un Jedi pontifiant et Polonais affublé d' un prénom de bonne femme.

bises
v

Lol...! Enfin un point commun, mais sans ton panache mystérieux!
Toujours incapable de dire si yako est un homme, une femme, brune il semblerait la cervelle en tout cas.
Française, suisse, belge, canadienne, polonaise... Mystère.

Restons dans le mystère.

De toute façon, les hommes sont des femmes comme les autres.

Ah non, résolument hétéro.
Con jusqu'au bout.
Un homme, une femme
Un blond, une brune
Ancré dans mes 49 archétypes
Je mourrai dans me principes.

J adore les Jedi

aie s

Whaou...! Une brune jedi

Yes I am

49 archétypes?

Et oui...

Entre autre malformation

Kes a dire donc,?

J'ai encore forcé sur la métaphore.
décodage:
le perestroïkien: Gorbatchev
le padawan: Reagan
le Jedi: Carol Wojtyla

87. -2 avant la chute du mur. sommet de Washington. Les US (l'empire) signifient la fin de partie (on a gagné Starwars, maintenant, les patrons c'est nous). Ils piaffaient depuis 44.
On le savait borné, mais c'est têtu, aussi, un yankee.

Loulou, désolée de casser l'ambiance, mais passé 40-45,
on n'est plus brune. On a été brune,
et on engraisse L’Oréal.

Il neige encore au pays d'en haut.

Tudieu! Après 5 mois, on attend avec impatience la verdure.
je me laisse donc aller a une élucubration.

Je vais de découverte en découverte de part ce fil. j'ai connu l'oulipo et maintenant l'oréal.
J'ai remarqué un point commun entre ces deux engeances: La contrainte.

Chez l'oulipo, celle ci se manifeste par exemple en l'exercice d'écrire sans le e.
Chez l'oréal , elle se concrétise par une obligation de vivre sans ride.

Des propos abscons voir abstrus générés par un vagabondage futile et inutile.

Mais, entre deux flocons, cela me distrait.

Eh!Yako,

Ton échappée Bavaroise désastreuse me laisse sans bretelle.

Si tu avais voulu connaitre les sensations, quand bien même les affres, d'un contact épidermique, encore eût-il fallu que tu lui suggères d'ôter son Laderhose.

Question d'un manchot des pieds en informatique.

Pourquoi mettez vous en fin de message: Edité 1 fois.

Est-ce un signe de reconnaissance pour une secte?

Ce message est automatique chaque fois que quelqu'un modifie son post ...
Tu as m^me le nombre de modif

Madame l' administrateur,

Je vous présente mes dommages.

Plus concrètement, Sylvie, le n'ai pas compris le message.
Bon, c'est pas grave, si ce n'est que cela me conforte dans l'idée que c'est un signe pour s'identifier
dans une secte.

Première esquisse dans le cercle des poètes maudits. Aurait-tu des velléités?

Je cesse de te taquiner et t'embrasse.

PS: Sérieux, j'ai rien entrave du message.

Modifie donc un te tes messages, tu comprendras certainement
Pas de velléité, je n'arriverai jamais à poster quelque chose digne d'intérêt sur ce fil
Ma remarque était purement technique
Je t'embrasse aussi

Sylvie,

Ne te mets ni Charles ni marelle en tête.

J'ai eu Karine en MP. Elle me connait pour m'avoir vu taper sur un clavier. Elle a employé mon langage.

J'ai perçu la manip.
C'est génial et révélateur: Tous ceux qui ont " edit " fon des fote dortograf.

en l'occurence, j’éditais le post pour rebaptiser les Jedis en jed-aïe-s à l'attention de loulou,
Mais j'ai renoncé : tout le Monde n'a pas l'esprit complètement tordu, comme moi.
De touts façons, tu as vu juste. La plupart du temps, quand on "edit" c'est pour corriger une faute ou l'autre.
Moi y compris.

Tristan : "C'est génial et révélateur: Tous ceux qui ont " edit " fon des fote dortograf."
Pas du tout d'accord !
Tout le monde fait des fautes d'orthographe et là n'est pas l'important.
L'important, c'est d'essayer d'en faire le moins possible, par respect pour les lecteurs.
Je dirais donc plutôt que ceux qui utilisent cette fonction de correction sont ceux qui respectent leurs lecteurs.
Ceux qui ne l'utilisent pas s'en foutent.

Flo

Mais pourquoi lui avez vous dit?

Moi j'adorais l'idée du groupuscule qui communiquait en message codé.
Le mystère de l'édition...

Yakovlev, je suis amoureuse.

Rien de chimique, aucun désir fornicateur, mais bordel, quel esprit!
Tu jongles, tu disparais, tu rebondis, tu te tais.

Rhaaaaaaa!

Edit: Y'a peutaitre dé fote, mé défoua on nédite ossi pour préssizé sapanssé, bonlà cépaleka!

Eh Tristan, look that "Message édité 1 fois, dernière édition par Lee Vair, Il y a 1 minute, 19:00 " et en réalité c'est écrit message édité 2 fois. On nous cache des trucs

Lee,

Je viens d'apprendre une belle nouvelle Yakovleviene.

Je me transpose sur son fil.

Ce message est codé.

Eh,Yako !

Je me suis rendu chez toi. Tudieu ! Plus de sujet. Sacré toi, tu as tout effacé.

Tu aurais pu être un personnage partie prenante dans le joueur de Dostoïevski.
Peu importe, je m'en d'écorce les cacahuètes. On est mieux dans le cercle.

"Le bout de la route." Adieu Zombiland et ses fumées, ses hurlement métalliques.
Adieu la bande a Madmax.

Quelle folle pugnacité pour décrocher a 525!
Maintenant, il te faut descendre tranquillement. 525 mg, c'est une dose extraterrestre pour le corps
humain.

A 280 mg, Eureka! j'ai vécu mon décrochage mais j'ai du descendre en urgence car je perdais le contrôle
de mes membres supérieures.
A mon avis le risque de retour du craving est minime.

Quand bien même, tu ressentirais des envies furtives, tu remontes d'un chouilla.
Pour ma part, j'ai eu des soupçons d'envie mais après coup le me suis rendu compte que ce n'était que
psychosomatique. La tremblote de la rechute.

Prend garde a toi! Une fenêtre s'ouvre sur un espace avec ses inconnues.
Foi de moi, tu vas connaître cette sérénité jouissive.

Pas de lauriers pour nous autres les revenants. Juste cette satisfaction d'avoir réussi a jeter notre
croix de bois en enfer.

Madame Cerise,

Pourquoi tant de propos moralisateurs ?

Tu peux constater que ce message n'est pas libellé " Edit "

J'espère ne pas avoir défloré ta sensibilité.

Des propos moralisateurs ?
Où ça ?

Tristan, à quel jeu, si tenté que tu sois joueur ?, t'amuses tu ?
vers quel verbiage tends tu ? Autre que celui du dénigrement quand l'on vient te piquer à vif !

Ta photo d'avatar, métaphore par l'image d'un désir de libertés personnelles, louables, te sembles t-elle en adéquation avec l'écoute et dans le respect que tu portes concrètement envers l'autre ? Je n'ai pas de réponse définitive. D'affirmations à porter. Toi, certainement.

Être égoïste, cela existe. Mais avant tout, cela s'assume sans faux semblant.

Plus en se retranchant faussement derrière des mots édulcorés faciles, pas si fraîchement poétiques.

Cependant, je ne te connais pas ! Et puis-je avoir une interprétation totalement faussée ?

Je vous supplie de nous laisser entre nous.

Ce fil est en marge du forum.
Je n'ingère aucunement sur vos propres terres.

Alors, un peu de respect cousu avec un dé.

Yamp! Y'a des phéromones dans le coin!

Je tiens a préciser que le vouvoiement était uniquement a l'envers de monsieur " C'est perdu "

Pour affirmer une distance.

La préciosité est un art agréable a découvrir. Tout comme la trivialité.

Il faut avouer, qu'il y a de quoi n'être Padac! hors le vouvoiement est un art perdu car il créait une distance certes mais aussi pour ceux qui le méritent, il donne du respect et un mot bien connu et trop facilement employé de l'humilité.

En même temps cela ne me regarde pas trop, ce n'est qu'un point de vue.

Moi je lisais un pluriel signifiant la lourdeur, tant on peut croire plusieurs une seule personne insistante.

Nous autres, gens d'esprit... voila un pluriel bien singulier.

Cela peut perturber voir agacer certains liseurs.