Une réflexion à trois balles.
Une chose est certaine : Le Baclo agit bien sur
les envies liées à l'alcool, j'en ai fait l'expérience.
Mais il ne fait pas tout. Il n'intervient ni dans le
changement de ses habitudes ni dans le déclenchement
providentiel d'une volonté perdue. Il serait
prétentieux de considérer ce médicament comme miraculeux
mais il fonctionne.
Mais guérit-on
(définitivement) de l'alcoolo-dépendance ?
Oui si on ne fait plus aucun effort après avoir accédé Ã
l'abstinence ou à une consommation normalisée.
Non si on continue à être vigilant.
Alors je ne suis pas guéri, loin de là .
Merci à Sylvie pour l'énorme boulot que tu fais.
Merci aux membres qui se conseillent, s'aident, ou
se soutiennent d'une manière ou d'une autre.