Bonjour,
mon psychiatre envisage de me prescrire Effexor.
Je souffre de dépression depuis toujours, sans bipolarité avérée, sans phobie, sans attaque de panique, avec des entraves sociales et familiales "gérées" ou "dépassées" avec l' alcool et autrefois la cigarette.
échec des ISRS (style Déroxat -molécule paroxétine, qui agissent en favorisant la sérotonine, pour faire vite), et récemment échec d' un anti-psychotique (Abilify, généralement prescrit comme thymorégulateur).
actuellement sans ATD, juste avec 6 grammes / jour d' acide aminé L-Tyrosine, précurseur du neurotransmetteur dopamine, dont je crois être sévèrement carencée.
peu d' ATD s' adressent à la dopamine; ceux qui ont un effet sur elle, on ne sait pas par quel processus il se produit.
le Valdoxan en fait partie, j' ai essayé, pshitt.
resterait à tenter l' Effexor, qui joue faiblement sur la dopamine (et la sérotonine, tant pis pas besoin; et la noradrénaline, pourquoi pas).
on lit beaucoup que se sevrer de ce médicament est un calvaire, et que les EI sont violents.
vos expériences ?
merci !
Baclo depuis 02/12 - 3 séquences de guérison: 4 mois, 8 mois, et depuis le 20/01/15,
à l' issue d' une remontée jusqu'à 310 mg, à partir de 150 mg début 09/14.
Au 30/06/15: 240 mg en 5 prises, de 09h00 Ã 17h00 - Descente (EI) Ã 190 mg en 7 prises de 06h00 Ã 18h00 depuis le 20/07/15.
Echecs 2012 et 2014 dûs à descentes trop rapides et/ou importantes.