Salut,
Bon alors je vais essayer de faire simple avec des mots bien choisis parceque c'est assez compliqué comme histoire ^^.
Tout d'abord, je me présente : Je suis un jeune homme de 24 ans, passionné par la vie, mais dépendant (très dépendant des anxiolytiques). J'ai une copine qui me soutien depuis 3 ans même si c'est parfois pas toujours simple (je pense créer un autre post a ce sujet car j'ai aussi un gros soucis par rapport à nous). Mais pour l'instant ce n'est pas le sujet.
Alors dans les détails techniques, j'ai carrément abusé sur l'alcool depuis 15-16 ans (fascinés par mes idoles du rock, en recherche de personnalité, manque de confiance etc etc...).
J'ai eu quelques traumatismes liés à la solitude, des accidents qui ont faillis être mortels à plusieurs reprises etc...)enfin bon pour quelqu'un de déjà assez timide et anxieux a la base ca a pas été simple.
Ma chance est cependant d'avoir eu de bons parents, d'avoir un physique plutôt correct, enfin j'entends par la que je n'ai jamais eu trop de problème avec les filles ce qui remontait quand même un peu ma confiance il faut bien le dire ! (même si ca durait pas toujours, justement à cause de ces soucis qui me rendaient un peu dépendant affectif aussi donc ca pouvait pas créer de relation saine si vous voyez ce que je veux dire. Au moindre pépin je me mettais dans tous mes états dans tous les sens du terme et m'infligeait une vraie torture..).
Bref je pense que vous situez le personnage. Puis j'ai rencontré ma copine actuelle un peu au moment ou je commencais vraiment a partir en vrille. Et je dois dire que les coups de tonneres qu'il y a eu entre nous ont reveillés peu a peu le Vrai moi. Sauf qu'il a fallu que je craque avant de m'en rendre compte... Et c'est précisément la que j'ai merdé en touchant au lexomil pour guerrir mes crises d'angoisses. Je suis alors allé de plus en plus en loin (jusquà 3 par jours mélangés à de l'alcool puis cannabis atarax etc...) ca a été la vraie dégringolade..
Du coup y a 2 ans à peu près j'ai décidé de me sevrer enfin de tout ca en même temps. Ca a pas été facile ca c'est sur mais j'en ai appris des tonnes et des tonnes sur le sujet. Il y a eu des arrêts brutaux, des kava, des rechuttes, des questionnements, des pauses etc... Jusqu'à en arriver à bout de l'alcool (je ne consomme plus depuis 1 an et demi), à ne plus être qu'à 1/4 de lexo par jour. Le dernier des derniers donc !
Et la surprise sur la fin qui me faisait bien galérer depuis qq mois, je rencontre par miracle le Baclo ! A la base dernierement je fumais encore un peu, prennais encore qq atarax ou donormyl de manière assez compulsives pour essayer de calmer ce foutu manque ! Et je dois dire que c'est le paradis depuis une semaine, toutes ces pulsions ont disparues, je ne suis pas encore totalement rétabli évidement mais je me sens carrément plus indifférent à toutes ces substances et enfin prêt à en finir avec ce lexomil !
Le seul problème qui s'oppose à moi est que je n'ai pas travaillé bcp depuis quelques temps même si j'ai encore des économies de coté heureusement.
Et la j'ai eu une réponse pour les vendanges je commence jeudi. Seulement, voilà dans cette boite c'est 40h semaine je l'ai déjà fait la bas c'est vraiment hard. Puis bon même si la tentation disparait l'alcool est omniprésent et la dernière fois que je les ai faites à savoir l'année dernière j'ai quand même un peu consommé (un verre par ci par la) et j'avais recommencé a faire le con le week end pour évacuer la pression vraiment forte de ce travail (alcool rave party, fumette etc). Heureusement ca n'a pas duré, j'ai repris mon arrêt une fois ce travail fini sans trop de dommages mais quand même... Et je ne veux pas revivre ca maintenant que je suis si prêt du but ! Je sais que si j'y vais je vais devoir remettre mon sevrage en pause et j'en peux juste plus de faire ca à chaque fois;
Alors ma question est : dois je sauter enfin sur l'occasion et saisir une bonne fois pour toute cette oppotunité d'en finir avec le lexomil grâce à cette aide miraculeuse que m'apporte le baclo et miser sur les quelques entretiens pour des mi temps que j'ai eu même si c'est moins sur (tout en jouant un peu avec mes économies). Ou dois je sacrifier un peu mon sevrage encore une fois pour satisfaire mes parents et quand même gagner un peu plus de sous temporairement. Quitte a reprendre le sevrage après... A la limite je suis prêt à le faire j'ai juste peur d'être catalogué de feignasse qui veut pas bosser alors que c'est loin d'être le cas... Mais j'en peux plus je suis crevé et je veux m'en sortir.. L'occasion est juste trop belle. Voilà si vous pourriez m'aguiller.
Ah et pour le baclo j'ai augmenté progressivement, pour arriver à 40mg par jour. Mais par chance j'y suis super sensible ! L'effet est déjà dingue a cette dose ! Enfin dingue je m'entends mais c'est bcp plus facile de me passer de tout le reste quoi ! La dose est 10 matin 10 midi 20 soir
Et encore Merci à Karine pour son aide ! AInsi qu'à vous tous ! Et biensûr à notre gourrou Monsieur Oliver Ameisen
(humour, mais pas totalement faux il faut dire)
Bon alors je vais essayer de faire simple avec des mots bien choisis parceque c'est assez compliqué comme histoire ^^.
Tout d'abord, je me présente : Je suis un jeune homme de 24 ans, passionné par la vie, mais dépendant (très dépendant des anxiolytiques). J'ai une copine qui me soutien depuis 3 ans même si c'est parfois pas toujours simple (je pense créer un autre post a ce sujet car j'ai aussi un gros soucis par rapport à nous). Mais pour l'instant ce n'est pas le sujet.
Alors dans les détails techniques, j'ai carrément abusé sur l'alcool depuis 15-16 ans (fascinés par mes idoles du rock, en recherche de personnalité, manque de confiance etc etc...).
J'ai eu quelques traumatismes liés à la solitude, des accidents qui ont faillis être mortels à plusieurs reprises etc...)enfin bon pour quelqu'un de déjà assez timide et anxieux a la base ca a pas été simple.
Ma chance est cependant d'avoir eu de bons parents, d'avoir un physique plutôt correct, enfin j'entends par la que je n'ai jamais eu trop de problème avec les filles ce qui remontait quand même un peu ma confiance il faut bien le dire ! (même si ca durait pas toujours, justement à cause de ces soucis qui me rendaient un peu dépendant affectif aussi donc ca pouvait pas créer de relation saine si vous voyez ce que je veux dire. Au moindre pépin je me mettais dans tous mes états dans tous les sens du terme et m'infligeait une vraie torture..).
Bref je pense que vous situez le personnage. Puis j'ai rencontré ma copine actuelle un peu au moment ou je commencais vraiment a partir en vrille. Et je dois dire que les coups de tonneres qu'il y a eu entre nous ont reveillés peu a peu le Vrai moi. Sauf qu'il a fallu que je craque avant de m'en rendre compte... Et c'est précisément la que j'ai merdé en touchant au lexomil pour guerrir mes crises d'angoisses. Je suis alors allé de plus en plus en loin (jusquà 3 par jours mélangés à de l'alcool puis cannabis atarax etc...) ca a été la vraie dégringolade..
Du coup y a 2 ans à peu près j'ai décidé de me sevrer enfin de tout ca en même temps. Ca a pas été facile ca c'est sur mais j'en ai appris des tonnes et des tonnes sur le sujet. Il y a eu des arrêts brutaux, des kava, des rechuttes, des questionnements, des pauses etc... Jusqu'à en arriver à bout de l'alcool (je ne consomme plus depuis 1 an et demi), à ne plus être qu'à 1/4 de lexo par jour. Le dernier des derniers donc !
Et la surprise sur la fin qui me faisait bien galérer depuis qq mois, je rencontre par miracle le Baclo ! A la base dernierement je fumais encore un peu, prennais encore qq atarax ou donormyl de manière assez compulsives pour essayer de calmer ce foutu manque ! Et je dois dire que c'est le paradis depuis une semaine, toutes ces pulsions ont disparues, je ne suis pas encore totalement rétabli évidement mais je me sens carrément plus indifférent à toutes ces substances et enfin prêt à en finir avec ce lexomil !
Le seul problème qui s'oppose à moi est que je n'ai pas travaillé bcp depuis quelques temps même si j'ai encore des économies de coté heureusement.
Et la j'ai eu une réponse pour les vendanges je commence jeudi. Seulement, voilà dans cette boite c'est 40h semaine je l'ai déjà fait la bas c'est vraiment hard. Puis bon même si la tentation disparait l'alcool est omniprésent et la dernière fois que je les ai faites à savoir l'année dernière j'ai quand même un peu consommé (un verre par ci par la) et j'avais recommencé a faire le con le week end pour évacuer la pression vraiment forte de ce travail (alcool rave party, fumette etc). Heureusement ca n'a pas duré, j'ai repris mon arrêt une fois ce travail fini sans trop de dommages mais quand même... Et je ne veux pas revivre ca maintenant que je suis si prêt du but ! Je sais que si j'y vais je vais devoir remettre mon sevrage en pause et j'en peux juste plus de faire ca à chaque fois;
Alors ma question est : dois je sauter enfin sur l'occasion et saisir une bonne fois pour toute cette oppotunité d'en finir avec le lexomil grâce à cette aide miraculeuse que m'apporte le baclo et miser sur les quelques entretiens pour des mi temps que j'ai eu même si c'est moins sur (tout en jouant un peu avec mes économies). Ou dois je sacrifier un peu mon sevrage encore une fois pour satisfaire mes parents et quand même gagner un peu plus de sous temporairement. Quitte a reprendre le sevrage après... A la limite je suis prêt à le faire j'ai juste peur d'être catalogué de feignasse qui veut pas bosser alors que c'est loin d'être le cas... Mais j'en peux plus je suis crevé et je veux m'en sortir.. L'occasion est juste trop belle. Voilà si vous pourriez m'aguiller.
Ah et pour le baclo j'ai augmenté progressivement, pour arriver à 40mg par jour. Mais par chance j'y suis super sensible ! L'effet est déjà dingue a cette dose ! Enfin dingue je m'entends mais c'est bcp plus facile de me passer de tout le reste quoi ! La dose est 10 matin 10 midi 20 soir
Et encore Merci à Karine pour son aide ! AInsi qu'à vous tous ! Et biensûr à notre gourrou Monsieur Oliver Ameisen
