Bonsoir tout le monde,
Je vous explique le problème : il est de taille.
Voilà, je fais partie, moi et mon ami, d'une bande de gros fêtards. Les sorties ? Le vendredi, samedi, et très souvent même le dimanche soir (même si boulot le lendemain, on se contente d'un petit bar jusqu'à 1h du matin). Ho et puis parfois, le jeudi aussi. En fait toutes les occasions sont bonnes pour boire un coup.
Oui mais voilà, moi, au milieu, je ne contrôle plus rien. Eux, oui. Je bois sans pouvoir m'arrêter jusqu'à m' en rendre malade. Une pinte, deux pintes ? Rien du tout, c'est au moins 4 à 5 pintes minimum, et des pintes à 9°, siouplait !
La semaine, il m'arrive souvent d'avoir des cravings lorsque je suis seule (sans mon copain, donc) le soir uniquement. Quand je craque je file chez l'épicier du coin, j'achète une bouteille, je vide la moitié dans le lavabo (je culpabilise) et je sirote du vin jusqu'à l'heure du coucher, pour me "décontracter" et m'aider à dormir.
Vous l'aurez compris, je suis bien dans la m.... MAIS j'ai ma fierté, et surtout j'ai mes amis, mon ami, et je ne veux pas m'empêcher de sortir à cause de l'alcool. Sauf que TOUTES nos sorties sont alcoolisées, on habite en ville donc on va au bar. Fierté car j'ai pas envie qu'on sache que je prenne du Baclo (j'ai pas commencé, en fait le Baclo est dans mes placards depuis un an).
Me sentant totalement incapable de m'en sortir seule sans médicaments, j'aurais aimé savoir quelle serait la posologie à adapter pour m'empêcher de boire plus que de raison le week-end. Je peux par contre, me retenir la semaine, du moment que j'ai un petit calmant (somnifère ou autres).
Le problème que j'ai, c'est que l'alcool en semaine sert à me détendre, et l'alcool le week-end me file des euphories, me donner envie de rigoler, danser, etc... Cela fait bien longtemps que je n'en subit plus les mauvais effets le week-end (avant je faisais n'importe quoi, crises de larmes, hystéries, insultes, disputes) c'est limite pire car mon corps est devenu très résistant à l'alcool. Je suis perchée mais "cool" et plus "chiante" du tout. Désolée pour la forme, j'écris mieux que ça d'habitude mais lorsque j'évoque ce sujet c'est comme si tout me venait d'un coup et j'en oublie de reformuler mes phrases.
Je suis déjà arrivée à me retenir de boire lorsque je prenais du temesta (auto-médication, piquée chez ma grand-mère qui n'en prends plus depuis quelque temps, et il ne m'en reste plus qu'un) car je savais que mélanger l'alcool avec ça ne faisaient pas bon ménage. Si j'avais un médicament rigoureusement contre-indiqué avec l'alcool, je pourrais ne pas boire. Si j'avais un médicament qui me procurait autant d'euphories que l'alcool sans la gueule de bois du lendemain matin je serais la plus heureuse du monde, mais cela n'existe pas, sinon dîtes-le moi !
J'aimerais commencer le baclo, mais je ne peux pas me permettre de subir les effets indésirables avec mon boulot, donc il me faudrait une posologie légère et adaptée. Je ne suis suivie par aucun médecin, pour le moment.
Merci pour vos réponses, et surtout par pitié, ne me dîtes pas de changer mon style de vie et de ne plus sortir, car un week-end sans sortir avec mon ami et ses/mes copains : je peux pas. J'ai bien conscience que j'ai un problème avec l'alcool qu'eux n'ont pas, mais si se soigner c'est rester chez soi et éviter les tentations, alors tant pis, je vivrais pas longtemps.
Merci de m'avoir lue.
Je vous explique le problème : il est de taille.
Voilà, je fais partie, moi et mon ami, d'une bande de gros fêtards. Les sorties ? Le vendredi, samedi, et très souvent même le dimanche soir (même si boulot le lendemain, on se contente d'un petit bar jusqu'à 1h du matin). Ho et puis parfois, le jeudi aussi. En fait toutes les occasions sont bonnes pour boire un coup.
Oui mais voilà, moi, au milieu, je ne contrôle plus rien. Eux, oui. Je bois sans pouvoir m'arrêter jusqu'à m' en rendre malade. Une pinte, deux pintes ? Rien du tout, c'est au moins 4 à 5 pintes minimum, et des pintes à 9°, siouplait !
La semaine, il m'arrive souvent d'avoir des cravings lorsque je suis seule (sans mon copain, donc) le soir uniquement. Quand je craque je file chez l'épicier du coin, j'achète une bouteille, je vide la moitié dans le lavabo (je culpabilise) et je sirote du vin jusqu'à l'heure du coucher, pour me "décontracter" et m'aider à dormir.
Vous l'aurez compris, je suis bien dans la m.... MAIS j'ai ma fierté, et surtout j'ai mes amis, mon ami, et je ne veux pas m'empêcher de sortir à cause de l'alcool. Sauf que TOUTES nos sorties sont alcoolisées, on habite en ville donc on va au bar. Fierté car j'ai pas envie qu'on sache que je prenne du Baclo (j'ai pas commencé, en fait le Baclo est dans mes placards depuis un an).
Me sentant totalement incapable de m'en sortir seule sans médicaments, j'aurais aimé savoir quelle serait la posologie à adapter pour m'empêcher de boire plus que de raison le week-end. Je peux par contre, me retenir la semaine, du moment que j'ai un petit calmant (somnifère ou autres).
Le problème que j'ai, c'est que l'alcool en semaine sert à me détendre, et l'alcool le week-end me file des euphories, me donner envie de rigoler, danser, etc... Cela fait bien longtemps que je n'en subit plus les mauvais effets le week-end (avant je faisais n'importe quoi, crises de larmes, hystéries, insultes, disputes) c'est limite pire car mon corps est devenu très résistant à l'alcool. Je suis perchée mais "cool" et plus "chiante" du tout. Désolée pour la forme, j'écris mieux que ça d'habitude mais lorsque j'évoque ce sujet c'est comme si tout me venait d'un coup et j'en oublie de reformuler mes phrases.
Je suis déjà arrivée à me retenir de boire lorsque je prenais du temesta (auto-médication, piquée chez ma grand-mère qui n'en prends plus depuis quelque temps, et il ne m'en reste plus qu'un) car je savais que mélanger l'alcool avec ça ne faisaient pas bon ménage. Si j'avais un médicament rigoureusement contre-indiqué avec l'alcool, je pourrais ne pas boire. Si j'avais un médicament qui me procurait autant d'euphories que l'alcool sans la gueule de bois du lendemain matin je serais la plus heureuse du monde, mais cela n'existe pas, sinon dîtes-le moi !
J'aimerais commencer le baclo, mais je ne peux pas me permettre de subir les effets indésirables avec mon boulot, donc il me faudrait une posologie légère et adaptée. Je ne suis suivie par aucun médecin, pour le moment.
Merci pour vos réponses, et surtout par pitié, ne me dîtes pas de changer mon style de vie et de ne plus sortir, car un week-end sans sortir avec mon ami et ses/mes copains : je peux pas. J'ai bien conscience que j'ai un problème avec l'alcool qu'eux n'ont pas, mais si se soigner c'est rester chez soi et éviter les tentations, alors tant pis, je vivrais pas longtemps.
Merci de m'avoir lue.