Édouard, (C'est superbe un fossile

) par alcoolisme de complaisance j'entends retomber dans l'alcool alors qu'on a été indifférent. Pour l'entre ()Je ne parle pas guérison absolue de tous les alcooliques par le baclo, mais seulement de son parcours à lui.
Tu ne cessais de penser au baclo, lui l’évite délibérément, la différence est symptomatique et le final différent car si je ne m'abuse tu n'es pas ivre mort tous les soirs en ne prenant plus le médoc.
Bien vu pour la caution, peut être ai je besoin de vos réactions pour parvenir à briser ce cercle mortifère. Je me sens très coupable de ne pas trouver comment l'aider et très en colère contre lui de m'infliger cette culpabilité.
MM, tu ne postes jamais du vide, effectivement l’énergie que je libère pour lutter prend toute ma mémoire vive, les processus ne répondent plus, l'unité centrale fatigue, le système court à la "Fatal Error".
Joséphine tu as la voix de la raison, je me répète cela souvent. La solution est simple mais les imbrications psychologiques font que la mettre en œuvre parait insurmontable.
Hcat la discrète, merci pour ta gentillesse et le fil de Nanais.
J'ai beaucoup de mal à ne pas essayer de me mettre à sa place, à lâcher l'affaire. Un coté masochiste? Une volonté de le dominer en lui tenant la main pour guérir?
Depuis hier, parce que j'ai osé poster sur ce forum et grâce à vous qui m'avez répondu, je comprends que je me plante dans ce combat parce que je le mène comme s'il était le mien, comme si j'avais rechuté, comme si ses faux pas étaient un échec personnel.
Ceci dit, c'est quand mĂŞme la mouise
