01 Mars 2016, 22:38 Bonsoir a vous tous:)
je viens a la pêche au renseignements et demande l'aide d'autre personne dans le même cas que mois ou de médecin.
Tout commence avec des attaques de panique assez majestueuse. Étant jeune et en forme 17 ans a l'époque je réussi a contenir ces attaques et a vivre avec.
Un psychiatre a l'époque me prescrit un antidépresseur dont j'ai oublié le nom. Mai cela ne marche pas. Et j'abandonne vite.
Je commence a découvrir a cette époque le cannabis qui me soulage et me fait un bien fou.
Étant a l'époque en couple je consomme de manière raisonné puis suite a la rupture ma consommation de cannabis explose.
Jusqu'Ã 20 grammes jour.
Je passe alors deux années formidable entre mes 18 et 20 ans sous cannabis mais sans dépression ou attaque de panique que du bonheur!
Malheureusement un jour ce produit que j'utilisais pour me soigner ne marche plus!
Pire il me met encore plus mal( bad trip... et crise d'angoisse démultipliées)
je continue malgré tout pendant un ans d'essayer de fumer, je ne veut pas perdre un traitement efficace.
Mais impossible.
Je fait ce qu'on appel une bouffée délirante sans prise de cannabis.
j'arette pendant deux ans le cannabis.
On me mets alors sous anxio seresta et rivotril.
Ma consommation d'alcool explose de jour en jour comme ci les benzo attiraient l'alcool.
Je part vivre en Polynésie française ou l'alcool et très répandu
je calme alors les benzos mais je bois quasiment quotidienement et me mets régulièrement des cuite phénoménales.
Malgré tout je gère mes études et ma vie.
Je tombe alors trois fois dans les pommes on me diagnostic épileptique et on me traite a la depakine chrono.
pendans deux ans pour tout arrêté car il ne s'agit pas d'épilepsie après tout les test réalisé et je ne suis jamais retombé dans les vapes mais de malaise vagau du au stress.
Durant ce périple avant de quitté la Polynésie je refume du cannabis mais mon angoisse reviens au galot donc a la époque je me retrouve sous lysanxia et depakine 1000mg jour.
Je réussi a arrêter quelque temps le lysanxia mais on me passe sous efexor et seresta.
Ma consommation d' alcool augmente et je part en road trip 1 ans ou je me retrouve sous antidépresseur et depakine avec beaucoup d' alcool car j'ai économiser et je ne travail pas et je voyage et fait la fête.
Je ne prend alors plus de benzo ni de cannabis.
Je retourne vivre chez moi. ou je me remets a fumer du cannabis avec beaucoup d' alcool et du depakine 1000 mg jour.
On me fait arrêté la depakine car pas du tout épileptique.
Et je recommence a me tapé des bad trip au cannabis et des crise d'angoisse.
Suite a une nouvelle bouffe délirante sous cannabis cette fois on me passe sous efexor 75 et lysanxia puis on rajoute solian 100.
Mon état ce stabilise j'arette le cannabis.
Cela fait 3 ans sans cannabis, en revanche ma consommation d'alcool explose je suis a cette époque en couple.
J'essaye malgré tout de gèrer ma conso d'alcoo mai le lysanxia devient ma nouvelle drogue.
Acoutumence et dépendance total.
Je consulte mes ancien psychiatre et je vois des nouveaux leur diagnostic et clair aucun trouble mental.
Juste une hyper sensibilité qui induit des ataques de panique et des dépressions.
Je vois alors avec eux pour arrêté la médication ils sont tous d'accord et formel je peut m'en passé et j'en aurais pas besoin toute ma vie.
Devant faire un gros travail sur moi je quitte ma compagne et je me fait hospitaliser en clinique psychiatrique pour un sevrage au lysanxia et au solian en premier lieu.
Grave erreur je choisi un sevrage bloc (arrêt direct de tout sans pallier, méthode anglo-saxone) bref je déguste grave sale période rupture avec mon ex, decer dans la famille... je frise la folie.
Je reprend a faible dose les benzo mai je réussi a me séparé du solian.
Je vie une année difficile a savoir que je ne c'est pas si c'est la rupture amoureuse ou l'arrêt des benzos et du solian mai je déguste... idée noir et suicidaire...perte de poids...déréalisation..
je quitte mon chez moi pour venir vivre en Europe et rejoindre mon meilleures ami.
Je passe 8 mois a descendre par pallier mes dose de lysanxia. Je réussi. Je descend après mon effexor jusqu'à 0 .
Aujourd'hui j'ai un travail stable je suis épanoui et j'ai un rythme de vie descend et je ne prend plus de psychotrope légal...
Depuis deux mois et ça fait 8 mois que je les ai diminué de jour en jour.
Je vais de mieux en mieux et ma consolation de alcool qui était énorme a paradoxalement baissé avec mon arrêt de lefexor et du lysanxia.
Je suis persuadé que le lysanxia et leffexor appele lapetance pour l'alcool...
je ne me sent pas dépendants de l'alcool comme je les était au benzo ou au ad... car je peut et sa a était toujours le cas ne pas boire pendants plusieurs jours.
Et je bois que le soir. En revanche ma consommation et inquiétante.
J aimerai réglé tous ces problèmes avec ces drogue légal ou non ou même remboursé par la secu.
J'ai alors découvert depuis deux jour le balcofene qui marche pas mal surtout sur l'alcool pour le reste à part la cigarette j'ai arrêté mai je subit souvent des crise de manque de benzos ou d'AD... car le syndrome de sevrage avec ces cocheneries et long...
il y'a un effet rebont et miroirs très dur a encaissé.
Je vous écrit tout ça pour savoir si le balco peut m'aider pas que pour l'alcool mai aussi pour le reste même dans un cas de syndrome de sevrage prolongé car j'ai arrêté les benzo et et AD.
Ma posologie actuellement et de 40 mg de balco journalier et je gère avec une ou deux bière voir pas du tout et sans médoc.
Je ne veut pas devenir abstinant a l'alcool.
En revanche je veut être sur de ne pas retombé dans les médocs ou une conso exesive d'alcool;) et ci le balco peut aidé contre la cigarette au passage, Sa serai top.
Je ne demande pas un médicaments miracle et je c'est que beaucoup d'efforts seront a fait sa fait lomptemps que je fourni ces efforts et je ne veut pas arrêté.
Alors pouvais vous me faire votre retour d'expérience me conseillé si vous avai ou pas vécu la même chose.
Si possible me dire le dosage optimum de balco a prendre face a ces dépendances.
J'ai 26 ans et je c'est que je vais sortir de tout ça.
Mai si le balco peut aidé a que sa se passe en douceur je suis preneur. Je vous remerci.
Cordialement.
Mathist
Message édité 3 fois, dernière édition par Sylvie, 02 Mars 2016, 1:19
je viens a la pêche au renseignements et demande l'aide d'autre personne dans le même cas que mois ou de médecin.
Tout commence avec des attaques de panique assez majestueuse. Étant jeune et en forme 17 ans a l'époque je réussi a contenir ces attaques et a vivre avec.
Un psychiatre a l'époque me prescrit un antidépresseur dont j'ai oublié le nom. Mai cela ne marche pas. Et j'abandonne vite.
Je commence a découvrir a cette époque le cannabis qui me soulage et me fait un bien fou.
Étant a l'époque en couple je consomme de manière raisonné puis suite a la rupture ma consommation de cannabis explose.
Jusqu'Ã 20 grammes jour.
Je passe alors deux années formidable entre mes 18 et 20 ans sous cannabis mais sans dépression ou attaque de panique que du bonheur!
Malheureusement un jour ce produit que j'utilisais pour me soigner ne marche plus!
Pire il me met encore plus mal( bad trip... et crise d'angoisse démultipliées)
je continue malgré tout pendant un ans d'essayer de fumer, je ne veut pas perdre un traitement efficace.
Mais impossible.
Je fait ce qu'on appel une bouffée délirante sans prise de cannabis.
j'arette pendant deux ans le cannabis.
On me mets alors sous anxio seresta et rivotril.
Ma consommation d'alcool explose de jour en jour comme ci les benzo attiraient l'alcool.
Je part vivre en Polynésie française ou l'alcool et très répandu
je calme alors les benzos mais je bois quasiment quotidienement et me mets régulièrement des cuite phénoménales.
Malgré tout je gère mes études et ma vie.
Je tombe alors trois fois dans les pommes on me diagnostic épileptique et on me traite a la depakine chrono.
pendans deux ans pour tout arrêté car il ne s'agit pas d'épilepsie après tout les test réalisé et je ne suis jamais retombé dans les vapes mais de malaise vagau du au stress.
Durant ce périple avant de quitté la Polynésie je refume du cannabis mais mon angoisse reviens au galot donc a la époque je me retrouve sous lysanxia et depakine 1000mg jour.
Je réussi a arrêter quelque temps le lysanxia mais on me passe sous efexor et seresta.
Ma consommation d' alcool augmente et je part en road trip 1 ans ou je me retrouve sous antidépresseur et depakine avec beaucoup d' alcool car j'ai économiser et je ne travail pas et je voyage et fait la fête.
Je ne prend alors plus de benzo ni de cannabis.
Je retourne vivre chez moi. ou je me remets a fumer du cannabis avec beaucoup d' alcool et du depakine 1000 mg jour.
On me fait arrêté la depakine car pas du tout épileptique.
Et je recommence a me tapé des bad trip au cannabis et des crise d'angoisse.
Suite a une nouvelle bouffe délirante sous cannabis cette fois on me passe sous efexor 75 et lysanxia puis on rajoute solian 100.
Mon état ce stabilise j'arette le cannabis.
Cela fait 3 ans sans cannabis, en revanche ma consommation d'alcool explose je suis a cette époque en couple.
J'essaye malgré tout de gèrer ma conso d'alcoo mai le lysanxia devient ma nouvelle drogue.
Acoutumence et dépendance total.
Je consulte mes ancien psychiatre et je vois des nouveaux leur diagnostic et clair aucun trouble mental.
Juste une hyper sensibilité qui induit des ataques de panique et des dépressions.
Je vois alors avec eux pour arrêté la médication ils sont tous d'accord et formel je peut m'en passé et j'en aurais pas besoin toute ma vie.
Devant faire un gros travail sur moi je quitte ma compagne et je me fait hospitaliser en clinique psychiatrique pour un sevrage au lysanxia et au solian en premier lieu.
Grave erreur je choisi un sevrage bloc (arrêt direct de tout sans pallier, méthode anglo-saxone) bref je déguste grave sale période rupture avec mon ex, decer dans la famille... je frise la folie.
Je reprend a faible dose les benzo mai je réussi a me séparé du solian.
Je vie une année difficile a savoir que je ne c'est pas si c'est la rupture amoureuse ou l'arrêt des benzos et du solian mai je déguste... idée noir et suicidaire...perte de poids...déréalisation..
je quitte mon chez moi pour venir vivre en Europe et rejoindre mon meilleures ami.
Je passe 8 mois a descendre par pallier mes dose de lysanxia. Je réussi. Je descend après mon effexor jusqu'à 0 .
Aujourd'hui j'ai un travail stable je suis épanoui et j'ai un rythme de vie descend et je ne prend plus de psychotrope légal...
Depuis deux mois et ça fait 8 mois que je les ai diminué de jour en jour.
Je vais de mieux en mieux et ma consolation de alcool qui était énorme a paradoxalement baissé avec mon arrêt de lefexor et du lysanxia.
Je suis persuadé que le lysanxia et leffexor appele lapetance pour l'alcool...
je ne me sent pas dépendants de l'alcool comme je les était au benzo ou au ad... car je peut et sa a était toujours le cas ne pas boire pendants plusieurs jours.
Et je bois que le soir. En revanche ma consommation et inquiétante.
J aimerai réglé tous ces problèmes avec ces drogue légal ou non ou même remboursé par la secu.
J'ai alors découvert depuis deux jour le balcofene qui marche pas mal surtout sur l'alcool pour le reste à part la cigarette j'ai arrêté mai je subit souvent des crise de manque de benzos ou d'AD... car le syndrome de sevrage avec ces cocheneries et long...
il y'a un effet rebont et miroirs très dur a encaissé.
Je vous écrit tout ça pour savoir si le balco peut m'aider pas que pour l'alcool mai aussi pour le reste même dans un cas de syndrome de sevrage prolongé car j'ai arrêté les benzo et et AD.
Ma posologie actuellement et de 40 mg de balco journalier et je gère avec une ou deux bière voir pas du tout et sans médoc.
Je ne veut pas devenir abstinant a l'alcool.
En revanche je veut être sur de ne pas retombé dans les médocs ou une conso exesive d'alcool;) et ci le balco peut aidé contre la cigarette au passage, Sa serai top.
Je ne demande pas un médicaments miracle et je c'est que beaucoup d'efforts seront a fait sa fait lomptemps que je fourni ces efforts et je ne veut pas arrêté.
Alors pouvais vous me faire votre retour d'expérience me conseillé si vous avai ou pas vécu la même chose.
Si possible me dire le dosage optimum de balco a prendre face a ces dépendances.
J'ai 26 ans et je c'est que je vais sortir de tout ça.
Mai si le balco peut aidé a que sa se passe en douceur je suis preneur. Je vous remerci.
Cordialement.
Mathist
