Bonjour
Alcolo-dépendant solitaire depuis longtemps (la bière), on peut dire un parcours classique: perte d'estime de soi, anxiété rebond, désocialisation, perte d'emploi... bref cercle vicieux.
Ce que dit Olivier Ameisen dans une conférence m'a fait réagir: en substance "
soit je me regarde mourir, soit je me dis non, c'est trop con, puisqu'il y a une guérison possible avec le baclo".
J'ai donc entamé un traitement et d'abord en retrouvant un médecin généraliste de référence... et expérimentée en baclo.
J'ai donc entamé le traitement ce lundi 15 février et j'aborde donc ma troisième semaine.
En coprescription, j'ai un traitement AD (escitalopram 10 mg); befact forte, tiapride (3*100mg) et diazepam selon besoin.
Le but est le sevrage.
Voici où j'en suis: 4 * 25 mg


[img]http://img15.hostingpics.net/thumbs/mini_921640160301.jpg" />" alt="http://img15.hostingpics.net/thumbs/mini_921640160301.jpg" alt="
[img]http://img15.hostingpics.net/thumbs/mini_921640160301.jpg" />" />
Je bois encore, un peu moins, c'est déjà moins compulsif je crois.
Mais je ne me sens pas bien, ces jours-ci, même si je ne ressens aucun des ES classiques du baclo, sinon un peu de perte d'attention et de somnolence et un appétit en berne.
J'alterne des nuits sans problèmes et des nuits problématiques (cauchemars, insomnie partielle).
Il faut être patient et discipliné, je sais ! Cette pensée compense les mouvements de découragement.
Là, après 2 semaines, je pense que l'effet de l'AD va tout doucement se mettre en place. Et que j'arrive à des doses de baclo significatives et effectives.
Je compense par une augmentation de mon tabagisme.... si vous avez des astuces pour contrer cela, ce serait bienvenu.
Bravo et merci pour ce site.