Nous autres, gens d'esprit... voila un pluriel bien singulier.

Cela peut perturber voir agacer certains liseurs.

Yakovlev
J'ai bien cherché, j'ai pu constater que ton fil était ici, juste bravo pour ton indifférence!!!

Et il y aurait de quoi être agacé, "Nous autres", "Vous autres"...

Ce cercle serait effrayant s'il fallait forcement y dire des choses hors du commun.

Lee,

Tu es dans le tempo.
Relis le premier post du cercle des poètes maudits.

J'ai déboulé un couloir en vélo ski.

J'ai pensé a toi Yako.

Les bosses m'ont mis dans la tambouille et j'ai pris mon adrénaline. Une addiction, qui certes est hors
normes mais celle la est jouissive de part sa conscience.

Prend garde a toi.

De mes nouvelles:

ici

bizarrement, je tiens le choc. Avec des hauts et des bas.
En palmant fort, les narines restent au dessus de l'eau.

ça baigne en somme.

" Il faut être ivre, tout est la, c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps
qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.


Mais de quoi? De vin, de poésie, ou de vertu a votre guise, mais enivrez vous. "

Question pour un alcoolique. Qui a plumé ces mots ?

A méditer.

Bien a vous.

Perché tout haut, parmi ces cimes monacales, je n'ai aucun crainte sur la nature de ton choix mon cher Tristan.
Va en paix et profite.

Merci, Lee

J'aime Baudelaire, et cette intensité de Serge a le prononcé me tambouille.

Eh, Lee ! Je regarde et j'écoute et je larme.......

Edouard,

Ami, tu vois juste.

Les cimes me donnent les prémices de la sérénité, si tenté quelle existe.

Moi aussi je "larme" de rire, en constatant la différence de propos entre ici et le Mp dans lequel tu me demandes de virer le son.

Bon faut rire ou pleurer, los otros?

https://www.youtube.com/result...s+porque+te+vas

fort bien,Loulou 27' 9 le matin.

Tu caches ton age par pseudo, mais peu m'importe. Il en importe a toi.

Tu es dans l'ambiance bibliothécaire....

Alors, " Rire en pleurs " Andromaque.

Cherche dans les étagères et après, charge a toi de te trouver dans cette écriture.

Je te Racine.

Le gargarisme pseudo littéraire, l'ego en fond toujours sous jasent, demeurent à l'opposé de l'humilité.

Mais, certain(e)s en font un moteur d'existence égotique.

Faut-il les blâmer ?
Bien au contraire, encourageons les en ce sens.

Le bonheur et motivations d'autrui, parfois à l'opposé des nôtres, ne dois surtout pas être freiné.

A chacun(e) de faire un tri sélectif.
Comme chaque matin lorsque nous descendons nos poubelles.

L'ampoulage comporte ses propres limites

........

Et si tu traduisais tes posts en "français normal" Indifférence totale, à savoir dans un style pas trop ampoulé et compréhensible par le commun des mortels, peut-être pourrions-nous déceler dans tes propos une once d'intelligence à laquelle nous aimerions répondre.
Qui sait ?

Flo

Et surtout se souvenir qu'indifférence rime avec tolérance.

Tudieu,

" L'ampoulage. "

Te serais t-il aisé avec tes compétences de disserter sur ce mot.

Pour l'instant, je suis a la ferme.

PS: Copie Larousse et le Petit Robert

Tristan,

Ampoulage est très certainement un terme excessif de concernant ?

Réponse sur mon fil.

Un hymne musical très poétique pour celles et ceux qui croient encore en l'Amour :

https://www.youtube.com/watch?v=Ns9YYSqLxyI

Lulu a

Lulu a dix ans déjà,
Lulu a dix années là bas.
Dix années de colère,
Dix années de misère,
Lucile, poussière d’ange et loin de toi.

Au creux de ton âme en dérive coule son sang,
Tes sanglots en déveine assèchent ton cœur lent.
Ses yeux cristallins derrière leurs paupières closes
Voient ici bas ta peine et le pourquoi des choses.
Toi tu voudrais bien n’être plus, ou être ailleurs,
Quitter la terre, être plus près de sa candeur,
Mais où te trouvera-t-elle si tu t’es perdu ?
Car elle suit tous tes pas, même si les siens sont tus.

Lulu a des années sans toi,
Lulu a sa peau dans tes bras.
Des années de lumière,
Des années de mystère,
Lucile, gracile archange crois en toi.

Si dans le preux combat de sa pesante absence,
Soldat en vaine lutte, tu te vois désarmé,
Ecoute-la tout doux te dire sa confiance,
Ton glaive dans cette lascive guerre, c’est accepter.
Son frêle petit corps las réchauffe l’éther
De là bas elle te scrute, et te vois batailler.
Elle, ton astre, ton étoile, ton soleil, espère,
D’un endroit où la lune n’influe pas les marées.

Lulu a tant d’années de là,
Lulu a sa mort sur ta croix.
Des états d’homme en berne,
Des larmes et de la bière,
Lucile, fragile mélange de peine et de joie.

Mais rien ne s’échange ici bas.
La vie c’est tout ça, n’oublies pas.
Et si tu te manques d’elle, ne te manque pas à toi, car Lulu a…

Déjà décédé par 2 fois. Et toujours debout, bien vivant.
L'existence ne peut m'être qu'un bonus heureux subtil et précieux.,

le bouddhisme en qualité philosophique, non religieuse, la croyance en la réincarnation,le Karma, le Darma, permet à l'individu une existence humble, sincère,authentique et heureuse.
A partir de là, vivre, sans avoir la peur de mourir, est un bonheur permanent.

Tristan et Stéphane, j'adore votre duo comique. Une tournée est prévue?

Parait qu'il faut pas poèter plus haut que son luth, c'est injuste, vous le faites avec beaucoup de talent,
impossible pour moi de vous départager.

Chère Lee,

Tristan sublime les pérégrinations avec un certain "talent".
Alors que l'humilité est désormais mon moteur.

Donc, ne pas chercher à départager est sage !

On peut être humble et avoir du talent, et ne pas en avoir et se la péter.
Ce qui est sage dans ce dernier cas, c'est de la fermer.

Flo

Se la fermer de son ton professoral et didactique me semble juste !!!

Ici, est un espace de libre expression.

Ne viens plus me chercher Flo, car je vais te moucher avec tacte ;-)

sans "e" please !!

Chère LooLOOOLoooote,

Peu importe le "e" pourvu que le message soit clair ;-)

Nous avons voulu ce cercle avec des potes, il y a un temps, pour échanger des propos sereins.

Des propos, hors ceux que nous avions dans nos propres fils.

Certes,ici , l'expression est libre si tentée qu'elle soit " classieuse ".

Faute de quoi, il reste a tout a chacun la rue.. pour vociférer.

Bonsoir YAKOVLEV
j'aimerai VRAIMENT de tes nouvelles
"cérébrales"
entre autre.

Ou en est tu ma belle ?
En palmant fort tu gardes encore les narines au dessus de l'eau?

Je souhaite fortement avoir des nouvelles de ta santé, chérie.

Je te le repète,

Je suis YAKOVLOVE de toi ma poétesse.

T'embrasse très fort my dear.Lou.

J'aime bien ce fil ,,, une envolée spirituelle/poétique

Moi je bois ,,

Parce que je vis dans un monde où tu ne me vois pas

Parce que je vis dans un monde où tu me sauvera pas

Parce que tu es retourné à la terre, avant moi !

je survis seul ,,, sans toi !


C,,,

Boubou,

merci de ton élan envers et par devers le cercle.

Te sauver ? Non, j' ai eu tant de mal a me " Dépieuvrer " que je ne saurais donné conseil a autrui.

Il est des mots qui me besognent: " On est savant quand on boit bien. Qui ne sait boire ne sait rien. "

Tudieu, ces mots, je les triture a, l'horizontal, la vertical, l'oblique, l'envers et ils m'interpellent.

Bien a toi.

Tu as un, ou des enfants ???

Sajama,

Il m'a semblé être plausible.

Ton agressivité devient Ubuesque dans le cercle.

Charge a toi de t'évincer pour ne point approfondir une situation clownesque qui pourrait te nuire sur
ce forum.

Te remerciant pour la célérité de ton ............................

.....indifférence.
Tout est dans le lâcher prise. Comme finalement se montrer la bouille, dans un mélange de satisfaction, d'humilité, et de partage.

Ecco !

Des propos nocturnes.

Certes pas réjouissants mais ils me sont dors et dèjâ.

J'ai ce sentiment que l'alcoolisme, comme la mort ne peut être vaincue.
Non point que je sois chimiquement revenu a mes addictions mais j'ai un malaise avec l'après.

J'ai souvenir des combats passés avec mon ami-ennemi Baclo et je me surprend a mal vivre l'après.

C'est une suite, un engrenage qui me conduit a hiberner mes folies d'antan.

Le temps qu'il me reste a vivre m'éjacule vers cette inspiration perdu, mais je tente de me persuader
que l'age apporte la conscience de la relativité des choses.

Tudieu! Ou est tu beauté tendancieuse de mes tourments?

Un bon coup de morphine a écrire mais de la souffrance a relire.

Yako,

C'est quand tu veux.

J'attends.

J'aime le cercle on ne fini jamais d'en faire le tour.
J'aime les poètes, ils disent des choses avec des mots qui veulent en dire d'autres.
J'aime le mot dit, il n'est plus à dire.

Jack,

J'apprécie ce que tu dis des mots en maux.

Ici , dans le cercle, on est en annexe du forum et on écrit des mots qui nous parle et que d'autres
auraient l'instant envie de s'approprier.

Bienvenue a toi.

Salut 17, salut Frankolo,

On est fort bien chez nous dans le cercle.
Dans la taverne, on pose, on cite, on récite.

" Moi, je buvais comme un extravagant,dans son oeil, ciel livide ou germe l'ouragan,
la douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Les Fleurs du Mal.

Salut Jack,

J'étais en phase avec les deux guenilles et je t'ai raté dans le propos.
Mes excuses.

Sache que tu es le bienvenu chez nous a la taverne.

Eh! Frankolo,

Tu peux passer a la taverne.

Souviens toi, porte toujours ouverte, surtout pas de clés.

Bref, si tu vadrouilles dans les environs...........

Voilà un cercle où on dit des choses plus grosses que la terre, où on s'engueule ou on s'envole.
Il reste Loulou (que je découvre plus bavarde qu'aujourd'hui), Lee Vair et Flo mais les autres, y sont passés où?
J'espère que l'alcool leur a lâché les baskets et qu'ils ont une bonne raison de ne pas revenir...

Nous étions plusieurs a la taverne. Du jour au lendemain, un plat de champignon me laissa seul a table.

Je me méfie toujours des plats de champignons. Une bonne ou mauvaise surprise n'est jamais si loin.

Maintenant digéré, le forum et plus précisément moi aimeraient en savoir un peu plus.

je tente de me souvenir. Certaines de mes neurones étant en jachère .....


J'ai un retour. Il n'y avait qu'un seul champignon sur le plat.

Pour qui ? Pour quoi ?

Le carpophore n'a pas oublié son mycélium.
Bises

Et pour un avion sans ailes, la porte est-elle toujours ouverte ?

reçu il y a quelques temps une invitation linkedin d'un certain Tristan. Sur une de mes adresses mail disons "dépersonnalisée".

Tu as dû te demander comment tu pouvais connaître cet obscur infographiste dont l'activité sur le réseau est plus que nulle.

Pour vivre heureux, vivons cachés.

Paul Lipschitz.