Aurel
En tant qu'enfant de parents qui se disputaient sans cesse, mon père qui rabaissait ma mère et lui interdisait d'avoir une vie à elle, je peux te dire que j'aurais aimé qu'ils divorcent il y a bien longtemps
J'ai porté cette souffrance très longtemps, jusqu'à ce que ma mère trouve un compagnon après le décès de mon père, donc jusqu'à mes 43 ans en gros, sans parler des séances psy et autres AD pour faire taire les cris et les menaces dans ma tête
Ce qui illustre le plus ta situation, c'est qu'il t'efface, et parle à ton fils que l'école c'est des conneries, que ce que tu lui dis, ce sont des conneries, tu parles d'un bon père, et comme compagnon, tu n'as pas à subir cela
Maintenant que tu es guérie, il reste un mal-être avec cette situation justement, un contrôle de toi (vomir), car tu ne contrôles pas ce problème-lÃ
On ne peut pas tout changer d'un coup, tu t'es déjà occupée de ton TCA, maintenant tu y es, et tu vois peut-être pourquoi tu avais ce refuge (en plus de la maladie neuro)
Parler et changer quelqu'un, c'est une utopie, il aurait changé au fil des années, avec l'éducation des enfants, c'est encore plus flagrant
Courage
Manue
Rechute depuis 2013, début du baclo, dose maximum atteinte 330 mg, dose de déclenchement 290 mg, de longs paliers à 190 mg, puis 120, bref, aujourd'hui à 50 mg, dose de confort depuis plus d'un an, plus d'excès d'alcool, 0 consommation en solo, quelques verres en famille une fois par an, sur deux ou trois jours, et encore... objectif atteint, en 7 ans... alors patience ;-)