Rigolo
MM, ce lapsus "Frigolin" Ă la place de "Figolin".
Mais c'est vrai que ce post faisait un peu froid dans le dos...
Tu as raison
Sandrine, passons Ă autre chose.
Pas certaine d'avoir tout pigé
Martha.
Et sinon, de mémoire de Flo, du jamais vu...
Je n'aime pas l'eau, sauf lorsque je me lave les dents.
En dehors des repas, c'est soit café soit jus de fruits, et pendant les repas, c'est soit bière, soit cidre, soit vin, mais surtout pas de boissons sucrées.
Un repas Ă l'eau pour moi, c'est comme un texte sans ponctuation.
J'ai besoin de boire quelque chose qui a du goût pour apprécier les aliments que je mange.
Il ne m'en faut pas beaucoup, de même qu'on n'écrit pas un texte avec uniquement des points et des virgules.
C'est la ponctuation qui met en valeur le texte, mais il ne saurait se passer de mots.
Hier soir, j'ai mangé chez mon frangin.
Invitée, passant la nuit chez lui, je me suis permis l'alcool sans modération.
Un Ricard très raisonnable à l'apéro, un peu de vin pendant le repas.
Sauf qu'Ă peine fini ce repas, une vraie grande soif.
Envie de boire quelque chose à grandes gorgées.
Pas de jus de fruits bien entendu, mais à part ça, pas de bière, pas de cidre et seulement du vin.
Il m'est impossible de boire du vin à grandes gorgées.
Je n'ai jamais aimé ça.
De mĂŞme que je mets un temps fou Ă boire mon pastis sec.
Jamais eu envie de boire vite, mĂŞme lorsque je m'enfilais un bon quart de litre de pastis avant le repas.
Le binge drinking, ça n'a jamais été mon truc.
Ça me dépasse.
Et donc, ce que j'ai fait hier soir, c'est que je me suis avalé plusieurs grands verres d'eau pour étancher ma soif et j'ai fini par un fond de verre de vin pour oublier cette eau.
Je n'avais jamais fait ça !
Jamais !
Ce soir, pastis à volonté puisque samedi soir.
J'ai bu un peu plus d'une dose de bar.
Ensuite, bière sans alcool pour le repas, mais avant la fin de celui-ci, à nouveau une grande grande soif.
J'aurais pu me prendre une seconde bière sans alcool mais ça ne me disait rien.
J'ai abrégé mon repas, bu mon café et j'ai embrayé sur du jus de fruits.
Je ne sais pas de quoi sera fait demain, avec encore pastis à volonté pour le midi, mais ça ne me tracasse pas.
Je suis passée à 200 mg aujourd'hui car je poursuis mon augmentation de 10 mg tous les 3 jours, tout pendant que je tiens le coup.
Ça commence à devenir assez hard du point de vue des EI : mon quintet qui joue de plus en plus fort, narcolepsie (toujours précédée de signes avant coureurs heureusement), gros gros coups de pompes et décharges électriques dans les doigts de plus en plus fortes et fréquentes.
Mais je gère pas trop mal parce que je n'ai pas beaucoup de contraintes et que je commence quand même à avoir l'habitude de ces désagréments.
Côté polynévrite, là , ça se gâte carrément.
Envie parfois de m'arracher les pieds.
Vu mon psy cet aprèm, je repars pour un mois d'injections quotidiennes.
J'avais 2 ampoules de 2 ml avant, par injection, je vais passer Ă 3 soit 6 ml.
Je m'attends à devoir serrer un peu les dents et peut-être devoir rester un peu allongée après chaque injection.
Sur les 3 infirmiers qui viennent, y en a un qui ne me fait jamais mal.
Les deux autres, ça dépend des fois.
Autrement ils sont tous aussi sympas les uns que les autres et on a pas mal d'échanges sur pas mal de sujets.
On fait aussi des échanges de bouquins, de légumes, de plantes etc.
Donc, pas très contraignant pour moi, juste la douleur que j'appréhende un peu parfois mais c'est ça ou les douleurs de la polynévrite alors...