Je pense qu'au fond tu as trouvé où se trouve ton mal être.
Quand on est mal, les gens ne viennent pas vers nous, on a l'impression d'être une merde à leurs yeux, alors qu'il suffirait d'aller mieux.
Mais comment faire?
Bin faut aller mieux.
Mais comment faire, parce que quand notre machine est déréglée, on a beau se forcer, chasse le naturel, il revient au galop.
Souvent, ce n'est pas dans notre nature d'aller mal, mais la façon qu'a notre cerveau d'interpréter ce que l'on voir, ce qu'on ressent, ce qu'on nous dit et du coup, la déprime s'installe.
Comme tu le dit, c'est confortable de flemmarder, même en arrêt maladie ou autre situation, mais on a l'impression de se désociaboliser, comme une honte qui s'installe.
Faut pas, mais plus facile à dire qu'à faire.
Par contre, il est vrai que de travailler sur notre comportement avec les autres, accepter les différences, se forcer à sortir, quitter le canaper même si nous n'en avons pas envie, en se trouvant toujours un prétexte pour rester à la maison, ce n'est pas le bon plan.
Dans le cadre de mon travail, j'avais suivis des "cours de PNL" (programmation neuro-linguistique), j'ai trouvé ça intéressant!
L'alcoolisme est une maladie?
Dans ce cas, je me sentirai soulagé.