J'ai appris aujourd'hui


Que Claude était décédée le O6/09/2016

(jour de mon anniversaire
jour de mes 45 ans, où je me sentais tellement bien )


Je suis passée de tant d'occasions de la rencontrer
de tant d'invitations que cette femme généreuse
me proposaient....



J'ai appris aujourd'hui

que je devrais dire OFFICIELLEMENT
aux personnes qui me marquent , me touchent
que quand leurs mots me bouleversent,
je devrais m'exprimer...

plutôt que de lire en silence,
plutôt que d'approuver sans mots.

Je dis, je devrais faire,
je vais essayer....


en attendant cette chanson

https://www.youtube.com/watch?v=dhqiRGFt-9M

La flamme s’éteint sans préavis.

Je suis tellement d'accord avec toi Fripoune.
On devrait dire, communiquer, partager quand l'instant se présente.
On devrait mais sans cette sorte de croyance en l'immuabilité des gens et des choses on serait des lapins effrayés et en méfiance constante.

Un décès soudain et le monde bascule, on se remet en question, on est si peu ainsi que tout le moche qui nous pèse et le beau qui nous porte.
La claque d'une mort inattendue est un reset qui permet de relativiser.

Je ne l'ai pas appris aujourd'hui mais ressenti, oh ça oui!

je traine ce soir, je lis ce post sur Claude, j'allais parler de choses d'aujourd'hui, mais

Je dirais juste que j'ai aimé son passage, chacun met ce qu'il veut dans la notion d'aimer.
J'y met la mienne et son impermanence, cette fugacité, cette certitude que tout n'est qu'instant.

Salut Claude...

Ce que j'ai appris aujourd'hui c'est :

Qu'il était divinement bon de sentir la chaleur tiède du radiateur sur mon dos.
De tourner ce bouton avec facilité.

Cela me rappelle un psy qui me disait : "Mr Aime_Aime plutôt que de maudire l'obscurité, allumez donc une chandelle" (Confucius)
Cela me rappelle ces longs hivers où je ne pouvais pas vraiment me chauffer

Cela m'appelle et me dit que mon chemin est bien celui sur lequel je suis.

J'ai appris que la vie ne faisait pas de cadeau loin de là, c'est une belle salope

Aujourd'hui j'ai appris qu'il était bon de recevoir des compliments, que cela était agréable, faisait naturellement du bien, que finalement je suis à même d'y ressentir du plaisir.

On peut ce retrouver comme un cavalier sans tête, l'avoir perdu en chemin par excès de conneries, manquement a la parole donnée et tant d'autres choses mais voilà j'ai appris qu'il y en a des sournois qui réapparaissent car ils entrevoient une ouverture qui était plus ou moins fermée avant.

Si seulement il était simple d'accepter les choses .

J'ai appris y a pas longtemps que, contrairement à ce que je pensais, j'étais pas complètement morte à l'intérieur.
Juste indisponible...

j'ai appris que.... j'ai compris à mes dépens que:


je ne comprends pas grand-chose à la nature humaine

tu accordes ton soutien,
ta confiance,
ta disponibilité (au-delà du commun)

à une personne (à laquelle tu n'as jamais rien demandé)

tu lui dis : "je m'absente un peu"
géographiquement parlant avec des obligations sociales

et (patatras) elle te dit : je ne te crois pas

et moi je crois rêver,
faut bien rêver de temps en temps

mais il y a rêves et rêves

À l'instar des petits ruisseaux qui font les grandes rivières, j'ai appris aujourd'hui que ce sont les petites anecdotes qui font les grandes histoires, voire LA grande Histoire.

Regardez par exemple ce qu'aurait pu être l'histoire, si Hitler avait été reçu aux beaux arts.
C'est ce qui est décrit dans ce merveilleux bouquin d'Éric-Emmanuel Schmitt : La part de l'autre.

Bouquin que LEE et moi avons d'ailleurs toutes les deux beaucoup apprécié.

Oups, j'ai encore écris trop vite, du coup je n'étais pas clair, je reparlerais peut être de se sujet mais sur mon fil pour ne pas déranger

Tu vois Lolo que je n'est pas toujours un belle plume

LAS,

tout comme moi, comme nous tous, tu es une plume parmi

d'autres, et il y a toute sorte de plumes

il y a le duvet, tout doux et puis il y a les plumes

plus ou moins acérées, peu importe

viens t'exprimer ici, tu n'as rien à y perdre

Je le pressentais déjà depuis longtemps (j'en avais d'ailleurs déjà parlé sur mon fil) mais ça m'apparaît comme une évidence aujourd'hui, j'ai enfin trouvé une des principales raisons qui ont fait de moi une alcoolique et la raison pour laquelle j'ai encore une consommation résiduelle actuellement, c'est mon amour immodéré de la montée en moi du désir plus encore que l'aboutissement de ce désir.
Cela dit, si j'aime ce désir, ce n'est que lorsque je peux m'assurer qu'il sera accompli à un moment donné.

Donc en gros, je suis trop patiente (et dans les deux sens du terme à savoir "patiente" sur le plan médical et sur ce que beaucoup croient être une qualité, mais que je ressens comme un défaut lorsque c'est à l'excès).
Bref, ce que j'aime avec l'alcool, c'est cette montée du désir en moi.
Avant le Baclo, j'aimais repousser mon premier verre car je savais que j'allais pouvoir satisfaire mon désir.
Probablement que c'était alors une sorte de compensation par rapport à ma vie que j'estimais avoir ratée sur pas mal d'autres plans.
La satisfaction de ce désir-là m'était facile à obtenir, contrairement à un tas d'autres pour lesquelles je n'y parvenais pas.
De même, si je m'accroche encore à cette consommation résiduelle, c'est parce qu'elle me permet de jouir encore de cette attente dont j'ai du mal à me passer.

Je fonctionne de la sorte avec l'amour.
Je suis déjà tombée amoureuse de quelqu'un qui habitait en Algérie et d'un autre à Tahiti, sans pouvoir "conclure".
Tout était bon à part ne pas me trouver confrontée à une absence de désir amoureux.
Ce vide, cette non-envie d'un homme m'est tout simplement insupportable.
J'ai toujours tout fait pour éviter de m'y trouver confrontée.

Donc oui, j'ai appris aujourd'hui ce que j'ai cherché pendant tant de temps, à savoir la cause principale de mon alcoolisme et celle qui encore actuellement m'empêche de divorcer de l'alcool une bonne fois pour toutes.
C'est la peur du manque de manque, comme je l'ai déjà évoquée bien avant.

Édit : Je fonctionne de la sorte avec l'amour, qu'il soit physique ou psychique.

"C'est la peur du manque de manque"

Donc puis je traduire par la nécessite d'une frustration ?

Frustration pouvant parfois être comblée, par exemple pour l'alcool moins pour tes relations longues distances

Pas tout à fait MM, puisque cette amour du désir, je ne l'ai plus du tout lorsque je suis persuadée qu'il ne débouchera pas sur un accomplissement.
Dans ce cas, la frustration me devient insupportable.
C'est une condition sine qua non de mon acceptation de la frustration.

HUm ...

Et donc pour ces relations longues distances, c'est une exception ? vu qu'il n'y a pas eu d'accomplissement.

C'est un tantinet SM ton truc
Tu sais que tu me plait

Non, car j'avais bon espoir que cela se concrétise.
J'ai d'ailleurs failli aller en Algérie.
Ce n'est qun mauvais concours de circonstances qui m'en avait détournée.
Mais je m'étais fait faire un passeport à cette fin et malgré la complexité de la tâche, j'avais aussi mon visa en poche.
Quant à Tahiti, ce n'est que le fait que mon "amoureux" se soit retrouvé en couple qui m'a fait baisser les bras.
Jusque là, j'avais tout fait pour me donner les moyens que le rapprochement se fasse.
Ce n'est qu'a posteriori que j'ai dû constater que ça ne le ferait pas.
Et depuis, je n'ai plus eu d'envies à leur égard.

Le seul truc pour lequel j'ai été vraiment frustrée, c'est à cause du Baclo et concernant l'amour physique.
Le Baclo, m'apportait plus de désir, mais moins de satisfaction de ce désir.
J'ai constaté ce désordre chez plusieurs membres masculins ici.
J'ai même eu droit à ce fameux syndrome d'excitation génitale persistante qui peut paraître enviable vu de l'extérieur mais qui peut mener au suicicide quand on est concernée tellement c'est insupportable.
Chez les femmes, on en n'en parle pas mais c'est peut-être parce qu'elles n'osent pas.

Heureusement, je sais par expérience qu'un moindre dosage de Baclo vient à bout de ce désordre de la libido (hormis le SEGP qui peut être définitif).
Pas besoin d'être deux pour le percevoir.

Édit : j'ai fini par parler de ce fichu syndrome sur le fil " Baclo et sexualité féminine" mais au début, je n'osais pas non plus.

une réflexion sur les voeux

entendus par un prétendu philosophe à la radio

j'espère que ça va te plaire LEE


les voeux auraient un caractère d'oxymore

car le bonheur des uns ferait le malheur des autres

exemple: souhaiter une bonne année à M.Poutine (pourvu
qu'il ne me lise pas )
vaudrait souhaiter beaucoup de malheur à beaucoup d'autres personnes

bon, il ne me serait pas venu à l'esprit de souhaiter quoique
ce soit à ce personnage

quand vous adressez vos voeux individuels, notamment de réussite,
à une personne, mieux vaudrait être sûr qu'elle n'a pas de
mauvaises intentions

perso, j'ai toute confiance dans ces quelques personnes à qui
j'ai adressés mes voeux

LEE, si je t'ai zappée, c'est parce que je sais à quel point
tu es accro à ce genre de manifestations

Tout juste Martha.

Le "souhaitage" de bonne année, bonne santé arrive second dans mon classement des comportements sots, juste après les considérations météorologiques.

Se réunir en troupeau pour se lécher le museau en rabâchant la même formule creuse tous les 1er jour de l'an...Quelle étrange coutume.

C'est dangereux en plus, j'en avais quasiment terminé avec mes péripéties pulmonaires et v'lan que la bronchite est de retour, vu que j'ai soigneusement évité tout contact avec mes congénères (rue piégée, barbelés aux fenêtres, infanticide...) il n'y a pas de doute, j'ai attrapé cette cochonnerie, ici!

Même chose bien sûr Lee !
Je trouve de plus en plus lénifiant ce passage obligatoire par la case voeux.
Je n'ai jamais trouvé le forum aussi ennuyeux que ces deux derniers jours.
Les voeux des membres chez les autres, puis en retour les remerciements de voeux sur chacun des fils.
J'ai trouvé très chouette l'idée de YVES de créer un fil réservé à cela (2017), histoire d'éviter la prolifération des voeux sur les autres fils.

J'ai connu des personnes qui réitéraient leur voeux aux mêmes personnes tous les jours que fait le mois de janvier.
Elles étaient en outre d'une pure hypocrisie et en nous souhaitant une bonne année, elles ne faisaient en réalité rien d'autre que de se la souhaiter à elles-mêmes
De même, les personnes qui commencent leurs phrases par un "Ah ma pov' dame, si vous saviez...", tu peux être certaine que celles-ci n'en ont rien à foutre de tes malheurs, mais que c'est le début de leur litanie concernant les leurs.
Mais c'est en général très mal perçu de voir les choses sous cet angle-là.

LEE, FLO,

tous les angles de vue sont possibles et défendables

mais je retiens quand même la bienveillance

des personnes ici (dont moi) qui adhèrent

à la pratique.....lien social pour des personnes

potentiellement en souffrance

alors recevez mes non-voeux

Oui oui MARTHA !
Je ne nie pas l'importance de ce lien dans certains cas.
C'est la généralisation de cette pratique qui me fait réagir de la sorte.
Et j'ai d'ailleurs moi aussi formulé ces voeux en passant sur certains fils.
Je vais même réitérer pendant un moment encore.
Mais ce sera au coup par coup, et non systématique.

Pareil, comme de bien entendu.

allez les filles

encore quelques jours à passer

et ce sera fini


vivement la st Patrick

faudra patienter un peu

Coucou
Il est des voeux qui sont sincères, surtout ici, pas une formule toute faite, mais un vrai voeu que les choses se passent au mieux
Même si on est dans la continuité de notre vie, une nouvelle année reste une nouvelle année, car le calendrier en décide ainsi, on se réfère souvent à certaines années dans notre histoire
Mais sur le forum, les voeux, les vrais, c'est un peu toute l'année
Manue

Je pense qu'on ne peut pas généraliser.
Ne pas trop en faire paraît juste.
Toutes les formules de politesses peuvent paraîtres exagérées et même mal interprétés.

J'espère que vous allez bien, veuillez agréer mes meilleures salutations distinguées,bonne fin de soirée, bon appétit, bonne année. ...
Ce qui compte pour moi,c'est que se soit fait dans le respect.
Et des fois ...l'éducation nous suis..souvent parfois.

J'ai appris aujourd'hui que mes envies étaient comme de l'eau qui bout dans une grande casserole.
Pour re-situer ça dans son contexte afin d'y donner du sens, allez voir ici, si ça vous intéresse...

J'ai appris aujourd'hui que tout était une question de rails.

Quand tu glisses sur de mauvais rails, inutile de te démener, de gaspiller ton énergie dans de vains combats.
Tu n'y arriveras pas !
Concentre plutôt ton énergie à observer ce qui pourrait te remettre sur les bons, à chercher le petit déclic qui pourrait te faire changer d'aiguillage.
En te disant que TOUT EST POSSIBLE, même les choses les plus folles, même si tes proches n'y croient pas
Crois-y d'autant plus pour eux, pour compenser.
Ne crois pas en la fatalité.
Pense à la citation de Mark Twain que j'avais incorporée dans mon précédent avatar :
"Ils ne savaient pas que c'était impossible alors ils l'ont fait".

Et au prochain poste d'aiguillage, saute !
Saute sans te retourner pour voir ce que tu laisses derrière toi.
Saisis la première occasion venue pour te remettre sur la bonne voie et évite de courir plusieurs lièvres à la fois.
Cherche ta priorité et laisse tomber le reste.
"Chaque chose en son temps".

Ici, sur le forum et pour la plupart d'entre nous, la priorité, c'est de sortir de notre dépendance.

Tiens ! Je ne connaissais pas ! Merci Flo, en te suivant je suis arrivé ici ! Et bien sur pour ne citer qu'elle, LEE (ma BEE), l’initiatrice de ce fil très intéressant... En même temps, quand il y en a une, l'autre n'est jamais très loin ! Mes folies (FloLee) ! J'ai commencé à lire, mais je vais surtout venir venir poster !

Pour ne pas partir sans rien laisser, j'y pose cette citation de John Lennon : "Quand je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serais grand. J'ai répondu "Heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie".

Pour tout te dire, LOLO, LEE et moi, c'est même pas comme si on était liée comme les deux doigts de la main, mais plutôt comme si l'on était le même doigt de la même main.
Rien que pour cette jolie rencontre, je ne regrette pas d'avoir été alcoolo.

Le même doigt de la même main, t'es trop forte Flo!

Chacune avec son toucher. Nous ne levons pas le majeur de la même manière mais souvent pour les mêmes raisons, et notre petit doigt nous dit de l'autre un peu de soi.

Bienvenu Lolo, très joli la "Flolee"

Nous avons également eu la même façon de lever le coude, ainsi que la même façon de le reposer

J’admets j ai fait comme

style je lève le petit doigt ...

Tu vois le coup !

j(ai compris qu ils n avaient pas compris la vie

je crois lemieux c est ils n avaient pas compris le reste

Ferme un peu ta gueuele

y a pas que toi ok

gaffe a ta gueuele

Toi aussi Loulou, tu ferais mieux parfois de la fermer.
Pourtant, je pense que tu es quelqu'un de très intéressant.
Mais pas dans cet état-là.

Et puis tu sais Loulou, ça ne nous aide pas à t'aider que tu te pésentes à nous la plupart du temps comme ça.
Qu'est-ce que tu veux qu'on fasse, à par attendre que ça passe quand tu es dans cet état ?t
La personne à laquelle tu nuis le plus ainsi, n'est autre que toi...

c est le terrible

lui ai dit quand c est pas le midi tu ne fais rien ok

eh ien il se trouve que il boit pendant le reste

YVAN

Tu apprends quoi Loulou?

J'ai appris aujourd'hui, que certains miracles existent (peut-être pas tous mais au moins certains) et qu'il suffit "juste" de les provoquer.
Et ça, c'est extrêmement fatigant.
C'est mêmr jouer quitte ou double, c'est ça passe ou ça casse.
D'où l'obligation de manipuler ce savoir avec une extrême prudence, sinon le feu d'artifice risque de vous exploser à la gueule et illuminera le ciel non pas de joyeux éclats mais des gouttes de votre sang.

Je me rends compte depuis quelques temps que l'e-clope est au tabac ce que le Baclo est à l'alcool.
Comparaison qui tient la route sur de nombreux points (efficacité, risques de rechute, douceur des traitements par rapport à la violence de l'abstinence ou la brutalité des sevrages tabagiques...) jusque dans les considérations d'ordre très matériel (coût des addictions et coût des traitements).

Je savais ça...

Réfléchir pour se sortir d'un problème, c'est bien.
C'est même la condition sine qua non de ce qui va suivre.
On ne peut pas y couper et on ne peut pas non plus faire faire ce boulot par quelqu'un d'autre, cependant qu'un psy peut nous y aider.
Quoi qu'il en soit, il nous faut nous remonter les manches à un moment ou à un autre.
Mon frangin me disait : "Le psy te donnera la pelle, mais c'est à toi de creuser".

Écrire le cheminement de ses pensées et les conclusions qu'on en retire, c'est encore mieux !

Mais j'ai appris aujourd'hui que tout ça ne servait à rien, si on ne confrontait pas nos "cogitagitations" à celles des autres.

"pourquoi le dire"

Et bien parce qu'après ton post, là, on se demande bien à quoi tu fais référence et on va se triturer les méninges pour essayer de comprendre ce que tu as appris.
Nous le dire nous éviterait ce travail de triturage aussi inutile que fastidieux.

Alors pourquoi réagir et te fatiguer a écrire.

Ben pour que tu nous le dises, LAS !
Parce que je m'intéresse à toi et à ce que tu as appris.
C'est pas normal ?

Je l'ai supprimé car c'est nul d'écrire comme ça, voilà j'ai appris une chose en faisant une nullité .

J'ai appris qu'on ne tire pas sur l'ambulance même quand ça fait drôlement envie.

Ah ben c'est malin ça !
Ben moi je supprime pas pour que t'oublies pas.

Mais à ta décharge, et pour une fois pas tout à fait d'accord avec LEE (c'est l'exception qui confirme la règle), il faut parfois agir pour prendre conscience de la nullité de notre action.
Et tant pis si c'est trop tard pour ce qu'on vient de faire, plutôt que de perdre son temps à se fustiger, il vaut mieux faire en sorte que ça ne reproduise plus à l'avenir.

Et bien ! Flo ! Avec ce que je viens de lire et de relire... je suis très agréablement surpris.

Tes derniers posts me parlent, comme ceux du tout début, qui sont une des raisons de mon inscription sur le forum.

J'en ai pris conscience Flo. Maintenant je réfléchirais plus avant de post et ou de me confier.

La claque de percevoir que l'on est pas unique dans la tourmente et que l'immensité de notre dérive n'est qu'une parcelle d'une souffrance plus vaste.
Signé Lee Vair !

Faut se la prendre La claque

C'est comme les douches froides, ça remet les choses en place.

Tu as bien fait de mettre en avant ces propos de Lee, Loulou.
Ils sont transperçant de justesse.
Mais ça ne m'étonne pas du tout de Lee.
Ce qui m'étonne, c'est de ne les avoir pas moi-même relevés.

Édit : j'ai compris pourquoi ils m'avaient échappé. Lee les a dit sur un autre fil.

J'ai appris aujourd'hui (je le savais auparavant mais c'était plus de l'ordre de l'intuitif que du conscient), qu'un de mes grands plaisirs, ici et IRL, était de mettre en lien les personnes (sans intention "matrimoniale" hein !), leurs idées (je lis assidûment le forum depuis trois ans et je n'ai que très peu d'efforts à fournir pour faire ces liens, mis à part ceux de remémoration, sur quel fil ai-je vu telle chose, de la part de qui etc), ou encore certains concepts (mais ça, vous ne pouvez pas trop vous en apercevoir, c'est un "travail" de réflexion qui m'est très personnel).

Bon ! C'est quasiment illisible cette phrase, à cause des longues parenthèses, mais que je ne peux pas enlever afin d'être bien claire, je vous la remets ici sans les parenthèses :
J'ai appris aujourd'hui qu'un de mes grands plaisirs, ici et IRL, était de mettre en lien les personnes, leurs idées ou encore certains concepts.

J'apprends tous les jours, de mieux en plus qu'il n'y a pas très longtemps, je souhaitais vivre en hermite, loin de tous ces gens que je pensais sot, et qu'aujourd'hui vivre seul sur une ile déserte d'être humains me rendrais fou.

Qu'il faudrait alors que je mette dans ma valise, 3 ou 4 cerises et des chaussettes rouges et jaune à petit pois, mais aussi un ballon et un marqueur pour m'y représenter une tête d'être humain afin de pouvoir échanger avec quelqu'un ou quelqu'une.

La solitude oui mais à petite dose.