Karo,
Oui, je vois, l'effet Baclo...
Au début, il m'a bien aidé.
Maintenant, avec mon A.D qui, je le sens commence à agir, et bientôt 4 mois sous baclo, j'ai descendu ma dose de Baclo de 180 mg à 100 mg.
Sinon, EI : trop déprimé + incapacité totale à faire quoi que se soit.
Je pourrai faire la marmotte et pioncer 18 heures par jours pendant 6 mois, dans mon cas
Pour cette fatigue du Baclo, ça va le faire pour ton travail dont tu nous parlais - avec une amie si je ne me trompes pas ?
Je l'espère de tout coeur en tout cas.
Et cette vieille, ancienne, habitude, d'avoir besoin de boire ou de savoir que l'on peut y avoir accès.
Au cas où.
J'en suis là , comme toi, peut-être, tu me diras.
Je fais avec.
Mais ça s'éloigne, doucement.
Hier, je me suis assis à un café.
J'ai pris une bière.
Et puis : ça m'a gonflé. Je me suis demandé ce que je foutais avec cette bière.
Bon...je l'ai bu quand même, faut pas gâcher
Mais je sais que, pendant un certain temps, l'alcool sera encore là .
Je m'éloigne de lui...doucement. On joue ensemble d'une certaine façon, sauf que l'alcool ne domine plus ma vie.
Je reste très méfiant néanmoins envers mon démon.
C'est le bon côté du baclo et du Forum et du soutien de mes deux grands amis. Quant au

CSAPA...
Bref...je cause de ma pomme.
Si tu n'es pas prête pour ne pas boire du tout en ce moment, ne te forces pas.
Je ne t'invite pas à boire non plus en te disant ça...
C'est juste mon expérience, pour ce qu'elle vaut.
Bon, ce qui fait ce que je peux aussi t'écrire cela, c'est que je pense qu'il faut être entouré.
Pas que par des psy.
Ni forcément pleins de gens.
Mais au mois un ou plusieurs vrais amis.
Est-ce que tu peux te confier à fond à une ou plusieurs personnes en qui tu as une absolue confiance ?
Bises, Karo
Lointain (Yann s'envole..).
De l'inconvénient d'être (malheureusement) né. Kai stin pragmatikótita eÃnai o káthe ánthropos gia ton eaftó tou.