Bonsoir à tous,
Voilà ma journée est finie. Ouf!
Le dodo de la petite clôturé avec l'histoire de " une journée avec Gwen la bigoudène " et me revoilà , içi, auprès de vous pour vous conter la mienne avec le baclofène.
J'ai vu mon toubib et je passe donc à 120mg. 90mg à 120mg, direct! mais j'ai stabilisé à 90mg pendant deux semaines.
Mon toubib, que je considère faisant partie intégrante de Notre équipe, Il ne parle pas beaucoup, il ne se répand pas beaucoup non plus, un peu distant certains diront, mais du fait de sa formation, médecin psychiatre, il m'écoute beaucoup, c'est à dire, juste comme il faut, car il me reprend quand je m'égare.
Il me re cadre. De ce fait donc, il me rassure. Il me rassure parce qu'il est convaincu, des effets du baclofène sur la compulsion dans l'alcolo dépendance. Et surtout parce qu'il a le recul. Ce n'est pas seulement un prescripteur!!!
Je suis donc maintenant à 120mg... sauf quand sortant de la consultation, j'ai été prise d'angoisse...
Pourquoi? A 30, 40mg, j'ai eu des es. Stabilisée, ils ont disparus. D'autres, depuis samedi derniers sont survenus. Les peurs panique, les cris en plein sommeil, mais il n'a pas tiqué. Il faut continuer à augmenter et si vous avez un problemme, aplez moi.
Je suis donc sortie de la consultation, rassurée qu'il fallait augmenter la dose, surtout et sûre tout? qu'il m'a dit qu'en moyenne, ses patients , s'en "sortaient" autor de 100 mg, à 140mg voire un peu plus si bessoin est. Il a l'air tellement sûr, du medicament, cela en est presque bluffant.
Je sors donc... et ce soleil!!!!! comment dire.... ce si beau soleil qui rend notre capitale si belle quand on prend le temps de la regarder, les tuiles bleues qui deviennent si luisantes, d'un coup!, le sdf qui nous déculpabilise juste un tout petit peu ( notre société me semble au soleil, encore plus révoltante!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!), la nonchalance des badauds,. Se réconforter au sein de sa chaleur, ce soleil, comme un poignard, celui qui vous rappelle, comme les madelaines de Proust, qu'il fait si bon de s'y blotir. Mais il n'y a plus de bras qui se tendent vers vous. Alors moi, je me dis, comme par instint, que ce si triste et si bon café clop arrosé souvenirs d'enfance ne doit pas me faire tanguer. Je décide donc d'aller voir le film Cloclo. Oui, c'est peut être ringard, mais à l'école primaire, je faisais danser les copines avec cloclo. Je me ssouviens avoir été ckaude françois, dans le fond de l'école... qu'est ce que je m'amusais!!!! Je me souviens, quand il est mort; je faisais de la trpttinette, mon mobement de petite fille s'est arreter de bouger, un moment.J me souviens d'avoir apris, dans la rue, que Claude François était mort.
Dans ce cinéma, aux gobelins, je décide donc de voir cloclo, commr cela! Et dans ce cinéma, et bah, toute mon enfance ressurgit!! Comme cela, j'avais rien demander pourtant...
Je ressors de la séance, pleine d'une nostalgie que je ne sait pas nommer.
L a musique a ce pouvoir dz laisser des marques indelzbilles.
Le baclofène me permet aujourd'hui d'apprehender la vie comme elle vient.
Depuis qque je ssuis souss ce traaitement, mon corpps kaisse mieux faire les choses et mon esprit ne s'égare plus tant qque cela?
Hier, j'ai appris que ma petite nièce d'amour est entre la mort et la vie.
Elle souffre d'un problemme au foie.
Aujourd'hui, elle est en reaa, et un pronosstic vital est en jeu..
Moi qqui boit et que mon foie est si souvent malmené, comment ma petite nièce d'amour pourrait ne pas survivre.
Je me soigne, et donc tout ira bien hein? Yout ira bien?
Message édité 1 fois, dernière édition par aquilafaute2, 20 Mars 2012, 3:32
Je me promets d'apprendre toujours et encore à me battre passionnement pour vivre la verite de ma vie