Mon témoignage à mon tour.
Avant de partir pour le Nord, le 24/07, je suis allé dans la pharmacie où je vais habituellement chercher mon Baclo.
On ne m'a rien dit du tout.
On m'a donné 3 boites et un ticket pour venir chercher mes 14 autres boites quand je voulais.
Un manque de stock, peut-être.
A moins que cela ne soit une astuce de leur part pour foutre la paix aux patients...
Je verrai à mon retour.
En tous cas, j'ai bien bien mon ticket pour 14 boites...
J'ai(peut-être) un avantage : pour mes ordonnances, c'est l'un des deux addictologue du CSAPA de Nîmes qui me les prescrit et le CSAPA est situé sur la même avenue que la la pharmacie, à 200 mètres...
Ceci dit, avant cette décision foireuse de l'ASNM, quand j'étais passé de 180 à 230 mg/jour, la patronne de la pharmacie avait un peu tiqué sur le dosage, avant de me donner les boites sans souci :
Ordonnance d'un addictologue, dûment tamponné du service d'addictologie du C.H.U...donc, pour la pharmacienne, rien à dire.
Pour elle, chacun son rôle.
Si l'addictologue a écrit que...alors : c'est comme ça, pis c'est tout.
De plus, ni elle, ni aucun des employés de cette pharmacie ne m'ont jamais fait la moindre remarque ou une mimique déplacé : j'aurai pu acheter du doliprane que ça aurait été pareil; alors que parfois, avec ma boite d'anti-dépresseur, mes deux grosses boites de Movicol, mes 10 boites de Spasfon Lyoc, mes 2 boites de calmants (dont j'ai oublié le nom), et mes 10,12,14 boites de Baclofène, avec parfois un truc ou deux en plus (genre un antibiotique...), le présentoir était rempli et je sortais avec mon sac plastique comme du supermarché.

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Maintenant, il file même à leurs "clients" un sac en toile.
De l'inconvénient d'être (malheureusement) né. Kai stin pragmatikótita eínai o káthe ánthropos gia ton eaftó tou.