Coucou RoseFleur,

Un petit coin au vert :

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Bisesvertes.

Yann

Dans un océan de bleu.
Merci Yann.
Ca rassure, ça apaise.

Tes photos sont bien belles.
J'aime tes titres en guise de signature.

Bises de lune, des poussières de rêve.

Merci Shirley pour ta pensée et tes bisous.
Moi, je pense bien à toi dans tes EI...car j'ai les mêmes.
Main dans la main, comme d'hab.
Je reviendrai vous donner de mes news...quand tout sera un peu plus clair dans la tête, dans le corps, dans le verre, et partout ailleurs.

Je vous lis, je vous lis...dans mes nuits d'insomnie, et je vous embrasse fort.

Coucou RoseRiri,

Je pense à toi, souvent.
Et j'espère que tous tes tracas s'estompent dans ta mémoire.
Tu sais, ça tient toujours pour mon collage

Pour le Riri, c'est autre-chose, il vient toujours nous ennuyer, et pour toi, cela est bien plus difficile que pour ma petite pomme.

Merci pour ton envoi de rêve.
J'en ai besoin.
Comme toi, j'imagine.

Bises de lune très longue ce soir.

Yann.

Courage Rose .. Tu vas remonter la pente, ce n'est que nos derniers cauchemars avant la remise en liberté .. La patience, toujours la patience ..
Je t'embrasse bien fort .. 😘😘😘

C'est une petite nuit pour moi en ce moment, de celle où on ne dort hélas pas beaucoup.
Un peu la nuit du Juif errant...qui n'en voit pas la fin de ses tourments éternels.

Remonter la pente, Shirley...
Je ne sais pas si je dois la remonter ou bien la redescendre pour trouver un mieux-être et mon indifférence telle que je l'ai connue.
La misère appelle la misère.

Rien ne va plus. Faites vos jeux.

Et le jeu n'est pas simple ces temps-ci, bien complexe...tant il y a de choses et de paramètres...que je ne cherche plus à comprendre.
M'en fous bien des certitudes et des causes qui me dépassent.
Il n'y a que des ressentis d'un jour à l'autre.
Alors je ressens et j'essaie d'apprendre de ça pour apaiser le quotidien du corps, du ventre, de la tête.

Je maintiens le cap malgré tout à vouloir vivre bien et aimer comme il faut.

Et je cherche surtout le sommeil, qui seul permet d'avancer en quiétude.

Bref, j'suis paumée et crevée.
Et toujours alcoolique. Il y a au moins quelques certitudes à me connaître.

Tout ça juste pour donner quelques news, après une absence qui n'est en rien une indifférence de vous.

Je vous embrasse

Coucou RoseD
Je viens de rejoindre ton fil, et je me suis arrêtée à ton dernier message

Le sommeil est primordial, est-il possible de demander à ton doc quelque chose qui te permette de dormir

Perso, j'en auis à un xanax le soir, sinon je me réveille sans arrêt, avec l'esprit qui tourne non stop

Avec le xanax, je lis le soir, un bon roman, et le sommeil vient vite, et je peux rester au lit le matin

Coucou RoseFleur,

J'espère que tu vas trouver l'apaisement que tu recherches.
Sur le Juif errant...je partage ton ressenti.

Faire le tour des causes, je veux dire, les avoir identifiés, je crois l'avoir fait aussi.

Pourvu que tu retrouves le sommeil, avec des rêves, c'est encore mieux.

Bisespourtoi.

Yann.

Il est midi. Les cloches des églises sonnent alentour. Mon alarme de portable sonne elle aussi pour me rappeler à une autre religion.
C'est un dimanche comme les autres sur la Terre pour les hommes de bonne volonté.
J'ai un peu dormi cette nuit, un peu plus, un peu moins mal, à sentir au réveil qu'on a un peu dormi.
Il n'y a pas eu de rêves, Lo, mais pas de cauchemars non plus.
Il n'y a pas eu de xanax, Manue, mais pas de réveil trop pâteux.
Je n'ai guère bu hier soir, un peu, comme tous les autres soirs, sans trop savoir pourquoi et sans trop me poser de questions.
Est-ce suffisant aujourd'hui ?
Je décide que oui, que c'est bien suffisant pour m'éveiller au jour et vous dire bonjour.
Kiss.

Ça va aller Rose...

Oui bien sûr que ça va aller, Karo

N'oublie pas de prendre soin de toi

Bonsoir Rose,

Je suis certain que tu vas y arriver ,il faut savoir être patient !

on a été très patient avant de décider d’arrêter de boire alors je pense qu'il faut être patient avant que le traitement ne fasse son effet .

j'espère que tu vas bien et que tes intestins te fiche la paix .

Je te souhaite bon courage !

Je lis souvent vos fils à toi et JéJé et malheureusement je suis impuissant si je le pouvais je prendrais vos galères pour vous soulager ,malheureusement cela n'est pas possible !

Bises

Bruno

Rose,
Je n'ai plus grand chose à te dire ici.
Le vin blanc tu l'aimes bien, fais attention lui, il saura réveiller ton hypocampe.
.

Les dernières news datent du 24 septembre... Une semaine exactement!

Peux-tu utiliser ta belle plume pour le flash info de 20h00?

Les jours où la plume revient, c'est que ça va un peu bien, un peu mieux, Karo.
Mais comme je ne bosse pas pour une chaîne à sensations, je laisse à d'autres les news à sensations.
Je me réserve pour après, pour une édition spéciale, quand tous les bureaux de vote seront fermés, à ne plus pouvoir trop douter des résultats

Il suffit parfois de cette empathie et de ces encouragements sincères pour que ça aille déjà mieux.
Merci de tout coeur, Bruno.
Bisous

Jéjé,
Moi, j'ai toujours des choses à raconter
les jours où ça va bien.
Merci de veiller sur moi.

J'étais à 150 et toute envie passée, les maux de tête bien présents et le sommeil absent.
J'étais à 150 depuis fort longtemps maintenant.
A 140, les maux disparaissent bien, mais les envies reviennent, une expérience déjà vécue.
Un seuil chimique peut-être.

Mais à n'avoir encore rien changé dans ma vie présentement, faute de ne pas pouvoir me séparer des murs détestés à ce jour, je me dis que le seuil est peut-être bien plus psychologique que chimique.
J'attends de vendre mon appart. J'y travaille et j'attends.
Car on a beau être libre dans sa tête, le corps, lui, vit chaque jour dans des murs, et il souffre et du ventre et du reste de ne pouvoir se mouvoir dans un lieu à revivre. Oui, mon corps souffre de ce que je ne peux lui offrir.

Epuisée encore de devoir tout gérer et de devoir vivre auprès d'un inconnu qui a démissionné de solder tout ce qui devait encore l'être de matériel.
Ca prend du temps et beaucoup d'énergie, tout ça.
Devoir sacrifier encore un peu de liberté...sans déprime néanmoins...à voir la liberté à venir.

La liberté à venir...à être bien affaiblie, je ne sais plus bien ce que je vais en faire et où je vais poser mes bagages. Peut-être ne les poserai-je pas à m'en aller voir un peu le monde...pour me retrouver mieux.
Tout cela sera à voir, comme tout cela est à me porter chaque jour hors de ma petite prison.

Alors, ma fatigue, ma solitude en bandoulière, je fais comme je le fais depuis bientôt deux ans.
Je patiente...et j'espère.
Méditer est un bien...mais à ne pas voir les choses se faire, la patience est un mieux.
Et je remercie le baclo de me protéger du verre.

Il est parfois difficile de dire tout ça à des amis de longue date.
Alors je le dis ici à des gens...sans doute des amis de toute éternité.

Des embrassades à tous, à ceux qui profitent pleinement du baclo vécu sans maux, à ceux qui restent encore le nez dans le guidon, et aux autres qui souffrent pour bien d'autres raisons.
Oui, ça fait du bien d'embrasser...tant je ne me souviens plus de ce qu'est la tendresse.

Ce vendredi, je m'en vais voir RDB. Ca fait longtemps. Je suis contente de le revoir.

Coucou RoseFleur,

C'est difficile ce que tu traverses, à être entre deux moments, entre deux vies, entre deux rapports à soi et au monde.
C'est très difficile aussi, très dur aussi sûrement, de vivre cette séparation qui n'est pas que matérielle, mais où ce qui est matériel fait durer les choses.
Tu es très forte et ta parole est juste et belle.

Une main tendre pour toi ce soir.

Je suis crevé, je repasse sur le Forum demain, et sur ton Fil.

Bisesenfleuries.

Yann.

Merci Lo.

Mais tout ce qui reste n'est bien que matériel.
Et c'est bien pour ça que le temps est aussi long...quand il ne s'agit plus que d'espace à partager.
L'air manque parfois, à se charger de dégoût.

Bises de cette fleur qui ne fleurit que le soir et s'épanouit la nuit, tout en rêves, pour les insomniaques que nous sommes.

Rose D,

Prend le temps de vivre ,de laisser les choses se mettre en place doucement .
L'affection est difficile à oublier et sa manque beaucoup .
Mais tu ne dois pas t'inquiéter ça va revenir .
Moi j'en suis à la même chose je manque d'affection mais je ne sais plus ce que c'est et je ne sais même pas si j'en ai envie !
L'alcool à fait beaucoup de dégâts et se reconstruire sans alcool c'est très dure !
mais bon la vie est belle il faut être patient et croire en la vie "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une"

Bises

Bruno

Coucou RoseFleur,

Désolé...il n'y a plus donc que le "matériel" à régler entre vous.
Je comprends comme cela doit être étouffant, comme l'ambiance doit être pesante, et rendre plus long encore le temps vers autre chose, ailleurs, pour toi.
Je ne pense pas que j'aurai pu tenir aussi longtemps en compagnie de quelqu'un qui me serait devenu aussi étranger.
Tu me diras que n'as pas le choix, mais il n'empêche que tu es bien résistante.

Je lis que ton corps en souffre et que c'est à toi de t'occuper seule de cette ou ces ventes ?
Ou ai-je mal lu ?

BisesMarguerites.

Lo

Coucou Rose

Comment vas-tu ? Quelles sont les nouvelles ?

Prends bien soin de toi

Bises

Bruno

Je me suis absentée.
Y a pas eu d'oubli.
Je me suis absentée de ne plus avoir à dire, le corps et l'esprit abandonnés, assommés, en boucles.
J'ai dit ici la fierté d'avoir lâché le verre.
Je ne voulais pas dire et redire ma plainte du baclo.
Pas de raison de faire peur à quelque nouveau qui passerait par là.
Pas de raison de me faire mal et enfonçant le clou de celle qui n'a pas su.

Alors j'ai relu OA, et je m'suis dit que je comprenais pourquoi il avait été si brillant et pourquoi je ne l'étais pas.
Deux ans pour faire ce qu'il avait fait en quelques mois seulement.
Quelques mois pour guérir et le reste pour y croire.
Ce reste-là à traînasser en souffrance d'en avoir trop demandé au B, qui avait déjà fait son job.
J'aurais dû le remercier depuis longtemps déjà.
Une histoire douce-amère qui s'étire en souffrance, comme des amants qui se font mal à ne plus s'aimer trop, à ne plus rien avoir à s'offrir.
Quand il ne devait s'agir qu'une d'une brutale et furtive histoire de corps à corps, qui éprouve la chair dans l'instant d'un éclair, sans rancoeur à venir d'avoir été consentant jusqu'au bout.

Au bout de deux ans, j'ai décidé de me désunir du B. Il ne demandait que ça. Ca n'est pas un pervers narcissique. C'est moi, en fragilité, qui m'accrochait à lui juste à m'en faire mal.
Je me suis dit : « Ma Rose, si tu es bien guérie, tu n'auras pas de fierté à tirer de tout ça, mais pas de honte non plus. Et si tu ne l'es pas, le miracle n'aura pas plus lieu dans deux ans à venir ».
J'ai dégringolé sans insouciance. J'ai dégringolé en rudesse.

Je suis à 70.
Je respire, je dors, je pense à nouveau, et je panse mes séquelles. Le verre ne m'appelle pas, et moins encore qu'avant.
Le baclo a fait ce qu'il avait à faire.

Je n'ai pas oublié le verre. Il est encore là dans ma tête, et je le garde au chaud pour me souvenir de ce rien, de ce tout qui ne donne aucun sens et ne fait qu'engloutir.

Rien n'est définitif, mais rien ne sera plus vraiment à refaire, et jamais comme avant.

Je pars de ce point-là et je reprends le relais.
J'ai lâché le biberon et j'apprends à marcher.
Je ne vis pas encore, mais je sais et je fais.
C'est un peu plus complexe que de diviser un 150 par 2.

Je vous raconterai encore, après.
Je vous lis, je vous parle. Je pense à vous que je connais. Je n'ai jamais cessé d'y penser. Je ne pouvais plus parler.
Et je suis heureuse d'être là.

Enfin quelques nouvelles, et des bonnes semble-t-il...

Enfin tu dors!
Enfin tu penses correctement! (C'est bon de retrouver ses capacités cognitives!)

Quant à commencer à vivre, cela va se faire...

J'entends et je comprends ton soulagement.
Je le partage également.

En effet, enfin tu dors !
Tu as bien fait de dégringoler
Je suis vraiment soulagée pour toi ...

Coucou Rose[/color[color=#008000]]Fleurie,

Je suis très content de te lire dans ces lignes que tu vas de mieux en mieux et que ta descente est bien enclenchée.
Après tant de temps passé avec notre copain le Baclo, une séparation amicale ça se fête, vu qu'il nous aide et nous a aidé à chasser la fichue Bouteille.
Alors j'espère que tu va (re)commencer à pouvoir profiter de la vie pour toi, joyeuse et heureuse.
Est-ce que envisages toujours de voyager un peu avant de te poser quelque part ?

Bises.

un petit coucou


courage rose tout va reprendre sa place doucement

gros gros bisous moussette

Rose
La séparation amiable est enclenchée, tu dors, c'est magnifique
Je te souhaite d'aller encore mieux, toujours
Bisous
Manue

Tu as eu le courage ou la lucidité de tenter autre chose où tout simplement plus le choix.

Rompre avant de trop en vouloir à B. (Cause aggravante, je crois qu'il fricote avec énormément de personnes ici et ailleurs) et t'apercevoir que tu lui as prêté des pouvoirs qu'il n'a pas.

Je trouve ton post magnifique.

Comme tu fais bien ressentir ce que tu as saisi de cette histoire.
"Rien n'est définitif, mais rien ne sera plus vraiment à refaire, et jamais comme avant."

Le passage de témoin, la balle dans ton camp c'est si pertinent, tacher de guérir ou de faire avec d'autres maux pour lesquels le baclo est impuissant.

Par contre(*)



Il était dans une démarche scientifique et son cobaye était consentant Il n'a pas finassé sur la posologie et dit n'avoir souffert d'aucun effets indésirables.

Je ne sais si beaucoup de gens se sont ensuite "traités" ainsi (Ah si, j'en connais un, Yves Brasey, notre papa du baclo, mais lui c'est un acharné et surtout en quoi c'est être plus brillant que de finir le plus vite (prenons l'exemple de...l'éjaculateur précoce )?

Bon, 2hrs que je suis sur ce post pour te dire, principalement, que je suis très heureuse pour toi.



(*) Dans le cas où tu aies utilisé le second degré dans la citation qui m'escagasse, ce qui suis est nul (dans tous les sens du terme) et non avenu .

Un merci de gratitude à vous autres qui êtes là, tout en paroles bienveillantes et avenantes pour l'avenir.
Il n'y a nulle part que là que l'on peut recevoir cela.

J'y passerai 2 heures sur ton post, Lee, à y répondre demain.
Tout de suite, j'ai une fatigue à ne pas vouloir dire pourquoi, dans l'idéal, il faudrait faire l'amour rapidement avec le B pour ne pas en rester dépendant trop longtemps...quand il y a une souffrance à devoir s'y frotter.

Ce soir, je prends pour moi, avec un sourire qui s'étire, toute votre humanité qui me fait presque pleurer à m'y retrouver toute entière.
Un lien du B.
Un lien de la maladie.
Un lien d'être un peu humain.
Un lien de savoir tout ça.

Ce soir, ce sera tout, tout juste vous dire Merci.

Rien à dire, tout est dit, par la susnommée LEE.
Heureux de lire cela.

OA, une fois l'alcool vaincu, avait un tas de projets auxquels il croyait très fermement.
Un moteur en quelque sorte, une raison, un horizon.
Je comprends aujourd'hui (et je l'ignorais radicalement quand j'ai commencé le baclo), qu'il faut être capable de regarder un peu plus en avant, ne pas se dire qu'une fois le problème de l'alcool résolu alors seulement il sera possible de commencer à envisager de faire des projets...
Je comprends qu'on puisse imaginer que tout sera différent le jour où enfin, on sera libéré de cette satanée bouteille, je comprends par quel mécanisme on peut être tenté de croire qu'il suffit d'arrêter de boire pour être une toute autre personne! Et je sais que ce sont des foutaises...
Nombreux sont les moments où j'aimerais y croire encore un peu!

Rose,
Je suis très heureuse que tu aies enfin retrouvé ton souffle et ton sommeil, et je t'admire en plus
Je te souhaite de profiter pleinement de tes nouvelles conditions physiques.
Donnes nous un peu plus de tes nouvelles.
Comme d'habitude, de grands, gros bisous !

Bonjour Rose,


J'espère que tu vas bien et que tes intestins ont fini par te laisser un peu tranquille !

Je passe sur le forum et je te souhaite de passer de merveilleuses fêtes de fin d'année dans la joie,le bonheur et l'amour .

Je t'embrasse

Bruno

Merci Bruno,

Mes intestins ne sont pas à la fête en ces périodes de fête, mais mon coeur est bien accroché aux lumières du dehors, aux lumières du dedans.
Il est bien là surtout pour te souhaiter à toi, pour vous souhaiter à tous un Noël aussi heureux que possible.

Je vous embrasse en amitié.

Quelques nouvelles Rose?
C'est une période qui peut être lourde de signification,
parfois agréable, parfois pénible... c'est au choix.
Comment une rose passe-t-elle l'hiver, quand sa propre sève n'est plus mêlée de baclo?

J'ai bien eu trop peur de l'hiver et de ses rigueurs pour me passer complètement du B.
A 80 toujours sous le coude...pour le meilleur et pour le pire, l'agréable comme le plus pénible...tout comme toi, Karo.

Bises tout plein d'être passée par là, sur mes plates-bandes...en attendant des jours plus bavards.

Je vais dire les choses clairement SOUN.
Tu as toujours été très discrète quand à ta vie privée.
J'ai lu ton fil en novembre 2016.
Je ne passerai pas par 4 chemins pour le dire ici que je suis tombé sous ton charme.
C'est aussi ce qui fait le charme du FORUM.
Ce que je puis te dire ici, c'est que tu es une fille géniale.
Je suis aussi pudique, je ne suis pas qu'un ours.
je t'embrasse

Je t'embrasse tout de même, et avec les mêmes mots.

Oui, le charme du forum.
Parce que nous ne sommes pas que des bateaux ivres.
Le charme et la force du forum d'accueillir, de conseiller, de soutenir, de consoler souvent, surtout de se faire hommes et femmes en souffrance, en douceur, en bonheur de délivrance, en désirs de soi et en quête de l'autre, jusqu'à parfois aimer sans jamais détester.
Le verre est là à nous réunir tous...et nous sommes là à nous comprendre bien au-delà.
Tu es tombé sous le charme.
Je me trouve en-chêner.
Il ou elle, nous et vous.

Je suis heureuse d'être là à n'avoir jamais été rien qu'un degré d'absinthe.

Et des souhaits pour vous tous, des voeux de liberté pour cette nouvelle année.

Je viens de vous lire un peu tous.
Je me sonde de même ce soir.
Oui, cette maladie est relou, Annaaa.
Oui, elle profite des émotions un peu fortes de nos vies parfois malmenées, de ma vie éparpillée au milieu des cartons du moment pour repointer ses sales tentacules de pieuvre, comme le disait Tristan...et pour tenter de nous enchaîner à nouveau.

Un ptit combat jamais fini.
Mais les bonnes armes en main.
L'apaisement de savoir que rien ne sera jamais plus comme avant, une fois qu'on a connu le B, une fois qu'on a connu vous autres, une fois qu'on s'est connu un peu.
Une fois qu'on a connu tout ça, la certitude qu'on n'en veut plus.
Les nouveaux n'ont qu'à lire...pour commencer à rêver un peu à cette liberté possible.

Pas d'or, de myrrhe ou d'encens à offrir ce soir. Un hymne à nous trouver, hors du verre. Un bref hommage aussi.

https://www.youtube.com/watch?v=SPBVplEp7xE

Et deux citations que je garde en tête, que je garde au chaud les jours de trop de déprime, et un peu ces temps-ci.
Je vous les fais partager :

"On ne prend pas du baclo pour un rhume".

"Fais gaffe, Soun, au réveil de l'hippocampe".

Je vous embrasse avec d'autres mots.

Ça me fait bien plaisir de lire tout ça.
Tes mots sont un pur nectar.
Jéjé je te fais la gueule définitivement

Tu n'y viens pas assez Soun ici poser ton expérience de tes 2 baclos par jour depuis peux, toi qui en a pris plus de trente à mal digérer souvent.
Je suis d'accord avec Edouard. Tout glisse chez toi par tes mots, tu aurais pourtant tant de choses à dire de plus non?
Edouard ne me feras jamais la gueule un jour à mieux comprendre qui je suis Hein.
Gros bisous Rose et ne t'oublie pas non plus, toi la bienveillante.

RoseD, ou es-tu ?? Rien depuis Janvier...

Je me suis rappelé de cela, il y a pratiquement 1 an.



Alors, j’espère que tout va bien pour toi et à ton instar je le déserte de plus en plus, rattrapé par la vie après le baclo. Une autre étape à passer... J'y passe et puis j'oublie. C'est la vie, c'est la vie...

Bises

Je suis là, Laurent. Je ne déserte nullement...Je suis un peu partout et nulle part à la fois.
Mais que dire de plus ici quand je n'ai plus à ergoter sur ma posologie ? Tu sais bien que je n'ai jamais été très douée pour parler de ma vie.
Il faudrait que je recréé...que je crée un nouveau fil. Mon fil est mort ! Vive mon fil !
Juste à trouver le bon angle pour dire sans trop me perdre en labyrinthes ou en intimité.

Au rapport, à faire court, il reste 2 baclo de nuit, dont je ne peux pas me passer sous risque d'insomnie.
Le temps viendra peut-être où je pourrai m'en passer...quand tout ce que j'ai en tête, de projets imaginaires, grandira et dépassera le stade des rêves inachevés.

Au rapport, à faire court, il y a un verre, 2 verres, parfois 3. Certains diraient un alcoolisme raisonné. Je prends sans trop m'interroger.
Le temps viendra peut-être où je pourrai m'en passer.

Au rapport, à faire court, le baclo a bien fait le job. Il est comme un étranger maintenant et j'aimerais pouvoir m'en passer, car mon corps et ma tête me le font bien sentir...encore. Il y a comme un rejet, comme un trop maintenant, même à raison de 2. Sans en prendre, je me sens mieux le jour et insomniaque la nuit. La queue de la comète...et la patience, toujours.

La patience...lentement apprise à côtoyer le baclo.
Il en faut bien encore pour se remettre debout, seul, sans filet désormais...et parfois la fatigue de ne pas trop avancer.
La vie est là, elle est belle, mais il faut arriver à la choper et à ne pas la lâcher.
C'est dur.

J'ai dit non aux choses qui ne me convenaient pas.
Je vis ailleurs. Je m'y sens bien.
C'est un bon début.
Et j'essaie de trouver des repères un peu solides en moi, avant de m'éparpiller par monts et par vaux avec d'autres, avec d'autres choses...pour ne pas me noyer et me laisser noyer.
Faire le tri.
Chez la psy et en méditation, à sentir mon corps courir sur le bitume, à chercher des solutions pour mieux organiser la pensée...
Chercher m'épuise parfois.
J'aimerais parfois, souvent, une plage à ne contempler que le ciel.

Des fois, je me demande ce que j'ai bien pu foutre depuis la date bénie de mon indifférence, en septembre 2016. Est-ce le temps qui passe, comme on dit, bien trop vite, ou bien est-ce moi qui suis trop lente à ne pas le digérer ?

Il me reste ce repère bien solide de me dire, de sentir au plus profond de moi que je suis mieux sans ça... sans le verre assassin.
Je suis passée du bon côté de la barrière. Je compte bien y rester.

Alors un jour, certainement, je n'aurai plus de ces terribles maux de ventre.

Merci d'être passé. C'est à ta faveur que je réécris ici.
Je comptais me poser à faire un peu de yoga du bide. Finalement, je suis venue ici...et ça me fait autant de bien.

Passe donc aussi un peu chez toi, pour te dire.

Au rapport, à faire court...
Hé Jéjé, quand est-ce que tu reviens ?

Ca, c'est pour celle qui sait.

Et ça, pour tous les autres.

C'est malin on est plein de rouge à lèvres!

Hello les filles !

Vous devenez quoi depuis le avant le printemps ?

Je vous embrasse

Je rebois. Je rechute...clairement.
Je suis à 20 de baclo, le soir, pour dormir.

Je ne peux plus retourner au B.
Aujourd'hui, je fais abstinence.
Et pourtant, j'étais contre.
Un choix ? Non. Une question de survie.

Bisous à tous.

Même ça, je n'aurai pas réussi à le faire...guérir.

C'est ch**t!
C'est triste!

Je suis de plus en plus convaincue qu'il y a quelque chose à mettre en place dans nos vies pour ne pas rechuter.
Les histoires que j'ai pu lire jusqu'à maintenant font très souvent état d'une rechute.
Au-delà de l'aspect neurobiologique, il existe bel et bien un facteur psy.

Tu as raison de faire abstinence, se mettront en place de nouveaux réflexes qui te permettront de te détacher de ce poison.

ab imo pectore (comme dirait Théo)

Merci Karo.
C'est complètement psy...mais je suis en train de réactiver la maladie...celle contre laquelle on ne peut rien.

Augmente le baclo !
20mg/j c'est très peu,trop peu pour toi !!!
Et place tes prises le matin
Si tu réagis de suite, tu ne seras pas obligée d'aller bien haut

" Même ça, je n'aurai pas réussi à le faire...guérir "

Bonjour, RoseD; nous ne nous connaissons pas;

je n' ai pas pris connaissance de ton fil. Mais je vais le faire.
Je crois comprendre que tu es en totale détresse.

Mais, si, ça va le faire !
Un petit coup de Sylvie, un petit coup de Baclo, encore un petit coup de Sylvie, encore un petit coup de Baclo, et au bout; ça marche.

Garanti, certifié !

Marie-Pierre