Bonjour Elo,
un petit mot d'encouragement pour toi!
Le fait que tu prennes le Baclo est déjà cette première marche, énorme, qui est de reconnaitre un problème et vouloir en sortir.
Cette base est très importante à mes yeux! Vouloir en sortir,
après, vouloir être mieux, si pas carrément bien, on peut même y croire
Je suis dans une phase où je ne bois pas... Tout ce que je peux dire, c'est que physiquement et moralement c'est le jour et la nuit.
Y arriver, en souffrir (de ne pas boire), ne pas y croire, chacun passe par des chemins différents et tortueux, c'est lent, ou pas,
c'est dérangeant de ne pas consommer parfois, car c'est un réel anti dépresseur (à mes yeux) complètement déprimant (à mes yeux).
Et puis, quelques semaines sans et, alors que la vie n'a pas changé, les problèmes sont les mêmes, le stress, le manque de confiance en soi... les cubes de cette fondation de guingois, ... il y a cependant la fatigue en moins, la culpabilité en moins, la "fierté" en plus, très personnelle puisque personne dans l'entourage personne ne peut imaginer parfois le petit diable et le petit ange qui tourbillonnent dans la tête, ... bref, c'est clair : on est mieux sans.
C'est simplissime ce que j'écris
Plein de courage pour toi, ce chemin mène vers un ciel tendre
(un peu de Belgitude

Pour représenter le combat)
