Merci à JMV pour cet analyse pertinent et objectif.
Je plussoie Alexandre sur l'idée d'un courrier et encore plus sur l'idée du collectif qui traque (journalistiquement!) la pseudo journaliste!
C'était pour vous rassurer sur une issue probablement positive.
La grande question évidemment : dans quel contexte ? Qui pourra prescrire ? Dans quelle mesure une formation sera elle obligatoire ? Ce qui serait bon en soi pour éviter de faire n'importe quoi.
Je pense que préparer des réponses et faire des propositions amènerait à consolider le dossier et rassurer les nstances sanitaires et juridiques et politiques
Se mettre à leur place aussi, il s'agit de santé publique. Les décisions prises peuvent être lourdes de conséquences.
On a une certitude : sans le baclo, 120 morts par jour sans compter les dégâts collatéraux. Avec le baclofène, on peut drastiquement le réduire.
Appuyer aussi sur les dégâts collatéraux accident, dégâts sur la famille et proches, viol violence ect...
En fait faire une balance bénéfice risque sans baclo, et faire pareil avec baclo
L'ansm parle d'une augmentation de 2,27 le taux de mortalité. Ça représente combien de personnes?
Quel serait la diminution du risque de mortalité lié à l'alcool si le baclo est autorisé ? Quelle serait la diminution de personnes abîmées ou mortes au niveau des dégâts collatéraux ? Bien insister là dessus! !
Les victimes = argument en béton.
Sans le baclo, aucun moyen d'agir sur ces faits, l'histoire l'à montré
Vraiment faire le point sur la situation avant baclo.
Deuxième volet
Le baclo reste un traitement difficile à prescrire il faut être formé pour cela.
On a déjà vu, Sylvie le confirme que des médecins fnt n'importe quoi. Ça ne peut pas continuer comme ça nous en conviendront.
Cette médecine 2.00 est un concept très nouveau. Faut pouvoir expliquer ce concept au tribunal alors qu'il n'y a aucun cadre juridique pour ce type d'application.
Donc, il faut apporter des éléments concrets qui vont irrefragablement optimiser la sécurité du traitement
Qui prescrit. Faut élargir le plus possible mais une formation sous que le forme que ce soit doit être proposée avec un programme précis . Proposer d'élargir les formations du resab à plus grande échelle.
Proposer peut être une dosage maximum, C'est délicat je sais, mais cet élément est essentiel, faut donner des chiffres sinon ce sont eux qui le donneront et ce sera probablement moins bon mais bien expliquer que la notion dose/dépendance n'existe pas.
Proposer le protocole et développer ce concept que le patient va s'approprier le traitement.
Soyez conscient qu'un tribunal ou autre instance politique et publique ne statue JAMAIS sur des débats passionnés mais sur du légal, etudes et du factuel .
Dans notre cas, le factuel ( apporter des faits de terrains, des témoignages en masse ) est essentiel sachant que certaines études comme Alpadir sabotent le traitement.
A réfléchir, a cortiger et compléter à mettre en musique
Pas été trop long 😂😂