De mes souvenirs, lorsque j'étais vraiment très petite, mon père avait émis l'idée d'un divorce et ça m'avait traumatisée, mais j'étais vraiment très jeune
Tout le reste de mon enfance, j'ai souffert de voir mes parents rester ensemble, se disputer, j'aurais aimé qu'ils se séparent
Ce n'est qu'à 40 ans que j'ai eu cette vie, quand mon père est décédé et que ma mère a refait sa vie, j'ai pu enfin reprendre vie
Concernant la séparation à proprement dit, j'ai vécu avec quelqu'un, sans enfant, ça a été très compliqué de décider de la séparation, j'étais celle qui quittait, avec toute la culpabilité, et puis des mois plus tard, les regrets, l'alcool aidant, des années plus tard, lui dire que je n'avais jamais aimé que lui, m'excuser le lendemain
il est resté mon meilleur ami, c'est tout le mal que je peux te souhaiter
Pour les enfants, l'essentiel est de leur dire qu'ils peuvent s'exprimer, qu'ils n'hésitent pas à parler
C'est l'expérience qu'a fait ma soeur avec ses 2 garçons, que l'on a conseillé à mon ex quant il a eu son fils et s'est séparé de la maman
Ils ont toujours fait à l'amiable, à savoir 50% chacun, l'enfant a maintenant 15 ans, et il gère
Et comme dit BB, "Et vu le nombre de couple séparés actuellement, dis-toi qu'ils seront juste... comme les autres

"
Courage à toi
Prendre une décision est bien moins anxiogène et dépressiogène que de ne pas en prendre
Rechute depuis 2013, début du baclo, dose maximum atteinte 330 mg, dose de déclenchement 290 mg, de longs paliers à 190 mg, puis 120, bref, aujourd'hui à 50 mg, dose de confort depuis plus d'un an, plus d'excès d'alcool, 0 consommation en solo, quelques verres en famille une fois par an, sur deux ou trois jours, et encore... objectif atteint, en 7 ans... alors patience ;-)