Coucou Jackie,
Je vais te donner mon simple avis.
Ton indifférence étant très récente, je me méfierai un peu du fait de boire une demie bouteille de cette façon.
D'installer une sorte de rituel du vendredi.
Du genre, donc : tous les vendredis, j'ai ma demie-bouteille que je peux boire en entier.
Ce n'est pas tant que ton indifférence va disparaître du jour au lendemain, mais je crois que c'est mieux quand le baclo nous permet de boire quand on veut, en petite quantités.
Et pas à un jour fixe, qui deviendrait le jour de l'alcool, celui où tu as le "droit" de boire.
Ce n'est donc pas la quantité (une demie bouteille sur une semaine...

) qui me chagrine pour toi.
Pour ta dose seuil, c'est plus simple en quelque sorte, puisque si tu n'as pas ressenti de frustration quand ta demie-bouteille était vide, que tu n'as pas envisagé ou regretté de ne pas pouvoir boire encore un autre verre, j'aurai tendance à penser que ta dose seuil est atteinte.
Ce qui est super est que tu sois aussi attentive à ta consommation et que tu sois dans la période "idéale" pour le traitement et aussi la consolidation de ton indifférence, malgré les E.I que tu nous décris.
Je n'ai pas été aussi attentif durant les 5 mois qui ont précédés l'arrivée de l'indifférence pour moi, avant que je ne rechute, un peu, pour la retrouver ensuite.
Bises à toi et un bon dimanche aussi.
Yann.
De l'inconvénient d'être (malheureusement) né. Kai stin pragmatikótita eÃnai o káthe ánthropos gia ton eaftó tou.