Le post qui va suivre, est un résumé de mon histoire, pas la votre. Si vous ne pouvez pas vous empêcher de boire le baclofène est la solution
Moi l'origine de mon mal est psychologique, et celle de ma maladie psychique? Pourquoi non?
Même si après la lecture vous n'avez plus la même opinion de moi, ce n'est pas grave, mais si certain jeunes de 12/18 ans me lisent et se sentent différents des autres, c'est une chance. Ne tenez pas compte de l'image que vous martèle, ne vous perdez pas.
Ceux qui ont des allergies quand on parle de psychologie ici, pas de chance.
Je suis curieux de voir vos réactions, je vais être pris pour un connard? Un menteur? Un lache?
J'assume, c'est la partie la plus sombre de ma vie, mais elle est derrière moi.
Voici:
Comment revenir après ces années?
Comment expliquer tout ces changements?
Je ne suis même pas arrivé à relire mon fil.
Je me rappel juste qu'il y'a des interprétations justes, d'autres complètement à coté de la plaque. (de ma part)
Comment vous expliquez?
On évoqué la dipsomanie, parce que c'est ce qui paraissait le plus proche de mon mode de consommation.
La grande question qu'est ce qui est symptôme qu'est ce qui est maladie?
La poule ou l'oeuf?
Au cours de mes soins, j'ai vu beaucoup de médecins, psychologues, psychiatres...
Qui écouter?
Mes soignants actuels ne sont pas d'accord.
Alors qu'est ce que j'ai fais? J'ai pris le diagnostic de la psychiatre qui a mis une étiquette sur mes "bouffées délirantes", je les nommes ainsi car les psychiatres ne m'ont jamais corrigé... mon médecin traitant de l'époque parlais de décompensations.
Bref J'ai eu 2 traitements différents le premier: Olanzapine (20mg), AD, anxiolytiques.
Et depuis 1 an environ changement de psychiatre (oui encore)
Elle a halluciné quand elle a vu tout ce que je prenais, beaucoup trop de benzo , pourtant je trouvais que ca ne m'apportait rien.
Je suis aujourd'hui sous Quétiapine 600mg, Laroxyl 25mg, valium 5mg.
Le passage de l'un a l'autre a été très difficile, tout le temps envie de dormir.
Mais une fois intégré, ca va, ca m'aide a dormir mieux.
Ca c'est coté chimie.
Coté psychologues, j'en ai vu beaucoup....
Dès le collège, un psychiatre qui ne parlait pas, je crois, qu'il s'est endormis 2 fois au bout de mes très long silences.
Il prenait le chèque préparé par ma mère ca a du durer quelques mois.
Sois disant spécialisé avec enfants...
je ne buvais pas à ce moment de ma vie, mes parents m'ont envoyé le voir, car j'étais en difficultés à l'école je crois, il faudrait que je leur demande^^
Et bien j'ai dis quand j'en ai eu marre du silence, je lui ai dis que j'étais malheureux, je lui ai dis pourquoi:
A mes 12 ans et demi lorsque j'étais en colonie de vacances avec des copains et mon cousin. J'étais presque heureux, suiveur des bêtises à faire, à rigoler.
Puis j'ai rencontré une personne, qui allait bouleverser une vie, une fille ...
Je ne m'y intéressais pas mais ca m'est tombé dessus avant l'adolescence. Un truc magique, tellement irréel, hors du temps.
Nul besoin de s'enlacer, de se faire des baisers, juste parler, être ensemble avec énormément de pudeur pour des sentiments tellement forts....
Une amourette, c'est comme ca qu'on a qualifié ce que j'avais vécu.
Mes parents m'ont dis que je pouvais lui écrire, mais que ca passerait.
Nous nous sommes écris pendant 2 ans environ, et on se voyait au mieux, une fois par vacances scolaires.
Mais à chaque retrouvailles, la même force du sentiment, partagé. Elle m'arracha le premier baiser en regardant un couché de soleil, elle a choisi le moment ou j'hésitais, elle a lu le livre ouvert que j'étais... Nous étions 2 moitiés, toujours d'accord.
Puis j'ai reçu un coup de téléphone d'elle. Elle voulait arrêter. Je me rappel de ce coup de fil, absolument pas traumatisant. (???)
Je lui ai répondu ce qui est venu tout naturellement, que ce que je voulais c'est qu'elle soit heureuse et que si c'était sans moi, c'était pas grave.
Tellement sincère...on s'est dit qu'on continuerais de s'écrire.
J'ai raccroché et repris mes activité "d'enfant".
les jours ont passé et j'ai reçu une lettre d'elle, je les reconnaissais à chaque fois à son écriture et ces petits mot à l'arrière de l'enveloppe.
Et en lisant les premiers mots j'ai réalisé... comme si ce n'était pas elle qui avait écris, elle me demandais si je pouvais lui renvoyé un de ses premiers courriers avec une image qu'elle voulait récupérer...
Je n'ai jamais répondu à ce courrier et aux suivants, je devais avoir 14 ans je crois.
Voila. LA blessure, la plaie.
Ce que j'ai toujours raconté, comme point de départ de la suite de ma vie.
Un avant, un après.
Comment avoir la force de grandir? comment retrouver la personnalité qu'elle avait révélé? Elle était mon tuteur de résilience si ca se dit.
Comment un enfant peut avoir ressentit des sentiments d'adulte avant d'avoir été adolescent?
Je me sentais tellement différent des autres garçons, ils ne savaient rien de tout ces sentiments, j'ai eu alors beaucoup de copines fille.
Je me sentais plus semblable à elles qu'aux autres garçons, les premières tentatives pour draguer comme les autres garçons échouaient, car j'étais le meilleur ami...
Et oui je les comprenais, je savais de quoi elles parlaient, elles me passionnaient. (et me passionnent encore)
J'ai eu malgré tout des petites copines, j'ai du me déguiser, faire comme les autres garçons.
Depuis cette période je n'ai jamais cessé de prendre exemple sur l'image du garçon puis de l'homme, puisque j'en était un à priori.
En fin de collège premieres soirées, comment me comporter?? Comme un homme j'ai supposé.
Premieres bieres, juste ce qu'il fallait pour avoir envie d'aller danser avec les filles, 2 3 verres, chaque week end.
Puis, il en fallait plus, pour sentir quelque chose, un semblant d'ivresse.
De petite copine en petite copine, je faisais comme les autres, les soirées devenaient trop courtes pour avoir le temps de danser.
A mes 15 ans j'ai eu ma premiere relation sexuelle, dénuée de tout sentiment, une fille qui m'intéressait pas du tout et qui me harcelait.
Voila c'était ca le sex...
j'ai passé mon anniversaire de mes 16 ans dans les toilettes, a vomir, m'endormir.
Puis les boites de nuits.
Quand les 17/18 sont arrivé j'ai fais les conscrits, et la l'image de l'homme était clairement de boire le plus possible.
J'étais prêt a jouer avec l'alcool. Nous étions officiellement adultes, j'étais donc un homme comme les autres
Puis les amis de buvette se sont séparés, chacun à différents endroits pour "étudier".
J'ai été à l'internat, dans un lycée poubelle, les soirs après les cours on se payait des bouteilles, puis le week end les soirée ou je retrouvait mes anciens potes, eux aussi buvaient toujours et fumaient des clopes. Ils aimaient pas les arabes, et moi né ailleurs.... bas j'ai suivi, y'avait tellement d'exemples qui confirmaient la règle dans mon lycée poubelle.
Plus les années passaient plus je me dégoutais, je commençais a boire pour endormir tout ce que j'étais...
J'ai brisé des coeurs, des vies...
Les deux dernières en date ont particulièrement ramassé.
Une pour avoir supporter toutes mes sorties en boite ou il fallait me porter pour rentrer, venir me chercher arrêté par les gendarmes pour alcool au volant, dégrisement etc...
A mes premieres bouffés délirantes et ma première hospitalisation elle m'a quitté.
La dernière en date j'en ai parlé. J'ai eu le coeur qui a battue quand je l'ai rencontré, j'y ai cru, mais ce n'étais pas marqué sur sa tête qu'on avait 13 ans d'écart....
une femme formidable qui avait besoin d'un homme fort, avec 2 fils dont un à sa charge, malade.
Elle a repoussé mes assauts, je voulais être son échappatoire, la faire rire, je pensais avoir trouvé ma place....
Comme mon fil le raconte j'ai ritualisé l'alcool, mais je cherchais le point entre l'ivresse la plus forte et l'inconscience.
Elle était trop gentille et allait se coucher pour me laisser endormir encore tant de choses..
Je n'étais pas à l'hauteur de l'homme dont elle avait besoin, et comment trouver ma place de beau père quand j'ai moins d'écart d'age entre son fils et elle.
Notre couple à pourrit, nous devenions colocataires...
Puis continuant de voir mes psy, je commençais à comprendre...j'ai dis de quoi je souffrais, on ne m'a jamais écouté!
Dans la nuit du 31/12/17 au 01/01/18, j'ai pris la dernière cuite de ma vie. J'ai finis par me trompé de numéro pour écrire des conneries à un ami aussi malade que moi, c'est arrivé sur le téléphone de mes parents, je me suis réveillé chez mes parents.
C'était la dernière.
Je ne sais pas pourquoi.
De la avec une Xième psy, je continue à chercher, et sans alcool, cela devient plus facile. Mon couple est mort, je le vois. Elle qui a prit un chiot pour trouver un échappatoire....
Elle passe plus de temps avec l'animal qu'avec moi.
Je constate...
Le 1 juin 2018, elle fume sur le balcon, je viens lui rappel que les vacances d'été arrivent et lui demande si elle a réfléchis a poser ses congés, et elle évite le sujet.
Je m'en doutais l'année précédente j'ai vidé de bouteilles de ricard d'un litre et 5l de desperados en une semaine... (bas quoi c'est les vacances on se lache?)
J'ai choisis ce moment pour entendre ce que je voulais entendre.
J'avais des sentiments douloureux de culpabilité indescriptibles, j'avais arrêté l'alcool depuis 6 mois...
mais ce jour là je lui ai répété plusieurs fois: "Veux tu que je m'en aille?" je ne me rappel plus du nombre de fois, parce qu'elle mettait la tête dans le sable.
Puis je lui ai demandé, de quoi as tu besoin?
Elle finit par me dire qu'elle voulait être seule, qu'elle n'en pouvait plus, que c'était trop
Nous nous sommes séparés d'un commun accord.
Elle est en dépression depuis 2 ans je dirais. C'est moi qui l'ai mise aussi bas.
Le premier week-end de juin, elle m'aide à faire mes affaires....un comble.
Le samedi on se prend deux fois dans les bras, et on pleure. Je ne sais même plus depuis combien de temps ca nous était pas arrivé de se faire un simple câlin.
Je profites des derniers moments, une promenade avec son adorable chiot.
La réalité du mal que j'ai fais remonte à la surface et je ne me cache plus.
On se quitte, elle me fait lui promettre de ne pas me laisser aller (un comble encore une fois).
Et je lui promet, mais cette fois, avec mon coeur. Je lui fais promettre qu'un jour on fasse le point, après qu'on ait avancé chacun l'un sans l'autre.
J'ai habité chez mes parents. Je ne pouvais plus me regarder dans le miroir, je faisais 86Kg au 1er juin pour 1m72, je devais souffrir pour l'avoir mise dans cet état.
Et j'ai pris une grande claque. Je me suis souvenu de ma promesse, je devais réagir.
Je décide d'arrêter mon comportement boulimique, et je fait attention à ce que je mange.
Au boulot je donne tout à 100%, chaque opération physique devient un sport, je dois maigrir, ca commence à marcher
Le 5 juillet entre 19h et 21h j'ai fumé ma dernière cigarette.
Un après midi fin juin je regarde pour un appartement, juste pour voir...
Le 13 juillet j'emménage. Toutes mes précédentes expériences de vie solitaire était juste une catastrophe (boulimie, alcool, tabac)
Je devais tenir ma promesse. Mais cette fois j'ai écouté mon coeur, ca faisait mal.... mais cette douleur je devais la prendre comme un signe de vie à l'intérieur.
Oui j'étais un monstre, oui ca ne sera plus jamais le cas, même si ca fait de plus en plus mal, je voulais y'arriver seul et au fil des rdv psy, pour: moi.
Le 22 juillet j'achète une balance connectée pour me peser tout les jours (73,5Kg), me motiver, me regarder dans la glace tous les jours. (oui il ne faut pas se peser tout les jours mais moi je le fais)
Je mange le minimum vital, je vais travailler, déterminé, obsédé, je ne craquerais pas, je ne fumerais pas, je maigrirais, je dois me transformer. Pas pour une image de qui que soit, pour moi, pour tenir ma promesse. L'alcool? Je n'y pense pas une seule seconde, ca fait mal, tampis? Tant mieux.
Ma psychiatre, mes responsables tire la sonnette d'alarme à mon retour de vacances le 20 aout je pèse 67,8Kg, mon objectif est à portée de main, je commence à me sentir un peu mieux psychologiquement.
Le 17 septembre je passe sous les 64Kg que je m'étais fixé. Je réfléchis à ce qui me ferait du bien psychologiquement: faire du sport, en chier...
Problème? Oui je n'ai pas ré équilibré mon alimentation, après 70 km de vélo en un week-end après plus de 10 ans sans sport, le lundi suivant je pars au travail et sur la route je me sens mal, j'arrive au travail je renverse mon café, je titube et demande de l'aide....
Une fois chez moi, j'ai 2h pour dormir avant d'aller voir le médecin. Tension: 8
Oui c'était une connerie...
Je rajoutes des féculents et des protéines, en quelques semaines ca va mieux. Je continue de maigrir un peu. Sans le vouloir.
Avec ma psy tout devient clair...
Je n'ai plus qu'a lui dire a notre prochain rdv
Je sais aujourd'hui quel est mon problème:
L'identité et la personnalité que j'ai fabriqué ne sont pas moi. Je suis en pleine crise identitaire, le masque tombe!
Je suis dans l'urgence de me retrouver!
Je suis le garçon extra-sensible de 12 ans et demi piégé par l'amour arrivé trop tôt ET qui a suivi l'image de l'homme "viril" vendue tout autour de moi dans ma vie jusqu'a cette année 2018...
J'étais trop différent, trop sensible, trop fragile.
Et comme je l'ai dis à une des premieres psychiatre que j'ai rencontré à l'hôpital, comme à celle de mon dernier rendez-vous y'a 10j:
"Docteur, j'ai un trouble de la personnalité" "je suis borderline".
Que ce soit avec l'alcool, la nourriture, le sport, l'informatique, le travail. Je ne sais pas ou se situe les limites et je les cherche en permanence.
Aujourd'hui je pèse 60,6Kg, je mange normalement, je suis dans la tranche IMC normale (un peu en bas) j'essaye de rester comme ca.
Je suis passé de taille 44 à 36, la silhouette d'avant, un peu plus musclé

J'ai commencé le piano, j'écoute beaucoup de musique, j'ouvre mon coeur et si je souffre c'est pas grave, c'est que je suis moi et vivant.
Je suis resté dans mon cocon ou je me sens bien de juillet jusqu'à jeudi dernier, j'avais besoin de faire la paix, de me retrouver.
Et ca faisait quelques semaines que je réfléchissais à m'inscrire sur un site ou des personnes qui ont envie de faire des activités proposent à d'autres.
Je me suis inscrit jeudi à ma première sortie, dans un bar

avec des musiciens. J'ai pris 2 schweps agrumes. J'ai discuté avec des
inconnus. C'est ce que je veux dans ma nouvelle vie, apprendre à me connaitre moi, sans modèle, et me présenter à des inconnus, qui ne connaissent pas celui que j'ai été.
Et je suis ravi. On m'a proposé un verre, j'ai dis, non merci je ne bois pas. Simplement et confiant. Vendredi j'ai découvert un autre endroit pour passer la soirée, j'ai dansé!
Personne pour me juger, une nouvelle naissance mon nouveau moi.
Samedi soirée célibataire! Non c'est pas une blague. A mes deux sorties de vendredi et samedi j'étais entouré de personnes entre 40 et 50 ans. Ca ne me posait pas de problèmes, mais je voulais voir ce que c'était, sans rien attendre, juste en étant: moi.
J'ai trouvé une personne pour co-voiturer, un inconnu. J'ai passé une des meilleure soirée depuis très très longtemps. Sans alcool, sans tabac et j'ai dansé parce que j'aime bien ca.
Et ce à quoi je ne m'attendais pas: le premier ami de ma nouvelle vie. On a discuté une heure avant d'aller à la soirée autour d'un Oasis, je parlais à un inconnu a coeur ouvert et j'en ai découvert un presque semblable au mien...ca existe?? oui. En 1h il a parler de ce que j'allais devoir régler, ca sonne juste, je continu ma psycho mais cette personne sort du commun.
Une personne qui fais le travail inverse au mien, qui a été blessé et abusé de nombreuses fois par des femmes sur ses sentiments, il apprend a se protéger en restant authentique. Nous avons beaucoup à partager.
il fut un temps ou j'avais une proche sur ce forum, mais c'est moi qui me suis éloigné. Si elle me lit je lui enverrai le prénom de cette personne en MP car ce n'est pas courant et il le porte très bien. (par contre tu ne travail plus je crois, donc ne corrige pas toutes mes fautes d'orthographe)
Dans ma reprise de sorties vous constatez comme moi que j'ai fais, jeudi, vendredi, samedi, parce qu'il y avait urgence et j'en avais besoin (mais aussi parce que je suis borderline)
Je garde pour la fin, on y arrive, une ... coïncidence, chacun verra ce qu'il veux mais c'est véridique:
Jeudi, Ã ma
première sortie organisé sur ce site internet connu dont je vous ai parlé. Pour commencer ma renaissance sociale et/ou perso, j'entre dans le bar. Je me présente à une dizaine d'inconnus, je m'assoie la ou on m'invite, je tourne la tête et une dame à ma droite, tient un journal ouvert. Qu'est ce que je vois?
Un double page consacré Ã
UNE personne: mon premier amour
Grande soeur, si tu me lis je t'enverrai la photo du journal que j'ai pris soin de dérober, mais que je n'ai pas encore eu le courage de lire.
La simple lecture de son nom et prénom en titre, a suffit à faire accélérer mon coeur...
J'ai écris comme c'est venu, j'en avais besoin, car en peu de temps c'est beaucoup. Ma transformation physique a été facile, sauf a la reprise de sport ou je me suis planté d'une semaine. L'arrêt de cigarettes a été difficile pendant 10j.
La ou c'est très très difficile c'est d'ouvrir son coeur à nouveau, et rencontrer une femme, comme mon ex, maman deux fois qui ne peux plus partager un moment romantique plus de 3 min 30 sans se sentir en danger. Le retour de bâton que la vie va me donner. Je l'accepterais et dorénavant toujours à coeur ouvert.
Si vous êtes encore là , c'est le moment, je suis devenu un connard comme ceux que je détestais, j'essai d'arrêter de me punir et d'être le plus proche possible de ce que me dicte mon coeur et rien d'autre.
Bonsoir