Bonjour,
j'ai 41 ans une longue relation avec l'alcool depuis 15 ans et aussi un souci d'hyperphagie nocturne.
Ces dernières années j'ai peu à peu reprit le contrôle de mes alcoolisation , je suis devenue plus modèrée sans pour autant cesser quelques alcoolisation massive le week end. Mon soucis est que je peux ne pas boire sur une longue période mais que si je reprend je n'arrive plus à arrêter. Cela me demande une vigilance constante , c'est une lutte épuisante qui bouffe l'énergie que je pourrais mettre ailleurs.
En MARS 2018 j'ai cessé toute consommation d'alcool sans aucune aide , ce furent des mois de vitalité et de bien être.
Malheureusement en aout j'ai vécut une intense période de surmenage ou je me suis ré-alcoolisée et ou mes crises d'hyperphagie nocturne ont reprit à un rythme infernal , j'étais comme une machine folle que rien ne pouvait arrêter , je suis vite devenue épuisée et désespérée. Je ne pouvait plus me passer de boire tous les soirs.
Assez facilement mon médecin m'a prescrit du baclo . Je n'ai pas totalement arrêter de boire mais je n'avais plus aucun craving , mes crise d'hyperphagie ont peu à peu disparues et surtout j'ai enfin eut l'impression d'être une personne normale c'est à dire sans ce fond d'anxiété permanent que j'ai toujours vécu.
Au mois de décembre j'ai cru que je pouvais être enceinte et j'ai été dans l'urgence d'arrêter le baclo . J'étais à 70 mg et cette faible dose me convenait , je n'avais pas atteint l'indifférence mais je pouvais faire face sans grande difficulté.
J'ai petit à petit supprimé les comprimés.
Concernant la grossesse c'était un faux espoir mais cela m'a fait réaliser que je n'en avais vraiment pas fini avec mon désir de grossesse (ceci est une autre histoire compliquée , je ne m’étendrais pas plus dessus sinon mon récit deviendrait interminable) et que malgré mon age je me devais d’essayer encore.
Mais depuis quelques temps mon anxiété est revenu , la période hivernale n'aidant pas , jeudi je me suis retrouvée avec un craving ingérable et une énorme montée d'angoisse ;
depuis jeudi j'ai but massivement le soir alors que je vivais bien ma sobriété jusqu'à présent sans le baclo.
Est ce un effet du sevrage trop rapide ou bien mon état naturel , dans tous les cas j'avais complètement oublié cet état de craving irrépréssible et d'anxiété .
J'avais gardé un fond de 20 mg à 22h pour l'hyperphagie , et depuis jeudi j'ai ajouté une prise à 17h , j'envisage de reprendre le traitement car le baclo m'est une aide dont je ne peux me passer.
Je pense que j'ai fait l'erreur de ne pas être abstinente durant le traitement, si je l'avais été je ne me serait peut être pas retrouvée dans cette situation.
Je ne veux pas faire le choix du baclo ou de la grossesse , je me dis que je peux peut être continuer le traitement et l'arrêter en cas de grossesse avèrée comme je l'ai fait le mois dernier ; je pense sincèrement que la joie d'être enceinte sera plus forte que l'alcool et l'anxiété.
Il y a peu d'infos sur le baclo et la grossesse j'aimerais avoir vos avis.
j'ai 41 ans une longue relation avec l'alcool depuis 15 ans et aussi un souci d'hyperphagie nocturne.
Ces dernières années j'ai peu à peu reprit le contrôle de mes alcoolisation , je suis devenue plus modèrée sans pour autant cesser quelques alcoolisation massive le week end. Mon soucis est que je peux ne pas boire sur une longue période mais que si je reprend je n'arrive plus à arrêter. Cela me demande une vigilance constante , c'est une lutte épuisante qui bouffe l'énergie que je pourrais mettre ailleurs.
En MARS 2018 j'ai cessé toute consommation d'alcool sans aucune aide , ce furent des mois de vitalité et de bien être.
Malheureusement en aout j'ai vécut une intense période de surmenage ou je me suis ré-alcoolisée et ou mes crises d'hyperphagie nocturne ont reprit à un rythme infernal , j'étais comme une machine folle que rien ne pouvait arrêter , je suis vite devenue épuisée et désespérée. Je ne pouvait plus me passer de boire tous les soirs.
Assez facilement mon médecin m'a prescrit du baclo . Je n'ai pas totalement arrêter de boire mais je n'avais plus aucun craving , mes crise d'hyperphagie ont peu à peu disparues et surtout j'ai enfin eut l'impression d'être une personne normale c'est à dire sans ce fond d'anxiété permanent que j'ai toujours vécu.
Au mois de décembre j'ai cru que je pouvais être enceinte et j'ai été dans l'urgence d'arrêter le baclo . J'étais à 70 mg et cette faible dose me convenait , je n'avais pas atteint l'indifférence mais je pouvais faire face sans grande difficulté.
J'ai petit à petit supprimé les comprimés.
Concernant la grossesse c'était un faux espoir mais cela m'a fait réaliser que je n'en avais vraiment pas fini avec mon désir de grossesse (ceci est une autre histoire compliquée , je ne m’étendrais pas plus dessus sinon mon récit deviendrait interminable) et que malgré mon age je me devais d’essayer encore.
Mais depuis quelques temps mon anxiété est revenu , la période hivernale n'aidant pas , jeudi je me suis retrouvée avec un craving ingérable et une énorme montée d'angoisse ;
depuis jeudi j'ai but massivement le soir alors que je vivais bien ma sobriété jusqu'à présent sans le baclo.
Est ce un effet du sevrage trop rapide ou bien mon état naturel , dans tous les cas j'avais complètement oublié cet état de craving irrépréssible et d'anxiété .
J'avais gardé un fond de 20 mg à 22h pour l'hyperphagie , et depuis jeudi j'ai ajouté une prise à 17h , j'envisage de reprendre le traitement car le baclo m'est une aide dont je ne peux me passer.
Je pense que j'ai fait l'erreur de ne pas être abstinente durant le traitement, si je l'avais été je ne me serait peut être pas retrouvée dans cette situation.
Je ne veux pas faire le choix du baclo ou de la grossesse , je me dis que je peux peut être continuer le traitement et l'arrêter en cas de grossesse avèrée comme je l'ai fait le mois dernier ; je pense sincèrement que la joie d'être enceinte sera plus forte que l'alcool et l'anxiété.
Il y a peu d'infos sur le baclo et la grossesse j'aimerais avoir vos avis.