Ma goutte de vinaigre.
Mélangée avec des excuses mielleuses; dans le cas où j' alimenterais des doutes ou/et des déceptions.
Faut-il que je précise ceci ? : ce n' est que ma petite expérience et je n' ai aucune intention de décourager qui que ce soit. Je n' en tirerais aucun avantage.
"
Elsa" ("Elas" . . . je dirais, plutôt . . . en laissant de côté "la" H (la hache) de "Hélas"), c' est le premier lieu où j' ai demandé de l' aide, n' en pouvant plus; septembre 2011.
Oui, (qui l' a dit ? - dsl . . . - l' âge . . . mémoire au bas de l' échelle), c' est un service des hôpitaux publics, "dédié" (ne pas confondre avec "dévoué", dans mon cas) aux addictions. Aux addictifs . . .
J' ai persévéré, durant 3 rdv, une fois passé le "tri" effectué par l' infirmière habilitée.
3 rdv "face" Ã un mur de certitudes, de conformisme, de rejet. Le RGO, probablement.
Docteur en gastro-entérologie. dotée d' une grande expérience, selon l' impression que j' ai eue de son "âge apparent" (ne pas se fier à ça, ok . . .).
Je venais demander du Baclofène. J' avais entendu, dans une émission médicale, sur France Cul, comme certains disent, une interview d' Olivier Ameisen. Et j' avais déjà lu son livre (quand je me suis pointée chez "Elsa"). Il avait répondu à deux mails que je lui avais adressés. J' en serai honorée pour toujours, et je les relirai sans fin, ces mails, comme un trésor "tombé du ciel".
Mais Viva (coucou les vieux !) et Sylvie n' avaient pas encore pu m' orienter vers un prescripteur.
1/ je ne les avais peut-être pas sollicitées, à ce moment-là ,
2/ ils ne courraient pas les rues, les prescripteurs de Baclofène
3/ mais peu après, grâce à elles (Viva, d' abord) j' ai pu en consulter un, à 150 kms
Bref, la docte doctoresse en gastro-entérologie, m' a répété (pourtant, à cette époque, je ' étais pas sourde):
- "Madame, reprenez votre vie en mains !"
- Vous en avez les ressources !
- Baclofène . . . peut-être . . . "au pire" (comme l' Extrême Onction), si "on" a épuisé
toutes les autres solutions
(hospitalisation, de jour, et en structure résidentielle + Aotal + Revia et Associés (précepteurs, mais surtout percepteurs, de dividendes versés par les labos et les cliniques, et même les médecins hospitaliers - bien souvent, ils jouent sur les deux moitiés du même terrain - il n' y a jamais assez de beurre sur les épinards et bienvenue aux peaux de saucissons sur les yeux - ils savent voir à travers).
Ou bien, ils sont simplement complètement c . . . , et ce n' est pas davantage rassurant, vu le nombre d' années d' études, et vis-à -vis de leur supposée "vocation" à soigner leurs prochains,
. . . leurs "lointains".
Ben, je pense bien que personne n' a lu ce pensum, long, chiant et "revanchard".
C' est sorti, c' est ainsi.mère theresa
Je l' ai déjà écrit quelque part: Shreck ("c' est mieux dehors que dedans").
Ah . . . C' est pas du Oscar Wilde . . . ni une citation de Gandhi ni de Mère Teresa.
Et même, si je ne me retenais pas, je le dirais en patois auvergnat. Pas certain que je ne le fasse pas, un de ces quatre.
Même si certain(e)s peuvent interpréter le contraire (ils -elles- en sont totalement libres), je n' ai d' acrimonie envers personne, et par exemple, pas envers moi-même.
Et un attachement profond et indéfectible pour . . .
A eux et aux autres, je souhaite la force nécessaire pour continuer à se bagarrer, contre toutes les formes d' héritage, et/ou "d'auto-destinée" supposée (nawak, selon mes pauvres constats).
Et à eux qui croient en leur volonté, je leur fais, tout autant, mes révérences, et leur adresse mes encouragements.
" Ce sont des choses que je ne répéterai pas ! ! ! "
Dans un roman de Marcel Pagnol, qui n' est pas un personnage que j' affectionne, mais bon . . . "l' occasion fait le larron !". Le lardon.
Et, aussi: mon petit doigt ne me dissimule pas ! Il le sait bien, et moi aussi.
Zou !!! Yallah ! ! ! (Ça, c' est Sœur Emmanuelle - je suis ni fervente, ni pratiquante - et la dogmatisme de l' Eglise catholique me fait, simplement, dégueuler - sauf, qu 'il a existé, qu 'il existe, des personnes lumineuses - je les "aperçois" d'autant mieux que je suis enterrée dans le noir).
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