Dommage, je n' ai pas trouvé le moyen de poster quelque chose de "décent" qui puisse illustrer l' album de Reiser, dont le titre est:

" On vit une époque formidable ".

Je file la souris à qui aimerait; en attendant (éventuellement):
bah, même sans visuel, demeure le texte (qui m' habite - sans jeu de mots à la Choron - Cf. Kara-Kiri - un temps que les moins de . . . cinquante ans ne peuvent pas connaître ? - ah si, moins de cinquante ! J' en vois un "pas loin" ! ! !).

Je l' embrasse et je le remercie d' avoir fait remonter à ce qui me sert de cervelle, la mémoire de certaines choses.
Ayant l' accolade (quasi-) illimitée, j' embrasse également les chalands qui passeront par ici. S' ils ne craignent pas d' être contaminés par mes pensées peu encourageantes.

* "con" et "finement", ce ne serait pas une aporie, par hasard ? (Ça va, hein, je ne mets pas un lien pour ce terme . . . ! Il existe une grande bibliothèque à portée de clic - d' ailleurs, tant qu' à y faire un tour, pourquoi ne pas jeter un coup d' œil sur " injonction paradoxale " ?).

Démerdons-nous. Intimement et ensemble, cela ne me semble pas contradictoire.

"J'ai appris aujourd'hui" ce qu'était une aporie et c'est chouette, merci à toi championne des surnoms diverzévavriés

Coucou Marie-Pierre et Lee,

Les apories de Socrate mettaient dans un grand embarras les rhéteurs et Sophistes de son époque, du moins tel que le rapporte Platon dans ses premiers écrits (lesquels sont nommés les "dialogues socratiques").

Lee, comme tu as dû le voir, une aporie est souvent traduit du grec par "impasse".

Mais ce terme peut aussi être entendu comme le terme d'un chemin de pensée dont la solution n'est pas encore trouvé, ce qui est moins noir ou désespérant que le mot impasse.


Marie-Pierre, tu dois connaitre cette injonction paradoxale :

"Dis moi que tu m'aimes..."

Et en ce moment, il en existe une qui consiste, selon ma pomme, en ceci :

"Obéis à la liberté d'expression"

Voili, voilou,

Jé ramnené ma Siensse

Bises zé Bisecoeurs.

Yann

P.s : je réédite pour corriger mes fautes, because je suis bien crevé.

Je l'aime bien ta Siensse Petit Rocher cause que je la comprend et j'en redemande.
En même temps "Finement con", je mettrai plutôt ça du coté de l'oxymore

Lee,

Bien vu pour l'oxymore .

C'est aussi du verlan.

A demain, peut-être,...Vais faire dodo.

Je te souhaite de faire une bonne nuit.

Bisecoeursbis.

Yannix.

Un bonjour,

assez flippé (tiens ??!). Je raconte ici, étant un peu à plat pour donner de mes nouvelles, individuellement, à celles et ceux qui me connaissent et me soutiennent au plus près.

Près de 50 box fracturés et/ou dévalisés, la nuit de mercredi à jeudi dans les garages de la copropriété où j' habite. Qui n' est pas une "usine"; je veux dire par-là que 90 % ont subi des dommages. Il n' y a pas 200 box.

Perso, Alléluia ! Seulement la porte du box cintrée et les montants démolis à coup de marteau et de pied de biche (retrouvés sur place). Je peux tout de même rabattre la porte et même donner un tour de clé, et on ne m' a rien volé . Ma voiture n' a pas été dégradée non plus .

Les autres box autour du mien: vitres de véhicule explosées, vélos (entre autres choses) dérobés, portes de box défoncées.

J' ai une chance insolente. Et puis, dépôt de plainte, gestion avec la compagnie d' assurance, attente de réparations . . . je commençais à m' ennuyer.

. Quand j' ai constaté le petit "désastre", je m' arrachais la peau du dos pour aller chez ma psychiatre, qui . . . m' a annoncé qu' elle venait de faire son Covid réglementaire (*), au lieu de subir une intervention chirurgicale ORL programmée pendant ses congés pour la Toussaint.

"On vit une époque formidable". Bis repetita. J' ai un toit, une voiture, l' eau courante, des WC, même pas besoin de chauffage, pas de bombes qui me tombent autour ni d' usine de produits chimiques qui s' enflamment à proximité (. . . et pourtant, Feyzin, que je connais comme le fond de mes poches . . .). Il y aurait aussi le centre de recherches et de "culture" en virologie ("le" P4).

Take care and keep quiet, friends.


(*) grosse fièvre, maux de gorge (sensation très différente d' une angine), épuisement complet, seul lieu de contact possible identifié: garagiste local (aucun personnel portant le masque, pas de distanciation pour la signature des papiers, le paiement, l' accompagnement au véhicule révisé, etc. ...). 35 minutes passées dans le lieu + peut-être l' intérieur du véhicule contaminé.

Encore moi; obligée.

Aporie, oxymore, et autres. Injonctions paradoxales; je l' ai déjà écrit ici, mais je me permets de renouveler, parce que ça me "parle" depuis ... ans et ça me fait "rire" :

Injonction paradoxale, autrement nommée "double contrainte", par celui qui a mis à jour cette notion (*) fondateur de ce qu' on appelle "L' Ecole de Palo Alto".

L' un de ses livres que j' aime bien, déjà pour son titre: " Comment réussir à échouer ".

Un autre exemple que celui que tu as donné, Yann: "Sois spontané".

Paul Watzlawick. Pas de lien; celles et ceux qui en auront envie sauront bien trouver !

Je les embrasse, et aussi les personnes qui n' éprouvent pas d' intérêt pour ça.




(*) Platon ? Non, loin de là, Yann ?. Et/ou d' autres philosophes avaient découvert ça bien avant Watzlawick, qui "n' était qu' un psy" ?

Reviendage sur mon message de 9:45 ce matin:
le groupage, aussi,
c' est passe que je c' est que certain(e)s sont bien à la ramasse (= en peine), en ce moment, pour pouvoir s' exprimer dans le cadre de communications inter-personnelles privées.

(Je ne les dénonce pas, n' est-ce pas ?! je les embrasse très fort ! ).

On dirait que j' en ai fini pour aujourd' hui. Ah, mais je reviendrai ! Et où ailleurs j' irais ?

Les rues de Philadelphie, aujourd' hui, doivent être bercées par une mélodie plus joyeuse. . Même si j' aimerai celle-ci à jamais.

J'espere que tu ne subis qu'un coup de froid, peut être pas besoin d'un petit covidounet sur tes épaules.

"Sois spontané": grandiose! Et très intéressante cette double contrainte. merci, merci Tutu.

Lee,
ha non, je n' en veux pas de ce truc, en effet ! Je ne vise pas la "complétude" dans les emmerdements.

C' est l' une des raisons pour lesquelles je ne suis pas allée à Clermont aux obsèques de mon ex-beau-père (quatre jours avant le confinement actuel).

La description que j' ai faite - (*) - c' est celle du Covidus de ma psychiatre.

Ma filleule, en classe de 2de à Clermont, l' a contracté chez une copine dont la mère l' avait (asymptomatique au moment où les gamines ont passé le week-end chez elle). Ça fait jeune 15 ans et demi . . . en pleine santé, gymnaste au tarif de 3 entraînements par semaine + compétitions.

L' un de mes neveux, à Paris, 29 ans, l' a choppé aussi. Et hop, privé d' enterrement lui également.

Ça, c' est du deuxième degré; ce gosse a été le premier né (à 7 mois de grossesse, dur dur) des dix cousins et cousines, et il adorait son grand-père maternel.

Quant à mes deux zozos (l' un à l' étranger, l' autre -24 ans aujourd' hui même- confiné avec sa dulcinée dans 30 m2), ils sont bien capables de me dissimuler certaines informations les concernant.

Mais comme aurait peut-être dit Paul Watzlawick (deuxième degré là-aussi): n' ayons pas d' intuition négative.

Bises, Lee.

Coucou chère Marie-Pierre,

Je ne peux pas parler du livre de Watzlawick, car c'est mon ex-compagne qui me l'avait fait découvrir au début de notre histoire.
Le titre seul me reste en travers de la gorge.
Ce "titre", quelle ironie pour ma pomme, et mon ex-couple...

Enfin, bref...

Sinon, pour te répondre, schématiquement, c'est plutôt vers Aristote que Platon que l'on pourrait se tourner, car c'est lui qui a formalisé la logique qui a prévalu jusqu'au début du 20 ème siècle.

En effet, le principe de non contradiction, qui découle du principe d'identité, est au fondement du "double-bind":

Je ne peux faire quelque chose ou être quelque chose, et son "contraire", en même temps.

Je ne peux être petit et grand en même temps, par exemple.

"Sois spontané" est une proposition contradictoire, comme on le comprend tous, selon la compréhension du concept de spontanéité qui ne peut supporter d'être adjoint à un impératif émis par un tiers.

L'identité du concept de spontanéité est contredite, biffée, par l'impératif.

Bises.

Yann.

Cher Yann,
bon, d' accord: "Coucou", ,

je suis navrée, pour cette amère piqûre de rappel, involontaire.

moi aussi, pour cette bévue ...

Je pense pouvoir comprendre comment ce titre de livre t' afflige, et comment en ce qui me concerne, il demeure une porte ouverte sur une éventuelle possibilité de compréhension.

Je dis "comment", je ne dis pas "pourquoi". L' épaisseur du trait ? Plus que ça ?

Merci, pour ton explicitation (Aristote versus Platon) que tu exprimes de manière limpide. Idem pour "double-bind", un terme qui était sorti de ma mémoire . . . j' avais beau chercher, il ne remontait pas à la surface. Preuve de l' approximation de mes propos.

Philo et psycho. Couple bizarre, pas au point, à de rares exceptions (tu en connais une -exception-, ouf).

C' est la pleine saison des pommes. Dans tout ce qu' elles ont de bon.

Tiens, je pense à cette maxime: "la pomme ne tombe pas loin de l' arbre" (= du pommier, si besoin d' esspliquer). Zut, ça, c' est généralement un dicton utilisé dans une signification (sous-entendue) délétère.

Donc, oublie !!! Très malvenu, spécialement en cette période.

"Oublie" : et voilà, encore un exemple (enfin . . . sous manipulation pseudo-hypnotique de spectacle . . . ça peut avoir l' air de fonctionner ?).

C' est la merde, hein ?!

N' omets surtout pas (injonction stricte et simple = un "ordre" ) de rester dans les parages ! ! !

En espérant que personne ne revienne dans mon garage (j' y vais voir 2 fois par jour !).

compliquées.

R I P, Adiós, Hasta siempre, Ciao Ciao, "El Genio".
Tiens, hier, c' était "l' anniversaire" de l' envol final d' un autre génie, le 24 novembre 1991 (déjà . . .!?) :
Farrock Bulsara = Freddie Mercury.
Rien à voir ? Si, pour moi.
Merci(s). In memoriam.

Et puis, Christophe Dominici, rugby,
avant-hier, qui s' est jeté d' un immeuble, à 48 ans.
Que de beaux moments donnés, aussi.
Misère . . .
Hommage.

Une "chansonnette" pour toi Tutu.

Merci Lee; tu me connais bien.
D' ailleurs, ou, parallèlement, je crois bien que ce fou de Diego Armando Maradona était monté sur scène avec Queen.

Chanson, j' en ai une qui trotte dans ma tête pour toi, va savoir pourquoi, depuis quelques jours.
Bon, il y a des signes . . . ?

Alors, la voilà, beaucoup pour l' interprète, et pour le texte. J' hésitais parce que c' est pas vraiment rigolo.
Sauf . . . que tout d' un coup, surgit l' espérance, que c' est possible.
Et elle savait de quoi elle parlait.



Ha: je crois qu' il y a une seconde version d' enregistrement, après celle-ci.

Tout juste ma Totue. J'aime beaucoup Barbara mais celle ci me fait particulièrement écho.

La petite c*nne que je suis n'avais jamais vraiment écouté de Barbara...
Marie-Pierre, tu m'as fait remédier à ce manquement impardonnable.
Merci <3