Je viens de m'apercevoir que je n'ai répondu que partiellement à ton questionnement, Riquinita :
[...]Si oui, ces personnes peuvent-elles témoignées de leur expérience c'est à dire être indifférent à l'alcool ou garder une consommation minimal sous contrôle [...]
Alors voilà la suite :
Je m'autorise encore un apéro seule dans la semaine, par pur plaisir du goût, et m'en passe aisément autrement.
Je bois également de l'alcool lors des repas conviviaux.
Dans ces deux cas, je ne me pose aucune limite puisque ça ne va jamais bien loin.
C'est aussi très rare parce que je suis quelqu'un de très solitaire.
Cela dit, si je suis invitée chez quelqu'un ou si j'invite moi-même quelqu'un, sans en faire un drame, il me manquerait quelque chose si je ne passais pas par la case apéro, de même qu'il me manque quelque chose si un café ne clôture pas mon repas.
Par ailleurs, après être montée à 300 mg de baclo, j'en prends désormais 60 mg.
Je pourrais sans doute réduire un peu ma dose mais je ne le fais pas car le baclo a également chez moi des effets bénéfiques concernant le sommeil et l'anxiété.
Je fonctionne comme ça depuis environ 2 ou 3 ans.
Voililou !
Ma confiance ne se mérite pas. Je la donne sans conditions et la retire sans sommations.
Dialogue extrait du Petit Prince de St Exupéry :
Que fais-tu là ? Je bois.
Pourquoi bois-tu ? Pour oublier.
Pour oublier quoi ? Pour oublier que j'ai honte.
Honte de quoi ? Honte de boire !