Coucou Capitaine,
Tu le sais, mais ta consommation est en effet trÚs élevé.
J'ai évidemment connu ça, lorsque je vivais à Paris il y a trÚs longtemps désormais.
Je buvais environ 15 UA quasiment tous les jours.
Ca m'ennuie vraiment beaucoup pour toi.
Si j'ai bien compris, tu subis une envie trĂšs forte de boire aussi la nuit ?
Est-ce que cette envie, ce craving, te réveilles ?
Est-ce que les personnes (des ami(es) ?) avec qui tu pars en vacance sont au courant de ton addiction ?
J'imagine que s'ils boivent "pas mal", les tentations vont ĂȘtre trĂšs nombreuses de boire durant vos vacances : as-tu comme "dĂ©cidĂ©" d'y cĂ©der ?
Je te demande cela car je crois avoir compris que tu aurais décidé de t'attaquer à nouveau à ton addiction aprÚs tes vacances; or, je me demande si tu ne devrais pas essayer de profiter de tes vacances pour commencer à mettre la pédale douce sur l'alcool. C'est juste mon petit avis.
Pour les médicaments, tu le sais bien sûr, il faut y aller progressivement, quand on sent que l'on peut s'en passer.
Tu as donc bien raison de nous écrire que tu ne voudrais pas "griller les étapes", car c'est l'un des meilleurs moyens pour se planter.
Bon courage, et de trĂšs bonnes vacances Ă toi.
Donnes nous en des nouvelles, si tu le veux bien sûr.
Yann.
De l'inconvĂ©nient d'ĂȘtre (malheureusement) nĂ©. Kai stin pragmatikĂłtita eĂnai o kĂĄthe ĂĄnthropos gia ton eaftĂł tou.