Coucou Revil,
Ne le prends pas "mal", depuis mon inscription ici, j'écris toujours "coucou" en guise de bonjour.
Je suis content de lire que ton médecin ne t'ait pas laissé en plan, sans aucune prescription de Baclofène.
Certes, j'imagine bien qu'un dosage 50 mg n'est peut-être pas suffisant à moyen et/ou long terme pour que tu retrouves l'indifférence.
Alors j'espère que ton M.G changera d'avis au niveau de ce dosage pour la suite de ton traitement lorsque tu vas retourner le voir, ou bien que Karine pourra te proposer l'adresse d'un autre M.G près de ton domicile - ou situé pas trop loin.
Aussi, je craignais de lire que tu ne parles de la perte possible de ta "compagne", à cause de ta rechute et de cette "fête des voisins".
J'espère vraiment que cela n'arrivera pas, et que vous pourrez discuter de ta maladie (l'alcoolo-dépendance) et surtout de ta volonté de te soigner à nouveau.
Je comprends ce qui s'est passé lors de cette "fête des voisins". Lorsque j'étais très jeune, puis étudiant, ça m'est arrivé aussi. C'est arrivé aussi à deux amis, et des "potes" d'alors.
Evidemment, lorsque l'on est plus âgés, en couple, avec une vie d'adulte, ce genre de comportement à cause de l'alcool prend ensuite des proportions bien différentes.
J'espère que tu tiens le coup psychologiquement et surtout que ta compagne est encore avec toi, que vous êtes à ce jour encore ensemble.
A te lire.
Bon courage pour ta soirée.
Yann.
De l'inconvénient d'être (malheureusement) né. Kai stin pragmatikótita eÃnai o káthe ánthropos gia ton eaftó tou.