Bonjour a tous ,....
je m'excuse tout d'abord pour cette absence qui a duré pratiquement deux mois et cela pour des raisons de santé...
quelques nouvelles de Moi:
en arrivant a alger j'ai procédé a l'arret immédiat du baclofène pour des raisons financières, et j'ai continué a traiter ma dépression avec le deroxat a raison de deux comprimés par jours , j'ai continué a boire dans les bars algerois a raison d'une cuite par semaine, (le tout deux cuite seulement depuis que je suis là ), j'ai procédé après comme suit : j'ai arrêté l'alcool d'un seul coup, bien sur les tremblement ont continué et l'envie était toujours présent et fort, meme avec des rêves nocturnes en buvant de la bière, des sueurs, et conduite addictives vis a vis du lexomil (je dormais toute la journée pour oublier l'envie ),.
ma situation s'est amélioré après, ou j'ai arrêté progressivement les antidépresseurs, et le lexomil,et celà grâce a des tisanes diverses.
Actuellement je ne me sens pas déprimé, et je dors 6h par nuit en prenant un neuroleptique a effet sédatif mieux que les benzodiazépines (effet accoutumance )
Je ne bois pas depuis 2 mois .
j'ai repris le baclofène a dose stable de 40 mg par jour .
Pourquoi avoir repris le Baclofène? :
tout simplement parce que je m'identifie comme un sujet a risque et un alcoolique et je crois en cette force du Baclofene, et que mon séjour a paris ma permis de réduire ma consommation alcoolique de 4 bouteille de vin a 3 ou 4 bières. et je le sens maintenant que l'envie commence a disparaitre grâce au sevrage sauvage et aux espoirs porté sur le baclofene.
Pourquoi avoir quitté Paris ?:
j'ai quitté paris suite aux appels alarmants des gens qui me connaisse , je tiens a remercié Mia et Valérie, en Fait je fesais une grosse dépression ajouté a cela les effets secondaire du baclofene et mes consommations de bières qui na pas cessé d'augmenté dès le matin, mes très chers amis , m'ont conseillé sois l'hospitalisation sois le retour au foyer familiale pour me rétablir.
je me sentais tellement mal que je pensais au suicide.
Heureusment que je les ai écouté, Grace A VIVA, Bidibule, Ma soeur, j'ai pu sauvé ma vie et retrouver la joie de vivre a alger. ( c'est vrai que je n'est pas pu reprendre un boulot stable ( puisque mon diplôme français n'est pas reconnu en algerie), ni mon activité préférée le flamenco) mais je respire sans alcool et sans hypnotiques, et benzodiazépines.
Voilà un ti résumé avec lequel j'espère remonté le fil de l'actualité de mes amours les internautes de ce site très cher a mon coeur, qui grâce a lui j'ai appris a rechercher la lumière pour pouvoir grimpé les echelles tout doucement sans alcool.
Je salue tout ceux qui m'ont accompagné durant mon dur combat, qui continue encore avec plus de vivacité et envie de guerir .
Gros Bisou
Amine
Je vous adore et je me prononce apte a guider toute personne nouvelle dans ce forum .