bonsoir à vous,
Je n'arrive pas trouver le sommeil.
Me suis peter un plombs grave hier en fin d'apprès midi.
J'ai demandé à ce que l'on vienne me chercher chez moi, car j'étais déssemparer, parents, directeur de mon taf, puis en fin d'après midi mon père est venue me chercher à la maison.Me suis mis à pleurer en sanglots, j'ai voulu discuter avec mes parents, puis on c faché grave, j'ai tout repprocher à mes parents de ma vie. Puis en fin d'après midi, je n'arrêtais pas et une douleur à la poitrine m'est survenu. Tous le monde a prevenu les pompiers parents, belle famille, une ambulance est venue rapidement, j'ai expliqué queje voulais finir avec la vie, que je n'en pouvais plus. Ce matin j'ai vu une psy de l'hopital en urgence que j'ai fait demandé. J'ai discuté avec elle pendant environ 2 bonnes heures, je lui ai expliqué que je prenais du baclofène mais que j'avais besoin de m'évader de temps à autres, m'évader l'esprit.Visiblement, je ne suis plus alcolo dépendant d'après certaine personne, personne que je ne citerai pas, pour ceux qui me connaisse bien, il trouveront le nom de cette personne car j'ai son tel perso, mais que j'avais un trouble qui n'était pas regler, c'est pourkoi je préférais fuir, j'ai voulu engagé ce sujet avec mes parents mais en vain,je n'ai pas été correct avec eux visiblement, à l'hopital j'avais 18, de tension je ne tenais plus en place, je leur ai même dit que je voulais terminé ma vie ce soir. Il m'ont perfuser et ensuite, suis tombé de sommeil, ce matin j'ai demandé a voir un psy rapidement. Une psy et 2 médécins sont vénu à tour de rôle, je me suis laché vers la psy pendant environ 2h, ca m'a fait du bien. Un médecin connaissant ma mere, a expliqué que j'avais peter un plombs sever. Je souhait poursuivre avec un psy pour connaitre d'ou vient mon problème, ce soir n'arrivant pas dormir, j'ai chercher un lysanxia dans la maison, je ne pnsais pas que j'en avais.
Désolé de vous raconter mon petage de plombs m'est ca me fait du bien.
Jérôme
Il n'y a que deux façon de vivre sa vie : l'une en faisant comme si rien n'était un miracle, l'autre en faisant comme si tout était un miracle (ALBERT EINSTEIN)
Manger est un besoin de l'estomac, boire est un besoin de l'âme (Claude TILLIER)