Coucou Muse,
Je me suis retrouvé dans ton témoignage sur un point (entre autres) :
- Vouloir "convaincre" son conjoint de son problème d'alcoolo-dépendance
- Sans avouer certains "travers" dont on a encore trop "honte"
Moi sur la fin de ma vie conjugale, j'avais commencé à planquer une bouteille derrière l'écran du PC, dans l'armoire de la chambre...
Je buvais en douce dans une tasse, je me faisais de faux thé, des artifices dignes de Houdini !
Et pis je me suis fait capter, comme un gosse la main dans le pot à confiture. Ou alors elle a toujours fait semblant de ne rien voir, ce qui n'est pas mieux.
La honte est un frein, un boulet, surtout devant son miroir.
En sortir fait un bien fou, c'est ce que je te souhaite.
Et si ton homme t'aime, il comprendra ta détresse et te soutiendra. Et ton enfant te remerciera plus tard d'être la super maman que tu es déjà .
Lâche pas l'affaire, et bon RDV.
PS : j'ai répondu à ton MP sur les algies vasculaires
« Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. »
Alain.