Coucou maya, Coucou babaloo,
J'ai une petite histoire Ă vous raconter, elle n'est pas de moi, elle vient d'un film bien connu :
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- Tu sais ce qu'il faut faire pour vivre au milieu des sirènes ?
- Non, dis-moi !
- Tu descends au fond de la mer, très loin. Si loin que le bleu n'existe plus, là où le ciel n'est plus qu'un souvenir.
Un fois que tu es lĂ , dans le silence, tu y restes !
Et si tu décides que tu veux mourir pour elles, pour l'éternité, alors elles viennent vers toi et jugent l'amour que tu leur porte.
S'il est sincère, si il est pur, et si tu leurs plait, alors elles t'emmèneront pour toujours...
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Voilà , je me suis régulièrement relu cette histoire quand j'étais bourré. Je sais pas pourquoi mais il y a un truc glauque là dedans qui m'avait particulièrement attiré. Quelque chose qui me ressemble, ou à quoi j'aurais aimé ressembler... Une sorte de saint Graal du marasme final auquel j'aspirais dans ma déchéance. (Yeah ! z'avez vu le nombre de mots itello que j'ai mis en une seule phrase !?! ).
Aujourd'hui, quand je la relis, je trouves cela vraiment joli/triste mais que c'est encore bien mieux replacé dans son contexte, dans le film.
Moebius avait emprisonné mes pensés
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruban_de_M%C3%B6bius mais le baclofène a coupé son ruban.
Aujourd'hui je suis redevenu normal... presque adolescent :quand je suis tout nu devant une glace, j'adore me faire peur en faisant le cri de l'éléphanteau, avec sa grosse trompe.
Bon la taille de mes oreilles c'est hors sujet... je voulais juste pour vous rassurer, moi aussi j'ai douté, j'ai dérapé, comme beaucoup d'entre nous, sinon tous. Ne vous inquiétez pas, c'est tout à fait normal.
Soyez rigoureuses et patientes.
Arrivera un moment ou le besoin sera moins fort, puis de moins en moins fort.
Et un jour votre craving aura disparu. Aprés, si nous les mec c'est une histoire de trompe, vous c'est une histoire de trompette ?.
Bien Ă vous
Bizes