Bonsoir
Je me présente : j'ai 47 ans depuis 9 jours et je bois depuis que j’ai 16 ans. Au départ, avec les copains le samedi soir et puis de plus en plus, pendant les WE, les repas entre amis etc... Mes amis, lorsqu’ils ont vieilli, ont arrêté de s’enivrer et moi j'ai continué à boire au quotidien, en cachette dans ma cuisine en préparant les repas. Toujours 2 verres, un caché dans la cuisine l’autre à coté de mon assiette : pas joli tout ça.
J’ai réussi à pourrir la vie de mes enfants et de mon mari qui ne souhaite plus avoir une vie de couple même s’il ne parle pas de séparation (pas encore, mais pour combien de temps ??).
Il y a 2 ans, j’ai brièvement entendu parler d’un médicament pour guérir l’alcoolisme dans la presse et j’ai promis à ma fille de me le procurer mais je n’ai rien fait…
Au mois de mai, une amie m’a pris à part pour m’expliquer qu’il fallait que j’arrête de boire car elle m’aimait et ne voulait pas que je soit saoule et que mes enfants aient honte de moi.
Il faut dire que peu de temps avant, je m’étais donné en spectacle à son anniversaire de mariage. Donc tout le monde autour de moi sait que je bois, et je n’en peux plus de cet état de fait.
Je voudrai être comme tout le monde, boire un verre ou deux et dire non au suivant.
C’est pourquoi au mois de juin, je me suis mis à la recherche d’un médecin prescripteur et depuis je suis sous baclofène.
Mon médecin traitant, qui n’y croyait pas trop m’avait dit lorsque je lui avait parlé du baclofène vous y croyez vous à la pilule miracle ? Même s’il a changé d’avis depuis et qu’il s’est renseigné sur les résultats avait raison sur un point.
Ce n’est pas une pilule miracle car même si j’ai diminué ma consommation d’alcool, j’ai des ES hyper invalidants.
J’ai les bras lourds, je passe des nuits blanches, j’ai des flash devant les yeux et suis incapable de conduire sans m’endormir.
J’ai pourtant augmenté très progressivement les doses : 10 mg tous les 5 jours.
Aujourd’hui je prends 110 mg répartis de la manière suivante
09 :30 : 25 mg
12 : 00 : 20 mg
15 : 00 : 20 mg
17 : 30 : 25 mg
20 : 00 : 20 mg
J’étais même monté à 120 mg (10 jours) puis à 130 (3 jours) mais suis redescendu à 100 mg car les ES étaient insupportables et je partais en vacances 1 semaine : je ne voulais pas gâcher mes vacances, il est vrai que les ES se sont atténués.
Je suis remonté à 110 mg depuis 4 jours et là : bonjour les dégâts..
J’ai peur car je reprends le travail mercredi et que je n’ai pas résolu mes problèmes : posologie efficace et ES.
Si vous pouvez m’aider je vous en remercie par avance. Quoi qu’il en soit, j’ai lu pas mal de fil sur ce forum et j’y crois quand même…
Je revois mon médecin demain.
Bonne nuit
Ebène
Je me présente : j'ai 47 ans depuis 9 jours et je bois depuis que j’ai 16 ans. Au départ, avec les copains le samedi soir et puis de plus en plus, pendant les WE, les repas entre amis etc... Mes amis, lorsqu’ils ont vieilli, ont arrêté de s’enivrer et moi j'ai continué à boire au quotidien, en cachette dans ma cuisine en préparant les repas. Toujours 2 verres, un caché dans la cuisine l’autre à coté de mon assiette : pas joli tout ça.
J’ai réussi à pourrir la vie de mes enfants et de mon mari qui ne souhaite plus avoir une vie de couple même s’il ne parle pas de séparation (pas encore, mais pour combien de temps ??).
Il y a 2 ans, j’ai brièvement entendu parler d’un médicament pour guérir l’alcoolisme dans la presse et j’ai promis à ma fille de me le procurer mais je n’ai rien fait…
Au mois de mai, une amie m’a pris à part pour m’expliquer qu’il fallait que j’arrête de boire car elle m’aimait et ne voulait pas que je soit saoule et que mes enfants aient honte de moi.
Il faut dire que peu de temps avant, je m’étais donné en spectacle à son anniversaire de mariage. Donc tout le monde autour de moi sait que je bois, et je n’en peux plus de cet état de fait.
Je voudrai être comme tout le monde, boire un verre ou deux et dire non au suivant.
C’est pourquoi au mois de juin, je me suis mis à la recherche d’un médecin prescripteur et depuis je suis sous baclofène.
Mon médecin traitant, qui n’y croyait pas trop m’avait dit lorsque je lui avait parlé du baclofène vous y croyez vous à la pilule miracle ? Même s’il a changé d’avis depuis et qu’il s’est renseigné sur les résultats avait raison sur un point.
Ce n’est pas une pilule miracle car même si j’ai diminué ma consommation d’alcool, j’ai des ES hyper invalidants.
J’ai les bras lourds, je passe des nuits blanches, j’ai des flash devant les yeux et suis incapable de conduire sans m’endormir.
J’ai pourtant augmenté très progressivement les doses : 10 mg tous les 5 jours.
Aujourd’hui je prends 110 mg répartis de la manière suivante
09 :30 : 25 mg
12 : 00 : 20 mg
15 : 00 : 20 mg
17 : 30 : 25 mg
20 : 00 : 20 mg
J’étais même monté à 120 mg (10 jours) puis à 130 (3 jours) mais suis redescendu à 100 mg car les ES étaient insupportables et je partais en vacances 1 semaine : je ne voulais pas gâcher mes vacances, il est vrai que les ES se sont atténués.
Je suis remonté à 110 mg depuis 4 jours et là : bonjour les dégâts..
J’ai peur car je reprends le travail mercredi et que je n’ai pas résolu mes problèmes : posologie efficace et ES.
Si vous pouvez m’aider je vous en remercie par avance. Quoi qu’il en soit, j’ai lu pas mal de fil sur ce forum et j’y crois quand même…
Je revois mon médecin demain.
Bonne nuit
Ebène
Indifférente à 200mg. Descente doucement 10 mg
le 3 avril 2015 : 100 mg ; réaugmentation suite au décès de ma mère à 200mg et descente de nouveau à 60 mg
Il est indispensable de rester TRES vigilant si on ne passe pas à 0 alcool mais c'est pas grave; il faut le savoir c'est tout! />Le nombre d'adhérents fait la force de l'association pour que le baclofène soit reconnu ADHERER ce n'est pas une question financière, chacun donne selon ses moyens
le 3 avril 2015 : 100 mg ; réaugmentation suite au décès de ma mère à 200mg et descente de nouveau à 60 mg
Il est indispensable de rester TRES vigilant si on ne passe pas à 0 alcool mais c'est pas grave; il faut le savoir c'est tout! />Le nombre d'adhérents fait la force de l'association pour que le baclofène soit reconnu ADHERER ce n'est pas une question financière, chacun donne selon ses moyens